mardi 14 mai 2024

jacques halbronn Astro. Phase' équinoxiale. 2024 Israel veut en fini...

jacques halbronn L'organisatation du Ciel ay quatriéme jour de la Création

Jacques halbronn L'iorganisation du Cilel au 4e jour de la Création Genése I La Création au sens biblique est marquée par une certaine finalité, une ergonomie. Les choses ne sont pas crées en vain. Il faut que cela serve, remplisse une fonction pour l'Humanité. D'où la répétition dans la traduction du "pour" dans le sens de 'en vue de". Il y a là la marque d'un dessein intelligent" bien différent de l'idée d'une nature "sauvage". Il est question au verset I, 16, au 4e jour, des "Kokhavim", ce qui désigne aussi bien les étoiles que les planétes, tout comme en français d'ailleurs, d'où la distinction entre "planétes" (errantes) et fixes. On y traite notamment du jour (Yom et Soleil) et de la nuit:*(Layla et Lune) יד וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי מְאֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהַבְדִּיל, בֵּין הַיּוֹם וּבֵין הַלָּיְלָה; וְהָיוּ לְאֹתֹת וּלְמוֹעֲדִים, וּלְיָמִים וְשָׁנִים. 14 Dieu (Elohim) dit: "Que des corps lumineux apparaissent dans l'espace des cieux, pour distinguer entre le jour et la nuit; ils serviront de signes pour les saisons, pour les jours, pour les années; טו וְהָיוּ לִמְאוֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהָאִיר עַל-הָאָרֶץ; וַיְהִי-כֵן. 15 et ils serviront de luminaires, dans l'espace céleste, pour éclairer la terre." Et cela s'accomplit. טז וַיַּעַשׂ אֱלֹהִים, אֶת-שְׁנֵי הַמְּאֹרֹת הַגְּדֹלִים: אֶת-הַמָּאוֹר הַגָּדֹל, לְמֶמְשֶׁלֶת הַיּוֹם, וְאֶת-הַמָּאוֹר הַקָּטֹן לְמֶמְשֶׁלֶת הַלַּיְלָה, וְאֵת הַכּוֹכָבִים. 16 Dieu fit les deux grands luminaires: le plus grand luminaire pour la royauté du jour, le plus petit luminaire pour la royauté de la nuit, et aussi les étoiles. יז וַיִּתֵּן אֹתָם אֱלֹהִים, בִּרְקִיעַ הַשָּׁמָיִם, לְהָאִיר, עַל-הָאָרֶץ. 17 Et Dieu les plaça dans l'espace céleste pour rayonner sur la terre; יח וְלִמְשֹׁל, בַּיּוֹם וּבַלַּיְלָה, וּלְהַבְדִּיל, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ; וַיַּרְא אֱלֹהִים, כִּי-טוֹב. 18 pour régner le jour et la nuit, et pour séparer la lumière des ténèbres. Dieu considéra que c'était bien. יט וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם רְבִיעִי. {פ} 19 Le soir se fit, le matin se fit, - quatrième jour.

