dimanche 5 janvier 2025

jacques halbronn Astrologie septennale autour de la question juive

jacques halbronn Astrologie, septennale autour de la "question juive". Dans quelques semaines, Saturne va passer sur l'équinoxe de printemps (hémisphère nord), à 0° bélier sans être encore en conjonction exacte avec Neptune, lequel est déjà passé en bélier un peu plus tôt dans l'année. Pour nous, c'est Saturne qui compte et donc ici le mois de mai 2025, même si dès l'Eté, Saturne rétrograde en poissons pour près d'un an et l'on sera alors en 2026. Par conséquent, la conjonction Saturne-Neptune n'aura lieu qu'en février 2026 C 'est dire que selon que l'on ne prend en compte que la "conjonction" Saturne Bélier ou la conjonction Saturne-Neptune en bélier, il y aura une différence prévisionnelle non négligeable autour d'une année. Or, une année de plus ou de moins, ce n'est pas rien comme l'avons signalé dans un précédent texte autour de 1988 et 1989, Barbault ayant pointé 89 et nous 88, année qui vit réellement les choses basculer et donc 89 n'est que le prolongement. Comment interpréter le passage de Saturne en signe cardinal, en l'occurrence en bélier? Selon nous, c'est une phase favorables aux intellectuels, aux leaders alors que la phase qui se termine sous peu (Saturne en poissons) aura plus été en accord avec le "peuple", la "base". Paradoxalement, pour nous, la phase cardinale est en lien avec le socialisme en ce qu'il a de programmatique (cf le programme commun)- soit la Gauche alors que la phase mutable le serait avec le "populisme" et le peuple de base (d'en bas), soit la Droite. Mais nous ajouterons que la question juive est un enjeu cyclologique majeur car les Juifs sont favorisés par le temps cardinal et malmenés par le temps mutable qui peut leur être fatal, comme nous l'avons montré dans de précédents textes sur le XXe siècle.(Shoah, 7 octobre 2023). C'est dire que les Juifs feraient partie intégrante du systéme astrologique que nous associons avec le "plan divin" en théologie. On ne pourra pas "prouver" l'astrologie sans prendre en compte la question juive en tant que variable principale. L'astrologie permettrait ainsi de comprendre la cyclicité de la présence juive au monde, ses hauts et ses bas. Ainsi pour les 3 ans qui viennent, jusqu'au printemps 2028, quand Saturne entrera en taureau, signe "fixe" neutre (interface entre la cardinal et le mutable) les Juifs seront fortement appréciés, mais pas forcément en connaissance de cause mais de par les qualités de certaines personnalités qui se révéleront (ou pas) être d'origine juive, quelle que soit la confession adoptée par ailleurs. D'ailleurs, cette "supériorité" affirmée et reconnues, ne manquera pas d'alimenter les rancoeurs antisémites de la phase mutable subséquente où d'aucuns entendront prendre leur revanche mais telle est, en quelque sorte, la "régle du jeu", ce qui justifie le processus d'alternance car aucune phase ne saurait s'éterniser en astrologie STP, au delà de 3 ans environ, faute de quoi la notion même d'alternance deviendrait insupportable. On peut donc prévoir qu'à partir de l'entrée de Saturne en bélier, pour la éniéme fois, une certaine élite marquera des points et qu'un certain populisme se verre discrédité, ce qui laisse augurer d'une rupture au sein du Nouveau Front Populaire entre LFI et PS. Il est d'ailleurs "normal" que l'alliance entre ces deux forces ait pu exister en phase mutable (avec la NUPES avant), la question juive (autour d'Israel) n'étant pas absente du débat. Il importe de mettre en avant une dialectique dominants (cardinal)-dominés (mutable) ce qui ferait le lien entre Astrologie et Science Politique( Dominants et dominés Les identités des collections et des agrégats de Fabio Lorenzi-Cioldi : PUG , 2009 JHB 05 01 25

jacques halbronn Astrologie, Début du basculement géopolitique de la fin du XXe siècle en 1988 ou 1989?

