Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
lundi 29 juillet 2024
jacques halbronn Les lois divines ne sauraient être à la merci des interventions humaines. Le dilemme de Spinoza
jacques halbronn Les lois divines ne sauraient être à la merci des interventions humaines. Le dilemme de Spinoza
Ce que les hommes construisent, selon la théologie biblique telle que nous la concevons, ne reléverait-il pas d'un succédané de réalité?
Livre d'Osée, VIII
ה זָנַח עֶגְלֵךְ שֹׁמְרוֹן, חָרָה אַפִּי בָּם; עַד-מָתַי, לֹא יוּכְלוּ נִקָּיֹן. 5 Ton veau, ô Samarie, a cédé la place, ma colère s'est allumée contre eux: jusqu'à quand seront-ils incapables de pureté?
ו כִּי מִיִּשְׂרָאֵל, וְהוּא--חָרָשׁ עָשָׂהוּ, וְלֹא אֱלֹהִים הוּא: כִּי-שְׁבָבִים יִהְיֶה, עֵגֶל שֹׁמְרוֹן. 6 Il est bien l'œuvre d'Israël; un artisan l'a confectionné, et il n'est pas un dieu(Elohim): certes, le veau de Samarie sera réduit en menus morceaux.
Pour nous, le vrai visuel est céleste; il ne se situe pas dans quelque tradition orale ou écrite, il est immuable hors de portée de la main de l'homme, ce qui vaut aussi au niveau génétique (le physique) comme au niveau céleste (le systéme solaire)., ce que nous qualifions de "SurNature", différant en cela d'un Spiniza et de son Deus sive Natura. Ce visuel en effet se limite à notre Ciel et à notre Terre ( Genése I) Il en est de même pour les "lois", entre les lois naturelles, universelles et les lois "juridiques", il y a un troisiéme type de lois, qui sont "divines" au sens biblique du terme, c'est à dire des lois érigées par les "dieux" pour guider les humains terrestres en les formatant en conséquence.
Dès lors, tout l'appareil juridique élaboré par les humains reléverait d'une "pseudo-réalité", à commencer par ce qui est décrit sous le nom de "droit constitutionnel" et les calendriers électoraux qui ne s'ancrent sur aucune réalité digne de ce nom, avec un usage totalement aléatoire et arbitraire de la durée des mandats, laquelle apparait comme le nec plus ultra du monde "démocratique" pour la simple raison qu'un tel ordre aura été élaboré par telle ou telle société humaine. Bien évidemment, on retrouve cette pseudo-réalité dans le jeu et dans le sport avec leurs"régles". Quant aux Dix Commandements, l'ordre qu'ils instaurent est factice et fictif et se substitue notamment à une véritable Astrologie. On peut certes arguer que nos lois humaines sont impactées par la Bible mais la Bible elle même est suspecte car par trop perméable aux interventions humaines à la différence ce ce qui se passe dans le ciel ou au niveau biologique sur lequel nous n'avons point prise. La transcendance exige donc une immuabilité de la Loi, ce qui n'e vaut que pour ce qui est hors de portée de l'humain. On ne confondra pas lois divines et lois "naturelles" et nous parlerons de "Sur Nature" pour nous démarquer d'un Spinoza et de son Deus dive Natura / Mais la position de Spinoza l'aura empêche de prendre la mesure des "lois divines" sous tendant l'ordre social , d'où son discours politique sur le respect des lois instaurées par les sociétés humaines.(f son Traité politique(Oeuvres IV, trad; Charles Appulin, ch; VIII-IX, Ed Garnier 1966) Pour nous, en revanche, la Société est déterminée par certains configurations célestes propres à la "Création", au sens de formatage, de notre systéme solaire (et non de l'Univers tout entier) à condition bien entendu de savoir décrypter un tel "livre" cosmique.