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jacques halbronn Réflexions sur le processus cyclique (2013)

Nouvelles réflexions sur le processus cyclique Par Jacques Halbronn Posté par nofim le 15 septembre 2013 On ne peut pas ne pas admettre qu’il y a une « descente » et une « remontée » suivie à son tour d’une nouvelle baisse de régime et ainsi de suite. Nous avons eu récemment un débat avec Guy Taillade sur la question de savoir si le cycle avait pour fin un aboutissement ou bien au contraire se terminait par une forme d’extinction. Il s’agit là d’un faux débat. En astrologie, on distingue entre un aspect « approchant » et un aspect « séparant (cf. notamment dans le cas des directions d’une planéte vers une autre mais aussi pour les transits sans parler du thème natal lui-même) En astrocyclologie, il est clair que la conjonction est précédée par une configuration se mettant peu à peu en place, donc en progression puis une fois la conjonction atteinte, s’amorce un processus de déclin. Entre le moment de la séparation et celui de l’approche du nouveau signal conjonctionnel que se passe-t-il ? On peut admettre un temps de transition que l’on peut qualifier de disjonctionnel, quand le futur est encore imprécis et le passé de plus en plus flou. Ce temps de transition peut mathématiquement et statistiquement, en toute probabilité, se situer dans le tiers du milieu, soit entre 30° et 60° d’intervalle entre Saturne et les étoiles fixes royales. Les 30 premiers degrés après la conjonction et les 30 dernies degrés avant la conjonction correspondent à une dynamique conjonctionnelle croissante puis décroissante, avec entre les deux un passage à vide que l’on peut qualifier de temps « B ».. Alors que les deux autres temps seraient A et A’. En aucun cas le temps B ne saurait être égal à la somme de A et A’. Il convient cependant de rappeler que les quatre fixes royales ne forment pas un quadrilatère parfait avec des écarts de 90° entre chacun des dites étoiles. Le recours à cette terminologie à base 30/60/90 est purement indicatif. En pratique entre Aldébaran et Regulus, on a environ 80°, entre Regulus et Antarès, près de 100°, entre Antarès et Fomalhaut, à nouveau 80 et entre Fomalhaut et Aldébaran, à nouveau près de 100°./ En astrocyclologie, en effet, on n’accepte pas les projections qui permettent de découper le ciel en tranches égales mais avec des diviseurs invisibles et dénués de corporéité : d’où le refus du zodiaque et de tout ce qui relève du cycle saisonnier, quand bien même le dit cycle saisonnier peut avoir une valeur heuristique ou matricielle mais sans plus. La grande erreur des historiens de l’astrologie, qui se sera répercutée sur le savoir astrologique, aura été de confondre symbolisme et réalité astronomique. Le passage du virtuel au réel, c’est d’avoir à se confronter à la matière et cette matière quand elle n’est pas à portée de main, comme chez le sculpteur, ne peut être modifiée, même si elle peut être interprétée. Le signifié peut se greffer sur le signifiant mais il n’est pas le signifiant, il fait avec. Les 4 étoiles fixes royales sont le signifiant de l’astrologie tout comme la Lune ou Saturne. Il sont ce qu’ils sont par eux-mêmes, telles sont les limites de l’instrumentalisation….Au niveau du signifié, l’astrologie peut décider de diviser en 4 le parcours de Saturne mais elle doit le faire avec les moyens du bord, c’est-à-dire les 4 étoiles fixes royales – c’est le principe de « réalité »- quand bien même celle-ci ne formeraient-elles pas un carré parfait et quand bien même les conjonctions de Saturne avec les dites étoiles seraient très approximatives, du fait que la planéte n’appartient pas au même « système » que les étoiles, elles-mêmes dispersés aux 4 coins du firmament. Rappelons que les constellations zodiacales sont également un pis-aller. Elles ne comportent pas nécessairement toutes des étoiles de grande intensité, ce qui explique que l’on a dû aller chercher Fomalhaut dans la constellation du poisson