jacques halbronn Astrologie Début du basculement géopolitique de la fin du XXe siècle en 1988 ou 1989? "En 1955, dans un ouvrage intitulé Défense et illustration de l'astrologie, André Barbault annonçait trente-quatre ans à l'avance une « échéance capitale » pour l'URSS en 1989. " Or, il s'agit d'une lecture quelque peu biaisée de l'Histoire car 1988 est nettement plus déterminante que 1989 alors même que Saturne n'était pas encore conjoint à Neptune, ce qui ne sera le cas qu'en février 1989.Dès 1978, dans nos Clefs pour l'Astrologie (Ed Seghers, pp/ 158 et seq), c'est bien 1988 que nous signalions sur notre sinusoïde en raison de l'entrée de Saturne en capricorne, signe cardinal. Cela tient au fait que c'est notre modéle Saturne/signe cardinal qui est valable et non Saturne-Neptune. De même avons-nous pointé 1995 (L'Astrologie selon Saturne) soit pour 7 ans plus tard, ce que n'avait pas signalé Barbault, prisonnier de son cycle Saturne-Neptune obsoléte. Wikipedia "La chute des régimes communistes en Europe est l'effondrement entre 1988 et 1991, dans les sept pays de l'Europe centrale et orientale, des régimes communistes que Joseph Staline a installés dans les années 1944 à 1949, officiellement afin de « se constituer un glacier protecteur » à la frontière occidentale de l'URSS, censée être « menacée par l'impérialisme capitaliste ». Devenus des États satellites de l'URSS, ces pays ont adopté, à peu de nuances près, le modèle politique et économique soviétique. Ils étaient liés à l'URSS par des traités bilatéraux d'amitié et de coopération et par une alliance multilatérale militaire, le pacte de Varsovie, et économique, le Conseil d'assistance économique mutuelle (ou Comecon)". Sur le Web Les bouleversements de 1989 en Pologne et en Hongrie Avant que le mur de Berlin ne tombe dans la nuit du 9 au 10 novembre, les régimes communistes s’étaient déjà effondrés dans ces deux pays du bloc de l’Est. Les bouleversements de 1989 en Pologne et en Hongrie 30 ans après son exécution pour avoir tenté d’instaurer une démocratie parlementaire, l’ancien chef du gouvernement Imre Nagy reçoit des funérailles nationales le 16 juin 1989. Crédits : Wikimedia Commons / Fortepan adományozó TM / CC BY-SA 3.0 Peu d’observateurs avaient senti le vent tourner. Peu auraient pu prédire, en cette nuit du 9 novembre 1989, que les postes frontières de Berlin s’ouvriraient un à un sous la pression de la foule. Cette année-là pourtant, dans le sillage de la perestroïka impulsée par Mikhaïl Gorbatchev en URSS, d’importants changements avaient eu lieu en Europe de l’Est. Et notamment en Pologne et en Hongrie. Pologne : la vague Solidarność En 1989, la République populaire de Pologne est, après l’URSS en février, le premier pays du bloc de l’Est à instaurer des élections partiellement libres. Au début de l’année, le pays est dirigé par le général communiste Wojciech Jaruzelski. Il sort d’une année marquée par d’importants mouvements étudiants puis ouvriers, qui ont protesté contre la crise économique et sociale. Impuissant à la résoudre, Jaruzelski demande à Lech Wałęsa, leader du syndicat indépendant Solidarność (Solidarité) pourtant interdit depuis 1981, d’apaiser la contestation. En février 1989, les négociations de la “table ronde” réunissent représentants du pouvoir et du syndicat. Deux mois plus tard, ils aboutissent à un accord : celui-ci prévoit l’organisation d’élections législatives partiellement libres (65% des sièges de la Sejm, la chambre basse du parlement, étant toujours réservés à la coalition gouvernementale composée du parti communistes et d’autres partis satellites, le reste revenant à l’opposition et aux candidats indépendants), ainsi que la création d’un Sénat sans réel pouvoir, et d’un poste de président de la République toutefois réservé à Jaruzelski. Le 4 juin, Solidarność remporte le premier tour des législatives haut la main : il obtient 160 des 161 sièges ouverts de la Sejm et 92 des 100 sièges du Sénat. A l’inverse, seuls 