vendredi 22 novembre 2024

Jacques halbronn Réflexions autour du Cogito, du "je pense" comme raison.nement.

jacques halbronn Réflexions autour du Cogito, du "je pense" comme raison/nement La formule n'est attestée qu'en français dans l'oeuvre de Descartes si bien que la traduction latine nous apparait comme appauvrissante puisque le pronom personnel "je", existant à deux reprises, n'y figure pas explicitement. Nous nous sommes intéressés au dualisme intérieur et au fait qu'Adam ait été crée "à l'image de Dieu" 'masculin" et "féminin et non "homme et femme"/ Selon nous, le "je pense" renverrait à cette "raison" qui est en moi, avec les exigences qui sont les siennes. Sans cette "raison" raisonnante, qui serais-je donc? Nous avons, dans de récents textes, signalé que le type "auditif" masculin était instinctivement occupé et équipé pour détecter tout ce qui allait contre la raison alors que le type "olfactif" féminin veillait à la santé physique plus que mentale. Entendons par là que la vigilance au prisme de la raison définirait l'être masculin dans ses manifestations les plus essentielles. Dès lors puis-je me percevoir comme "étant" si ma raison me lâche, si ma pensée devient confuse, si elle tend à "confondre " . Inversement, le " sum", le " je suis" , chez la femmes passera par le repérage non pas des erreurs de la pensée mais par celui dérangements intestinaux, source de bien des nuisances olfactives"/ sur le web "Le concept cartésien de raison le montre. Débattant avec la tradition scolastique, d’une part, Descartes ne définit pas la raison à partir du raisonnement, mais à partir du jugement. « Puissance de bien juger, et distinguer le vrai d’avec le faux » la raison n’est en effet pas uniquement l’acte d’inférer. Elle tient avant tout dans la perception des conséquences associées à telle ou telle proposition . Par ailleurs, si elle est présente en l’homme pris génériquement, en revanche, en chaque homme, elle est une virtualité qui doit s’actualiser , et dont il convient d’apprendre à se servir" Le Monde: notre deuxiéme cerveau. "C’est un étrange voyage au cœur de nos entrailles que propose Cécile Denjean dans ce documentaire parfois complexe mais passionnant. Notre ventre abrite plus de 200 millions de neurones connectés qui transmettent des ordres. Ce « cerveau du bas », qui règne sur une impressionnante colonie de bactéries, décide-t-il de nos humeurs ?" C'est donc que le "sum" de la femme ne s'ancre pas sur les mêmes instances que celui de l'homme., d'où des vigilances, des missions, des responsabilités différentes (et complémentaires) Dans les deux cas, il existe une instance qui a ses propres exigences, ce qui fait de nous, tant homme que femme, des êtres duels, condamnés à vivre une telle dualité; JHB 22 11 24