austral faute de trouver une étoile intéressante dans la constellation du verseau. Encore, une telle présentation peut-elle prêter à confusion. En effet, au moment où ces quatre étoiles fixes furent choisies parmi tant d’autres, il n’y avait pas nécessairement de constellations au sens où nous l’entendons actuellement. Dès lors, le débat sur la question de savoir dans quelle constellation se situait Fomalhaut nous semble assez décalé. Ce n’est qu’ensuite qu’il se trouva que l’on plaçât Fomalhaut dans la constellation du poisson austral et non dans celle du Verseau. Il n’est même pas certain que la notion de bande zodiacale de 8°30 autour de l’écliptique ait été bien établie à une certaine époque. Evitons les anachronismes ! En dépit de cette réalité ne correspondant qu’approximativement aux schémas géométriques de départ, le référentiel stellaire comporte des avantages insignes puisque nous obtenons ainsi des conjonctions se produisant toujours aux mêmes endroits du ciel- au nombre de 4 (et non de 12 comme pour les conjonctions soleil-lune et en nombre à peu près infini pour les « cycles planétaires ». En outre, Saturne conserve son analogie avec la Lune au niveau numérique (4×7=28), ce qui n’est pas le cas quand on le combine avec d’autres planètes, à commencer par Jupiter qu’il rencontre tous les 20 ans et non tous les 28 ans comme pour chaque étoile fixe royale.. Il est clair qu’avec un système aussi simple d’emploi, de conception et de perception, l’astrologie avait un profil initial extrêmement accessible qui s’est détérioré progressivement et sans parvenir à se recentrer. Ce qui est pourtant le but de toute cyclicité. Le rapport de l’astrologie à l’astronomie s’en trouvait très simple d’emploi. La complexité qui s’est produite par la suite aura paradoxalement conduit à faire que l’astrologie décrocha d’avec l’astronomie, se limitant désormais à une affaire d’observation du ciel au moment de la consultation (ou de la naissance, dans les cas de lignages princiers), complété par la technique artificielle des directions. Cette mode des directions aura été peu à peu rejetée dans la seconde moitié du XXe siècle avec la vogues des transits, ce qui était précurseur de l’astrocyclologie actuelle. Rudhyar correspond à un stade intermédiaire (cf. notre étude récente autour d’un texte de Ruperti) qui panache le transit de Saturne et les directions du thème natal. Mais, il reste à franchi bien évidemment le pas de la réintégration des étoiles fixes dans le « canon » astroloique d’où elles ont été éjectées au cours du dernier demi-siècle : on a jeté le bébé avec l’eau du bain. La technique des cycles planétaires lancée par les frères Barbault, notamment au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, aura été un solution bancale qui aura fait perdre beaucoup de temps à la recherche astrologique avec toute la problématique des combinaisons symboliques (le dieu de chaque planéte concernée plus les signes d’accueil successifs de la conjonction), au lieu de comprendre que les planètes et les découpages ne sont pas porteurs de sens. Ce qui compte, c’est le déroulement du cycle (cf. supra). Barbault, lui-même, en 1967 avait remis en question le cycle planétaire en proposant à la place une simple indication de « concentration » des planètes, sans tenir compte ni de la « personnalité « de la planéte ni même du signe où cette concentration se produisait, ce qui lui permettait de ne pas avoir isolé chaque cycle en lui conférant une signification spécifique. Faute de réintégrer les fixes, Barbault n’avait d’autre issue que de constituer une « résultante » de toutes les « lentes », sans d’ailleurs parvenir à mettre en place une cyclicité unique, régulière et égale à l’échelle d’un siècle et encore moins à l’échelle d’une vie humaine comme le permet l’astrocyclologie….A la fin du premier millénaire, Albumasar avait déjà engagé l’astrologie sur une voie de garage avec sa théorie des Grande Conjonctions Jupiter-Saturne en observant que cette conjonction se produisait sur 2 siècles environ dans l’un des Quatre Eléments pour passer ensuite à un autre, ce qui découpait en 4 un cycle complet de plus de 800 ans. Il importe de situer ces entreprises comme des tentatives non abouties, tout comme l’idée au XIXe siècle d’intégrer les planètes au-delà de Saturne, invisibles à l’œil nu et inconnues des Anciens, ce qui allait contribuer à l’expulsion des fixes, bien à tort. Il est temps de corriger le tir. Mieux vaut tard que jamais. JHB 05. 09. 13