5 candidats gouvernementaux dépassent alors les 50% de voix nécessaires pour remporter directement leur siège à la Sejm, les 264 autres devant attendre le second tour. Ces résultats totalement imprévus créent alors un profond choc psychologique dans la société polonaise, le pouvoir en sortant délégitimé. Approuvé par les parlementaires à la présidence de la République (avec une seule voix de majorité, les autres bulletins étant blancs ou nuls), Jaruzelski accepte de nommer un membre de Solidarność, Tadeusz Mazowiecki, au poste de Premier ministre. Celui-ci est investi le 24 août à une écrasante majorité, et devient ainsi le premier dirigeant non communiste d’un pays membre du bloc de l’Est. L’URSS laisse faire, confirmant alors que la “doctrine Brejnev” (prônant l’intervention soviétique dans les États satellites) a bien pris fin, comme l’avait laissé entendre le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev dès son arrivée au pouvoir en 1985. En décembre, la Constitution polonaise est réformée : toute référence au rôle dirigeant du parti communiste y est éliminée tandis que le pays prend officiellement le nom de “République de Pologne” . Le Parlement approuve également un plan de réformes inaugurant une transition accélérée vers l’économie de marché. Un an après, en 1990, Lech Wałęsa sera élu président de la République au suffrage universel. Hongrie : une première brèche dans le Rideau de fer Peu de temps après la Pologne, la Hongrie adopte à son tour le pluralisme politique. Elle est aussi, avant que le mur de Berlin ne tombe, le premier pays à ouvrir sa frontière à l’Ouest. Le pays est, depuis les années 1970, considéré comme un îlot de relatives prospérité et liberté au sein du bloc de l’Est. La fin des années 1980, marquée par l’inflation, la baisse du pouvoir d’achat et l’apparition du chômage, voit se multiplier les contestations sociales. En novembre 1988, un jeune cadre réformateur, Miklós Németh, prend la direction du pays. Sous son impulsion, le Parti communiste hongrois accepte, en février 1989, le principe d’une “transition graduelle” vers le multipartisme (à condition que les nouveaux partis acceptent le socialisme). En juin 1989, les protagonistes de l’insurrection de Budapest de 1956, alors écrasés par l’URSS, sont réhabilités. Parmi eux, l’ancien chef du gouvernement Imre Nagy, exécuté après avoir tenté d’instaurer une démocratie parlementaire, reçoit des funérailles nationales. En octobre, le PC hongrois devient le premier du bloc de l’Est à s’auto-dissoudre. Les réformateurs créent le Parti socialiste hongrois, acquis au pluralisme, à la démocratie représentative et à l’économie de marché. Puis le parlement réforme la constitution pour instaurer la séparation des pouvoirs, les droits de l’homme et les droits civiques. Le 23 octobre, jour du 33e anniversaire de la révolte de 1956, la quatrième “République de Hongrie” est officiellement proclamée. Entretemps, la Hongrie a aussi été le premier pays à ouvrir une brèche dans le Rideau de fer. Afin d’échapper à une coûteuse rénovation de la frontière, alors en très mauvais état, le gouvernement décide en février de démanteler les installations de la frontière austro-hongroise. Après l’assurance reçue à Moscou en mars par Miklós Németh de la part du dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev qu’il “n’y aura[it] pas de nouveau 1956”, les barbelés sont coupés au printemps. La frontière est ensuite officiellement ouverte le 10 septembre. Déjà conséquent depuis l’été, l’exode des Allemands de l’Est, qui transitent par la Hongrie et l’Autriche afin de rejoindre la RFA, devient massif. Celui-ci fragilise davantage encore le régime est-allemand, confronté en octobre à d’importantes manifestations qui participeront elles-mêmes à la chute du mur de Berlin le 9 novembre." Dès 1976, dans nos Clefs pour l"astrologie, nous avions mis en avan sur notre sinusoïde de la "grande courbe de Saturne" l'an 1988 et non l'an 1989 JHB 05 01 25 JHB 05 01 25