JHB 28 07 24
jacques halbronn Théologie. La dialectique du masculin et du féminine: les Juifs et les astrologues
jacques halbronn Théologie.. La dialectique du masculin et du féminin : les juifs et les astrologues
En ce qui concerne les deux grands thèmes que nous avons eu à connaitre à savoir le monde juif et le monde astrologique, il existe un processus de dualité, à savoir d'une part, une dimension de praxis et une dimension mémorielle. La dimension mémorielle fonctionnerait en écho à la dimension de praxis. il y a une tradition "juive", une" mémoire" juive tout comme c'est le cas pour l'Astrologie laquelle a aussi sa propre histoire. Mais ces deux traditions véhiculent l'une comme l'autre un matériau gazeux que nous qualifierons de féminin. Parallélement, nous observons l'existence d'une praxis qui se trouve au coeur de l'organisation de notre humanité, à savoir une certaine cyclologie et une certaine anthropologie; toutes deux en butte d'ailleurs à des oppositions, des occultations. Il est certes tentant de rapprocher ces deux volets, ce qui est le propre du "symbole". Sur le web "Le terme de symbole vient de symbolon, (grec) qui signifie relier. Par exemple, relier les deux moitiés d'un tesson de poterie comme dans l'ancienne Rome, moitiés dont deux sujets étaient porteurs. Lorsqu'ils faisaient à nouveau coïncider les deux moitiés entre eux, cela permettait une reconnaissance mutuelle entre les deux personnes, possédant chacune l'une des deux moitiés." Entendons par là que le volet féminin ne fait sens que par rapport au volet masculin. Qu'est ce que l'astrologie sans une véritable cyclologie et qu'est ce que le judaisme sans un véritable leadership et inversement? Autrement dit, ceux qui revendiquent leur appartenance à un "peuple élu"- comme l'affirme une certaine tradition - sont décalés par rapport à une praxis qui met en avant le rôle des Juifs dans l'Histoire Notre ouvrage "Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Ed Ramkat 2002, qui aborde à la fois l'Etat Juif de Herzl et les Protocoles des Sages de Sion" aborde, articule ces deux volets. De même, ceux qui se prétendent les héritiers d'une tradition astrologique sont coupés d'une véritable praxis cyclologique. (cf nos Guides de la Vie Astrologique et notre DESS (Paris VIII) Le milieu astrologique, ses structures et ses membres, 1995 cf notre Colloque en l'an 2000 sur la Dualité.(Juifs, astrologues, femmes) La relation entre ces deux plans, celui de la Tradition (de la Connaissance) et celui de la Praxis (de l'Action) ne nous semble pas avoir jamais été abordée comme elle l'aurait mérité et c'est là probablement le principal défi qui se profile pour notre XXIe siècle et qu'a déjà du affronter le siècle précédent avec plus ou moins de bonheur. Le sionisme aura-t-il été la bonne réponse tout comme ce qu'est devenue l'astrologie contemporaine tablant sur les dernières découvertes relatives à notre systéme solaire (Uranus, Neptune, Pluton etc) , ce qui confèrerait à la communauté astronomique une position cruciale face à une astrologie millénaire au point que l'on puisse parler d'une "nouvelle" astrologie soumise à l'astronomie, ringardisant l'ancienne limitée à quelque "septénaire". Plusieurs pistes nous auront été proposées; c'est ainsi que l'Eglise, de son côté, aura prétendu correspondre à l'idée de "peuple élu", détronant ipso facto, les "judaisme" et pouvant arguer, à sa façon, d'une certaine continuité et pérennité;. Wikipedia "La théologie de la substitution ou théologie du remplacement, "ou encore supersessionisme, est une doctrine chrétienne selon laquelle le christianisme se serait substitué au judaïsme dans le dessein de Dieu. Dans cette optique, le peuple d'Israël autrefois choisi par Dieu a cessé d'être le peuple élu et il est maudit parce qu'il a rejeté et tué le Sauveur, Jésus-Christ. Les dons et les promesses de Dieu à l'« ancien Israël » sont transférés à l'Église, qui devient le « nouvel Israël », le « nouveau peuple de Dieu ». Il s'ensuit que le judaïsme n'a plus qu'une valeur toute relative, en fonction du christianisme, dont il n'est que l'imparfaite préfiguration et le témoin dépassé" Venons en à notre idée de "praxis". Pour nous le vrai Juif est celui qui joue un rôle effectif parmi les nations, en tant que guide; Nul n'est prophéte en son pays. L'erreur à ne pas commettre serait de croire que le "guide" appartient au peuple dont il a la chargé A la lecture de la Bible, il ressort que Moïse n'est pas un "fils d'Israël" (Ancien Testament) pas plus que Jésus ne reléve de la "maison" d'Israêl;(Nouveau Testament). Il s'agit, en vérité, d"identifier ce "peuple élu" dont il est question dans la Bible en jugeant l'arbre à ses fruits, au cas par cas. Dialectique entre le texte et la réalité sur le terrain. Qui contesterait que notre Humanité n'a pas recours à des "chefs" et ces chefs ne seraient il pas les agents d'un "plan divin"? Sont-ils tous, pour autant, issus du "monde juif"? Paradoxalement, le Juif n'est pas plus Juif que lorsqu'il est le seul Juif à bord. C'est dire que le rassemblement des Juifs n'est peut être pas le meilleur moyen de faire apparaitre le fait juif! D'où un certain malentendu concernant le sionisme. A contrario, les "antisémites" obnubilés par la présence juive au monde ne seraient ils pas plus proches de la Vérité? En ce qui concerne le dossier Astrologie, on doit également s'interroger: qu'est ce qui sur notre Terre est actionné par certains vecteurs de notre systéme solaire? Une question que nombre de chercheurs en astrologie auront ténté de traiter, de génération en génération en recherchant des "correspondances", notamment au moyen d' l'outil statistique, de l'astrologie "mondiale" mais aussi dans le secret des "cabinets", des alcôves. .Force est de constater l'existence d' un certain scepticisme affiché envers de telles prétentions visant à conférer un rôle moteur aux juifs et aux astres. Mais l'on peut se demander si les Juifs n'auraient pas justement une mission à assumer dans la mise en évidence du lien entre les hommes et les astres.
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