jacques halbronn L'astrologie alpha-omégfa. Le vrai paradigme poiyr le monde de demain (2016)

L’astrologie alpha-oméga, le vrai paradigme pour le monde de demain par Jacques Halbronn L’astrologie peut fournir un nouveau paradigme mais cela ne passe pas par l’attente de l’ère du Verseau mais bien par une réforme interne de l’Astrologie et cette réforme a désormais un nom: Alpha-Oméga. Ces deux lettres sont la première et la dernière de l’alphabet grec et elles symbolisent deux temps essentiels de tout cycle, celui de la conjonction, c’est à dire d’un nœud, ce que représente la lettre alpha (en cursive), dérivé du Aleph des alphabets sémitiques et celui de l’opposition , c’est à dire le point d’équilibre, la lettre Oméga évoquant la forme d’une balance. Et de fait le signe du bélier a un glyphe qui évoque la lettre alpha et celui de la balance un autre qui évoque la lettre Oméga. Ces deux signes (le ier et le 7e) sont précisément et diamétralement opposés dans le Zodiaque, L’astrologie Alpha-Oméga – termes que l’on retrouve chez Teilhard de Chardin et dans le christianisme – a une dimension géométrqiue, car l’Oméga est en fait une stylisation du triangle et un triangle exige pour se former trois points d’ancrage. Mais Oméga est aussi une balance.laquelle comporte deux parties: le fléau qui correspond aux deux plateaux de la balance et l’axe, qui se situe à leur « mi-point ». Pour l’Astrologie Alpha-Oméga, le fléau est constitué par quatre étoiles fixes royales (Aldébaran, Regulus, Antarés, Fomalhaut, cf nos textes à ce sujet). alors que l’axe correspond à une planéte, Saturne laquelle passe -comme une abeille – d’une étoile à la suivant – ces 4 étoiles formant une sorte de carré divisant l’écliptique en 4 fois 90° environ. On notera que Saturne est traditionnellement (cf la Tétrabible de Ptolémée) associé à deux signes du zodiaque, le Capricorne et le Verseau, deux signes d’hiver (dans l’hémisphère nord). et l’on place , toujours dans la Tétrabible, les luminaires dans les signes opposés du cancer et du lion. Le soleil est en lion et en face de lui on a le verseau, un des signes -on l’a vu- attribué à Saturne, l’astre le plus lointain du systéme solaire jusqu’à ce que William Herrschel ait découvert en 1781 Uranus (père de Saturne)/. Le soleil est une étoile comme le sont les 4 fixes royales sus mentionnées. L’astrologie Alpha-Oméga remplace le couple Soleil-Lune par le couple Etoiles Royales (le lion est d’ailleurs considéré comme royal)-Saturne, qui est plus fonctionnel.Mais Saturne a les mêmes chiffres que la Lune, sinon que dans un cas ce sont des années et dans l’autre des jours. Or, le signe du Verseau est très intéressant si l’on sait qu’il représente l’échanson, celui qui sert à table – le « verseur d’eau » et pour servir les convives l’un après l’autre, il doit en faire le tour, la table- elle-même carrée- représentant ici le carré stellaire (les 4 étoiles fixes royales). Paul Le Cour l’avait relié à Ganyméde l’échanson servant à la table des dieux, dans l’Olympe. Autrement dit, Saturne est un serviteur, un domestique, dimension dont on n’avait jusque là pris toute la mesure et la machine aussi rend des services. Nous laissons méditer ce point aux partisans de la théorie des ères précessionnelles et notamment de l’ère du Verseau Pour l’astrologie alpha-oméga, la dialectique entre le maître et sa « maisonnée » est cruciale – c’est le cas de le dire. La conjonction (Alpha) crée de la confusion entre le maitre et la maisonnée dont fait partie le