Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
samedi 8 juin 2024
jacques halbronn Anthropolinguistique. Signfication de la circoncision .
jacques halbronn Anthropolinguistique. . Signification de la circoncision
Nous avons préconisé la mise en oeuvre de passerelles entre disciplines, notamment dans le cadre d'une anthropolinguistique car c'est selon nous la meilleure manière de dépasser les clivages et les cloisonnements, ce qui permet de valider des approches en mettant en évidence une seule et même matrice, commune.
C'est ainsi que nous avons perçu des convergences remarquables entre nos propos sur la dynamique propre à certaines langues dont le français, en particulier dans leur passage du féminin au masculin.(marqueurs de genre), marqué par une abréviation, une réduction, un signal long passant le relais à un signal bref. ('ex institutrice/instituteur)
On a la mauvaise habitude dans l'enseignement du français d'inverser la proposition en laissant entendre que l'on passerait du masculin au féminin, notamment par l'ajout d'un "e" alors que c'est bien la prononciation de la consonne finale qui est occultée au masculin. A la façon du sculpteur qui ciséle un matériau au prix de sa réduction. On enlève plutôt que l'on ajoute sauf dans le cas d'une déficience, d'une infirmité (comme le port de lunettes) et la dimension médicale, de par le point de vue qui lui est propre, peut conduire à toutes sortes de "contre-sens".
Avec la circoncision, il est donc nettement signalé que l'enfant mâle doit se faire démunir de son "prépuce", ce qui équivaut bien à une réduction, à une abréviation comme nous le signalions sur le plan linguistique du moins pour les langues qui ont su préserver une telle dialectique du long et du bref, à l'instar du français oral. On pourrait donc parler de langues de circoncision ou en tout cas de reformatage.
Or, la théologie que nous défendons est marquée par un "travail" opéré sur une "materia prima", il ne s 'agit jamais d'une création "ex nihilo", le stade "féminin" étant premier, primitif, primaire alors même que le Livre de la Genése nous parle d'une femme extraite, "prise" de l'homme (Adam). Un tel récit détone par rapport au chapitre Ier où il y a création simultanée des deux genres..
Genése II
כב וַיִּבֶן יְהוָה אֱלֹהִים אֶת-הַצֵּלָע אֲשֶׁר-לָקַח מִן-הָאָדָם, לְאִשָּׁה; וַיְבִאֶהָ, אֶל-הָאָדָם. 22 L’Éternel-Dieu organisa en une femme la côte qu’il avait prise à l’homme, et il la présenta à l’homme.
כג וַיֹּאמֶר, הָאָדָם, זֹאת הַפַּעַם עֶצֶם מֵעֲצָמַי, וּבָשָׂר מִבְּשָׂרִי; לְזֹאת יִקָּרֵא אִשָּׁה, כִּי מֵאִישׁ לֻקְחָה-זֹּאת. 23 Et l’homme dit: "Celle-ci, pour le coup, est un membre extrait de mes membres et une chair de ma chair; celle-ci sera nommée Icha, parce qu'elle a été prise de Ich."
wikipedia
"La circoncision, en latin : circumcisio, « fait de couper autour, découpe », désigne, dans sa forme la plus répandue, l’ablation totale ou partielle du prépuce, en supprimant ainsi ses fonctions et laissant le gland du pénis en permanence à découvert"
"La circoncision rituelle a été pratiquée pour des motifs culturels et religieux depuis l'Antiquité en Égypte antique puis dans le judaïsme et l'islam. Ce rite est également en usage chez certaines communautés chrétiennes (notamment orientales). La circoncision requiert systématiquement des conditions incontournables d'hygiène et d'asepsie, ainsi qu'une prise en charge de la douleur adaptée, y compris lors des pratiques rituelles, ce qui est loin d'être universellement pratiqué En effet, l'OMS souligne que « les circoncisions pour des raisons religieuses ou traditionnelles se déroulent souvent en milieu non médicalisé bien que, dans certaines cultures, elles aient de plus en plus lieu dans un cadre médical »
JHB 08 06 24
jacques halbronn Guématrie de l'astrologie: numérotation des signes zodiacaux
jacques halbronn Guématrie de l'astrologie: numérotation des signes zodiacaux
Pour désenclaver l'astrologie, il faut lui trouver un langage commun avec d'autres domaines. Pour ce faire, nous proposons tout simplement de tenir compte de l'ordre traditionnel des signes, de 1 à 12. Or, si nous "traduisons" en chiffres (ce qui correspond à la technique de la "guématria" dans l'approche des textes bibliques et de l'hébreu) des 4 signes fixes, nous obtiendrons un total de 26 (22 pour les 4 signes cardinaux et 28 pour les 4 signes mutables). Les 4 signes fixes se retrouvent dans ce qu'on appelle le "tétramorphe", que l'on a , à deux reprises, dans le Livre d'Ezékiel sous le nom de "hayoth" (être vivants (Hayim, la vie, le mot Zodiaque renvoie également à la vie, Zoon: animal, Zoé, la vie), même étymologie qu'Eve voir aussi l'arcane "Le Monde" dans le Tarot)
Or, ce nombre 26 est bien connu comme correspondant au tétragramme, composé de 4 lettres, le Yod, le Hé, le Vav et encore le Hé. Le 4, c'est aussi les 4 voyelles qui permettent de prononcer les consonnes: I, O, U et A (le e n'est pas une voyelles, il a un statut à part, comme nous l'avons montré dans nos travaux en linguistique). Sans les voyelles, d'ailleurs, le tétragramme ne peut être prononcé, la forme "jéhovaj" est plus pertinente de Yahwé, puisqu'il se sert des 4 voyelles, sachant que le I et J forment un binome tout comme le U et le V.
