samedi 29 juin 2024

jacques halbronn Astrologie. Epistémologie. Chacun est conftonté au même moment à une même problématique mais à chacun ses solutions

jacques halbronn Astrologie. Epistémologie. Chacun est confronté à une même problématique. A chacun ses solutions. A partir du moment où l’astrologie nous conduit à repenser notre passé et notre futur, cela introduit forcément un processus d’individuation tout à fait compatible avec une certaine synchronicité. Même question mais diversité de réponses. Il est donc tout à fait possible de disposer d’un modéle unique, identique pour tous, au même moment, tout en sachant que nos passés diffèrent, chacun se retrouvant face à sa conscience. De la même façon que nous avons grosso modo les mêmes horaires pour se nourrir comme pour dormir mais chacun vivre cela à sa façon. Nous avons insisté sur la nécessité de penser l’astrologie en termes de temporalité plutôt que de spatialité, à propos des aspects. Ce qui nous distingue, c’est notre vécu existentiel aléatoire, notre histoire personnelle (cf nos travaux sur les » topiques sensorielles »). L’astrologie EXOLS peut nous fixer avec précision des échéances – solsticiale/équinoxial mais elle ne peut répondre à notre place, proposer des solutions, si ce n’est par le biais de conseils donnés par quelque praticien, confesseur, confident. mais c’est toujours au niveau du temps imparti, du compte à rebours qu’elle aura le dernier mot C’est dire que les choses étant ainsi posées, on comprend à quel point le thème natal ne fait guère plus sens puisque l’on aura établi un distinguo entre le structurel et le conjoncturel. Il reste que toutes les réponses à un moment donné se ressembleront d’une façon ou d’une autre puisqu’elles (sur)réagiront à un seul et même questionnement. Cela dit, pour nous l’astrologie est d’abord la science du leadership et non celle du vulgum pecus. Cela signifie que ce sont les chefs qui seront toujours aux premières loges et ce sont eux qui entraineront la masse dans leur sillage. JHB 29 06 24

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jacuqes halbronn Anthropocosmologie et théologie. Le jour et la nuit. Le blanc et le noir

jacques halbronn Anthropocosmologie et théologie. Le jour et la nuit, le blanc et le noir Dans l’optique d’un ‘dessein intelligent », dans l’idée que notre petit monde relie le haut et le bas il nous semble que s’il existe une humanité « blanche » et une autre « noir », cela doit faire sens. Or, cela doit nous connecter avec le jour (blanc) et la nuit (noire),avec la lumière et les ténébres. Genése Chapitre premier וַיַּרְא אֱלֹהִים אֶת-הָאוֹר, כִּי-טוֹב; וַיַּבְדֵּל אֱלֹהִים, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ. 4 Dieu considéra que la lumière était bonne, et il établit une distinction entre la lumière et les ténèbres. ה וַיִּקְרָא אֱלֹהִים לָאוֹר יוֹם, וְלַחֹשֶׁךְ קָרָא לָיְלָה; וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם אֶחָד. {פ} 5 Dieu appela la lumière jour (Yom), et les ténèbres, il les appela Nuit (Layla). Il fut soir, il fut matin, un jour. Or, l’on observe que les personnes de couleur noire, noires de couleur, sont mal repérables quand la nuit tombe alors que celles blanches de couleur, seraient bien plus visibles dans l’obscurité.? Sur le web « La mélanine est un pigment naturel qui entre en jeu dans la couleur de notre peau, nos poils, nos cheveux et nos yeux » Que penser dès lors de l’importance accordée au niveau religieux – chez les Juifs en particulier - à la tombée du jour? Sur le web « L’heure de lecture du Chéma du soir est définie dans la Torah par le terme Be-chokhbekha (« à ton coucher ») – c’est-à-dire durant la période où les gens sont couchés dans leurs lits. Cette période commence à la tombée de la nuit. Les sages nous ont donné un signe, à cet égard : l’apparition de trois étoiles moyennes. En effet, celles des étoiles qui nous paraissent grandes, telles que Vénus, Mars et Jupiter, sont également visibles de jour ou au crépuscule. En revanche, lorsqu’apparaissent les trois étoiles qui suivent les grandes – celles qui nous semblent moyennes – c’est le signe que la nuit commence (Hazmanim Bahalakha, chap. 49-50). Ce moment s’appelle tset hakokhavim (« la sortie des étoiles »). Pour que l’on ne risque pas de se tromper, et de prendre de grandes étoiles pour des moyennes, les Richonim ont donné pour instruction d’attendre d’apercevoir trois petites étoiles (élèves de Rabbénou Yona, Choul’han ‘Aroukh 235, 1). ». Pourquoi se référer ainsi à l’émergence de la nuit en célébrant l’apparition, en quelque sorte, d’ étoiles? Cela nous inspîre les réflexions suivantes, à savoir que l’Humanité ‘adamique » investit la nuit alors que l’humanité pré-adamique se manifeste le jour. Il y a là quelque forme de cloisonnement que l’on ne saurait ignorer, comme une sorte de séparation, de partition. Cela nous fait penser au mythe du vampire. qui ne supporte pas la lumière du jour.(cf Le Bal des Vampires, film de Roman Polanski) On avancera que la nuit exige une technologie particulière d’éclairage dont le jour est dispensé, le jour pourrait correspondre à une humanité primitive alors que la nouvelle humanité aurait accés au royaume de la nuit. Il n’est pas ici question d’une époque révolue puisque le probléme se pose tout à fait de nos jours, du fait même de la présence massive des « Blacks » et le constat de leur relative invisibilité quand la nuit tombe. Toujours est-il que les Juifs, du moins ceux que nous associons à Adam, célébrent leur culte en mode nocturne,à commencer par le Shabbat, même si cela n’est pas précisé dans le « commandement » concerné, ce qui nous semble bien être une grave lacune compensée par la tradition orale.. Sur le web « D’après le Talmud, cette règle trouverait son origine dans le récit de la Création, où chaque jour se termine par la mention « il y eut un soir, il y eut un matin » (Genèse 1, 5), dans cet ordre. Par conséquent, dans notre calendrier, le shabbat commence un peu avant le coucher du soleil le vendredi soir. » On est tout de même légitimé à s’interroger sur l’attente bienvenue de la nuit pour commencer le Shabbat, le vendredi soir étant désigné comme veille (erev qui signifie aussi soir) du Shabbat. Sachant que le syncrétisme biblique fait cohabiter des valeurs et des critères contradictoires, est ce que le choix de la tombée du jour ne serait pas plutôt le fait d’une intervention « israélite ». Rappelons que le Livre de la Génése oppose la lumière (Or) aux ténébres (Hoshekh) Genése I ב וְהָאָרֶץ, הָיְתָה תֹהוּ וָבֹהוּ, וְחֹשֶׁךְ, עַל-פְּנֵי תְהוֹם; וְרוּחַ אֱלֹהִים, מְרַחֶפֶת עַל-פְּנֵי הַמָּיִם. 2 Or la terre n’était que solitude et chaos; des ténèbres couvraient la face de l’abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux. ג וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי אוֹר; וַיְהִי-אוֹר. 3 Dieu dit: « Que la lumière soit! » Et la lumière fut. / JHB 29 06 24