verseau, comme on l’a vu alors que l’opposition (mais en fait cela correspond à un aspect de 45° soit 180/4 puisque l’écliptique est divisé en 4 quadrants) ne permet plus de confondre les deux pôles, ce qui correspond à l’axe situé au centre du fléau de la balance, on est ainsi passé d’alpha à oméga, en l’espace de 3 ans 1/2 environ, soit 28/8) Pour l’astrologie alpha oméga, les seuls aspects utiles entre Saturne et les étoiles fixes royales tout au long de sa révolution sont 0°, 45°, 90°, 135°, 180° et-en sens inverse pour boucler le cercle, ce qui donne 8 secteurs de 45°. On ne tient évidemment aucun compte du demi-sextile, du sextil et du trigone qui correspondent à une division de l’écliptique non pas en 4 mais en 3 (360/3, 360/6 et 360/12). On peut penser que cette division paralléle à l’autre correspond à une autre tradition et que la combinaison des deux divisions ne fait pas sens. Cette division en 3 semble d’ailleurs directement issue de l’adoption des 12 signes alors que la divisiion en 4 est d’essence binaire (360/2; 360/4; 360/8) L’astrologie alpha oméga n’utilise pas le thème astral, sous aucune forme car cette figure correspond à une astrologie primitive qui ignorait jusqu’à la durée des révolutions des planétes et s’en tenait à un systéme de directions et de progressions, sans rapport avec la réalité astronomique. Paradoxalement, cette astrologie primitive encore très prisée de nos jours se sert abondamment du symbolisme que l’astronomie -on dit bien l’astronomie:! – a emprunté à la mythologie et à l’iconographie des mois de l’année, ce qui ne fait pas partie intégrante du savoir astronomique et en revanche, elle ne se sert pas des données proprement astronomiques des révolutions planétaires puisqu’elle les remplace par des repéres fictifs! JHB 01 °09 16

Bibllographie astrologique (Article "Astrologie" Wikjipedia)

Bibliographie Ouvrages généraux 1951 à 2005 : plusieurs éditions de L'Astrologie dans la collection « Que sais-je ? » des Presses universitaires de France (PUF). version 1951 : Paul Couderc (multiples rééditions actualisées jusque dans les années 1980, épuisée) avec une approche scientifique attaquant l'astrologie (en relation avec l'Union rationaliste). version 1989 : Suzel Fuzeau Braesch (retirée de la vente) avec une approche pro-astrologie. version 2005 : Daniel Kunth et Philippe Zarka. Le texte rappelle quelques définitions et évidences et montre ainsi que l'astrologie, par sa méthode, se place en dehors du domaine scientifique. 1971 : Edgar Morin (sous la direction de), Philippe Defrance, Claude Fischler, Lena Petrossian, Le Retour des astrologues, Les Cahiers de l'Obs, 1971 (enquête sociologique). 1982 : Edgar Morin (sous la direction de), Philippe Defrance, Claude Fischler, Lena Petrossian, La Croyance astrologique moderne, diagnostic sociologique, nouvelle édition revue par Claude Fischler, éditions L'Âge d'Homme, 1982. 1986 : Wilhelm Knappich, Histoire de l'astrologie, préface d'André Barbault, éditions Vernal/Philippe Lebaud, 1986, (ISBN 978-2-86594-022-6). 2009 : Nicholas Campion (en), (en) A History of Western Astrology Vol. 1, The Ancient World, Continuum, 2009, (ISBN 978-1-84725-214-2) (first published as The Dawn of Astrology: a Cultural History of Western Astrology Volume 1, Continuum, 2008). 2009 : Nicholas Campion, (en) A History of Western Astrology Vol. 2, The Medieval and Modern Worlds, Continuum, 2009, (ISBN 978-1-84725-224-1). 2013 : Arnaud Esquerre, Prédire : L'astrologie au xxie siècle en France, Fayard, 2013, (ISBN 978-2-21367-856-6). Astrologie grecque 1899 : Bouché-Leclercq, L'Astrologie grecque, Paris E. Lerous, 1899 [archive] Auguste Bouché-Leclerq, L' astrologie grecque, Lulu.com, 2013 (ISBN 978-0-557-25414-9, lire en ligne [archive]) 1945 : Dom Emmanuel Amand, Fatalisme et liberté dans l'Antiquité grecque, Louvain, 1945. 