En ce qui concerne le nombre 26, on notera qu'il se rapproche du 28 du couple Lune-Saturne qui sont les acteurs majeurs, actifs, du Ciel, vu de la Terre. C'est ainsi que c'est Saturne qui active tour à tour les 4 signes fixes lesquels comportent traditionnellent deux signes masculins, le Lion et le Verseau, correspondant au stade supérieu. et deux signes féminins, le taureau et le Scorpion, correspondant au stade inférieur. La différence entre 26 et 28 pourrait être liée à une "évolution" de notre systéme solaire, ayant conduit à un ralentissement des révolutions planétaires à moins que cela ne soit la Terre qui ait vu ses données se modifier avec le temps.
JHB 09 0624
jacques halbronn Astrologie et anthropologie Le critère de visibilité pour circonscrirre notre Ciell
acques halbronn Astrologie et anthropologie. Le critère de visibilité pour notre Ciel. (Genése I)
Les exégétes du Chapitre premier du livre de la génése diffèrent entre eux quant à l'interprétation du "Ciel" (en hébreu Shamayim, les cieux, pluriel). Nombreux sont ceux croyant bien faire en attribuant au "Dieu" (Elohim) le mérite d'avoir généré la totalité de l'Univers. D'autres, comme nous adoptent une lecture/leçon "restreinte". Ce dieu ne serait venu que pour notre Terre et l'Humanité qui y demeure, ce qui correspond au message de Jésus. Le dieu de la Genèse aurait un rapport exclusif avec une Humanité qu'il aurait d'ailleurs formaté (cf le Sefer Yetsira, "livre de la Formation") comme il aurait reprogrammé nos planétes en confèrant, notamment à notre satellite la Lune les mêmes chiffres qu'à Saturne, dont la révolution est calculée en données terrestres (365 jour/an, cf la Loi de Bode)
En ce sens. il ne semble pas du tout pertinent de s'intéresser à ce qui, dans le ciel, invisible à l'oeil nu, sans passer par l'apport télescopique. C'est pourquoi, nous préconisons une astrologie qui s'intéresse aux étoiles fixes, telles que vue de la Terre , en dépit de leur distance qui importe peu sur le plan sémiologique et signalétique, mais qui n'accorde aucun intérêt aux planétes au delà de Saturne (Uranus, Neptune, Pluton ou aux astéroides (entre Mars et Jupiter) qu n'ont pas la bonne visibilité. Certains astrologues -en fait de nos jours la pupart -considèrent que les astres constituent notre environnement "naturel", qu'ils n'ont pas été mis en place à notre intention et que, par conséquent ils agissent par delà la dimension, l'échelle humaine.
Pour nous en revanche, dans le cadre d'une "théologie restreinte", l'intervention divine aura été limitée tant dans le temps que dans l'espace. Une fois, son plan mis en place ce "Dieu" se sera retiré (cf Génèse II) et n'interviendra plus que par le biais d'une machinerie anthropocosmologique et non pas par des miracles qui viendraient relativiser sa Création. C'est pourquoi la présence de miracles, notamment dans le livre de l'Exode, qui fait suite, dans le Pentateuque, à celui de la Genése, nous apparait comme étrangère à notre idée de Dieu et serait le fait de populations antérieures à l'émergence d'une Humanité "adamique" (Adam étant le "nouvel homme" dont la création est narrée au premier chapitre, à la suite de celle des luminaires (Soleil Lune) et des "étoiles" (ce qui englobe aussi bien les planétes que les étoiles, les planétes étant des étoiles errantes (d'où leur nom issu du grec) par opposition aux "fixes".
JHB 08 06 24
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