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book I), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1993 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book II, Part I), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1994 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book IV), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1993 2003 : Les Pères de l'Église et l'Astrologie, Migne, 2003. Astrologie romaine 1897 : Auguste Bouché-Leclercq, in Revue historique, 1897, tome 659 1954 : F. H. Cramer, Astrology in Roman Law and Politics, Philadelphie, 1954. 1995 : Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les astres, tome I : Les astres et les mythes. la description du ciel. Actes du Colloque international de Montpellier (23-25 mars 1995), Publications de la Recherche, Université Paul Valéry - Montpellier III, 320 p. (ISBN 978-2-905397-96-6). 1995 : Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les astres, tome II : Les correspondances entre le ciel, la Terre et l’homme. Les « survivances » de l’astrologie antique. Actes du Colloque international de Montpellier (23-25 mars 1995), Publications de la Recherche, Université Paul Valéry - Montpellier III, 296 p. (ISBN 978-2-84269-024-3). 1996 : Béatrice Bakhouche, Les textes latins d’astronomie : un maillon dans la chaîne du savoir. Louvain : Peeters, 1996, 347 pages, (ISBN 978-2-87723-292-0). 2002 : Béatrice Bakhouche, L’astrologie à Rome. Louvain : Peeters, 2002, 241 p. (ISBN 978-2-87723-632-4). Astrologie occidentale 1573 : Speculum astrologiae. Quod attinet ad judiciariam rationem nativitatum atque annuarum revolutionum: cum nonnullis approbatis Astrologorum sententiis. Rerum catalogum sequens pagina indicabit. [Avec :] - Compendium de stellarum fixarum observationibus. Opus mathematicae studioso utilissimum.- Tabulae resolutae astronomicae de supputandis siderum motibus, secundum observationes Nicolae Copernici, Prutenicarumque Tabularum. Lyon, Phillipe Tinghi (imp. par Pierre Roussin), 1573. Ce « Miroir de l'astrologie » de Francesco Giuntini est, selon Maurice Caillet, « un des plus célèbres et le principal monument de l'Astrologie ancienne ». Ce traité très complet, outre une défense de l'astrologie, donne les nativités de très nombreux personnages célèbres et des tables astronomiques selon Copernic. 1974 : Daniel Verney, Fondements et avenir de l'astrologie, Fayard, Paris, 1974. 1983 : Charles Vouga, Astrologie expérimentale, Édition du Rocher. Une approche « non causale » des « phénomènes astrologiques ». 1991 : Richard Pellard, Manuel d'astrologie universelle, Éditions Dervy 1991. Une approche « rationnelle » et conditionaliste de l'astrologie contemporaine. 1993 : Jacques Vanaise, L'Homme-Univers, éditions Le Cri, Bruxelles, 1993 1996 : Charles Vouga, Une astrologie pour l'Ère du Verseau, Édition du Rocher 2006 : Jean-Patrice Boudet, Entre science et nigromance. Astrologie, divination et magie dans l'Occident médiéval, xiie – xve siècle, Paris, Publications de la Sorbonne, 2006. Astrologie non occidentale 1962 : Marguerite Rutten, La Science des Chaldéens, coll. « Que sais-je ? », Paris, Presses universitaires de France, 1962. 1985 : Jacques Halbronn, Le Monde juif et l'astrologie, histoire d'un vieux couple, Milan, Archè, 1985, 433 p. 1996 : Jean Bottéro, L'astrologie mésopotamienne : l'astrologie dans son plus vieil état, dans Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les Astres. Les astres et les mythes, Montpellier, 1996, tome I, p. 159-182. 2007 : (en) Roger Beck, A Brief History of Ancient Astrology, Blackwell (2007). Analyse critique 1944 : Marcel Boll, L'Occultisme devant la science, collection Que sais-je ?, Paris, Presses Universitaires de France, 1944. 1975 : (en) Bart J. Bok, « A critical look at astrology », dans The Humanist, septembre-octobre 1975 (le « manifeste des 186 »). 1982 : Michel Rouzé, La Néo-astrologie au banc d'épreuve, cahier AFIS no 125, septembre, p. 1, 1982. 1983 : Jean-Claude Pecker, 5 réponses à un amateur d'astrologie [archive], L'astrologie et la science, dans La Recherche, no 140, janvier 1983, p. 118 (voir aussi le numéro 142, p. 371-372 ; Astrologie : le débat continue, réponses à G. Preschoux et M. Gauquelin). 1985 : (en) Shawn Carlson (en), A double-blind test of astrology, dans Nature, 318, p. 419-425, 1985. 1986 : Michel Rouzé, « L'astrologie mesurée par le physicien », dans Science et Vie, no 825, juin, p. 62, 1986. 1987 : Évry Schatzman, « La croyance en l'astrologie et l'honneur de la presse », dans Le Monde, 4-5 janvier 1987, p. 30. 1988: R. Culver & P. Ianna, Astrology: true or false ?, Prometheus books, New York, 1988. 1991 : Henri Broch, Au cœur de l'extra-ordinaire, Éditions Book-e-book152. Ouvrage consacré aux pseudo-sciences et croyances erronées, avec un long chapitre consacré à l'astrologie, ses principes, ses failles de raisonnement et ses aberrations. 1991 : Frédéric Lequevre, Astrologie : art, Science ou Imposture ?, coll. « Zététique », Horizon Chimérique, Bordeaux, 1991 (ISBN 978-2-907202-25-1). 1991 : D. Lesueur, L'Astrologie en questions, dans Ciel et Espace, no 254, janvier 1991, p. 32. 1991 : Galipernic Newstein (nom formé avec Galilée, Copernic, Newton, Einstein), « L'astrologie ou comment avoir toujours raison », dans Ciel et Espace, no 254, janvier 1991, p. 36. 1992 : Suzel Fuzeau Braesch, La Preuve par deux, Robert Laffont, 1992. Livre « pro astrologie ». 1993: Jacques Halbronn, Clefs pour l'astrologie, Éd. Seghers, 1993. 1994 : Jacques Halbronn, article « Astrologie », Encyclopædia Universalis, 1994. 1996 : Hervé Drévillon, Lire et écrire l'avenir : l'astrologie dans la France du Grand Siècle, 1610-1715, Éditions Champ Vallon, 1996. 2001 : Michel de Pracontal, L'Imposture scientifique en dix leçons, Paris, La Découverte, coll. « Sciences et société », 2001, 335 p. (ISBN 978-2-7071-3293-2, OCLC 46676918). 2004 et 2006 : Jean-Paul Krivine, Mars ne s’intéresse pas aux sportifs [archive], De nouvelles planètes dans la mare des astrologues [archive] 2007 : Hugues de Chanay, « Impatience dans l'azur : les pages d’horoscopes d'Élizabeth Teissier », dans Ch. Boix (2007, éd.) Manipulation, argumentation, persuasion, Paris, L'Harmattan, p. 295-342. 2007 : S. Bret-Morel, Le déclassement de Pluton, à moyen terme un enjeu majeur pour l'astrologie ? / Les Cahiers du RAMS - Numéro 15 - juillet 2007 [archive], suite [archive], suite [archive] et fin [archive], 2007. Dossier critique sur les questions gênantes que devraient poser prochainement les nouvelles planètes naines à l'astrologie : technique, méthodologie, génération d'un symbolisme astrologique. 2009 : Arkan Simaan, « Ces astronomes-astrologues du passé [archive] », article paru dans Science et pseudo-sciences, revue de l'Association française pour l'information scientifique. 2019 : Daniel Kunth et Philippe Zarka, L'astrologie est-elle une imposture ?, CNRS éditions, 2019. non daté : L'article astrologie de la Revue encyclopédique remise édité par le collectif remise153. Document de synthèse présentant un historique détaillé et sourcé sur la controverse (présentation accessible au discours sceptique). (en) Shawn Carlson, « Astrology » in Experientia, vol. 44, p. 290 (1988). (en) Shawn Carlson, « A Double Blind Test of Astrology » in Nature, vol. 318, p. 419 (5 Dec. 1985). (en) Geoffrey Dean, "Does Astrology Need to be True?" in Skeptical Inquirer, Winter 86-87, p. 116; Spring 1987, p. 257. (en) Geoffrey Dean & Ivan Kelly, "Does Astrology Work: Astrology and Skepticism 1975-2000" in Kurtz, Paul, ed. Skeptical Odysseys. 2001, Prometheus Books. (en) Ivan Kelly, "Modern Astrology: A Critique" in Psychological Reports, vol. 81, p. 1035 (1997). (en) Ivan Kelly, « Why Astrology Doesn't Work » in Psychological Reports, vol. 82, p. 527 (1998). (en) Paul Kurtz & Andrew Fraknoi, « Scientific Tests of Astrology Do Not Support Its Claims » in Skeptical Inquirer, Spring 1985, p. 210. (en) Paul Kurtz et al., « Astrology and the Presidency » in Skeptical Inquirer, Fall 1988, p. 3. (en) Lovi, G. « Zodiacal Signs Versus Constellations » in Sky & Telescope, Nov. 1987, p. 507.

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