lundi 13 mai 2024

jacques Halbronn sur le "stellarisme" par Pierre Alain Gouanvic (2011)

WIKIPEDIA Section Critiques (Halbronn) J'ai ôté cette section : == Critiques == {{Référence insuffisante|Les travaux de [[Jacques Halbronn]] signalent une lacune grave dans la détermination des configurations considérées, du fait que l'on ne tient aucun compte des aspects entre planètes et étoiles fixes.(voir Journal de bord d'un astrologue, site teleprovidence.Com)}} Raison : comparez avec ce qu'Halbronn dit vraiment : Au cours de la première décennie, l’on vit apparaître en France ce que l’on a parfois appelé le « stellarisme », autour de certaines étoiles fixes, notamment les quatre appelées « royales » qui divisaient le zodiaque selon une sorte de quadrilatère. C’est ce qu’on a appelé quelquefois « L’Astrologie Quatre Etoiles » (2). L’intérêt du stellarisme tenait notamment au fait que l’on ne tenait pas compte d’un quelconque découpage du zodiaque , dans la mesure où ce qui comptait était fonction de certains aspects entre planètes (en fait Saturne, principalement) et étoiles. Mais la voie du stellarisme allait aboutir à une impasse (3), dans la mesure où les résultats sur le terrain étaient par trop décalés par rapport au modèle, ce qui impliquait d’accepter des orbes excessives, au-delà desquelles les repères ne font plus guère sens. Or, il est apparu que le passage d’une phase à l’autre coïncidait étrangement avec l’ayanamsa généralement estimé à 24-25°, soit le décalage entre les deux zodiaques. Source : Jacques HALBRONN - Le Retour du sidéralisme au cours de la deuxième décennie du XXIe siècle En fait, Halbronn considère que l'échec de ce stellarisme (aspects étoiles-planètes) prouve le sidéralisme. Dommage quand même qu'il ne soit pas question des aspects étoiles-planètes avec des étoiles qui ne sont pas, contrairement à Pléiades-Aldébaran-Régulus-Antarès (je suppose que c'est de ça qu'on parle), à proximité de l'écliptique. Existe-t-il des astrologues qui se posent la question de l'aspect réel entre, disons, Sirius, qui est bien loin de l'écliptique, et les planètes? --Pierre-Alain Gouanvic Ubuntu! 9 août 2011 à 05:53 (CEST)

Jacques Halbronn Astrologie . Gauquelin et le parcours nocturne des planétes. Présence stellaire et Shabbat

jacques halbronn Astrologie Gauquelin et le parcours nocturne des planétes; Présence stellaire et Shabbat Le shabbat débute et se termine avec l'apparition des trois premières étoiles dans le ciel" On comprend pourquoi le Shabbat débute le vendredi soir, à la tombée de la nuit et se termine dans les mêmes conditions, le lendemain. Cela nous rappelle que le Ciel étoilé dépend de la nuit, ce qui relativise quelque peu l'importance accordée au lever et à la culmination d'un astre si l'on admet la nécessité d'une interaction (instrumentalisation) délibérée entre les hommes et les astres. Dès lors, nous sommes enclins à penser que si les sociétés de notre Humanité terrestre ont pu s'accorder avec le ciel, cela aura plutôt été la nuit que le jour. Si certains rituels ont pu s'organiser en rapport avec un certain totem planétaire, il y a fort à parier que cela eut lieu dans la période nocturne du mouvement diurne. On peut dès lors penser que la position d'une planéte à son coucher (descendant) serait plus significative qu'à son lever (ascendant) Il ne semble pas que Michel Gauquelin ait abordé une telle problématique ( cf nos études in Les Personnalités planétaires, Ed Trédaniel, 1992) du jour et de la nuit. Il reste que la pratique shabbatique témoigne de cette prédominance de la nuit sur le jour comme marqueur du temps planétaire.. Cela dit, Gauquelin englobe dans ses statistiques des " zones astronomiquement privilégiées (lever, culmination et points opposés) donc également le parcours nocturne, qui selon nous serait le plus significatif".C'est dire que l'on ne saurait dissocier l'étude des planétes de la présence stellaire. Archives Wikipedia 'La havdalah (en hébreu : הבדלה) est une prière juive dite le soir de shabbat par les Juifs et qui exprime la séparation du kodesh (saint) et du 'hol (ordinaire), c'est-à-dire le passage du shabbat aux jours normaux de la semaine. Cette prière se dit dès la « sortie » de shabath, c'est-à-dire à la fin du jour du shabbat, à l'apparition des trois premières étoiles dans le ciel ou 20 à 120 minutes (selon les traditions communautaires) après le coucher du soleil. La prière est suivie de chants et psaumes. Ces bénédictions ont pour mission de consoler du départ de la sainteté de la reine Shabbat." JHB 13 05 24

jacques halbronn Critique biblique et Astrologie. Abraham et les étoiles. Le syncrétisme Elohim/ Yahwé

jacques halbronn Critique biblique et Astrologie. Abraham et les étoiles, Le syncrétisme Elohim/Yahwé. Les promesses divines faites à Abraham(Genése XV et XXVI) nous font probléme. En effet, notre idée de la présence juive au monde n'est pas liée à la quantité représentée par l'immensité étoilée! Il y a là une idéologie d'en bas et non d'en haut, celle des Israélites et non celle des Hébreux. L'idée de "peuple élu' ne correspond pas à une telle métaphore. Cela vient confirmer nos soupçons quant à une empreinte massive du monde israélite, notamment lors de son repli vers le Royaume de Juda, à la suite de la destruction au VIIIe siècle avant JC, du Royaume sécessioniste du Nord. genése XV ה וַיּוֹצֵא אֹתוֹ הַחוּצָה, וַיֹּאמֶר הַבֶּט-נָא הַשָּׁמַיְמָה וּסְפֹר הַכּוֹכָבִים--אִם-תּוּכַל, לִסְפֹּר אֹתָם; וַיֹּאמֶר לוֹ, כֹּה יִהְיֶה זַרְעֶךָ. 5 Il (Dieu) le (Abraham) fit sortir en plein air, et dit: "Regarde le ciel et compte les étoiles: peux-tu en supputer le nombre? Ainsi reprit-il, sera ta descendance." Genése XXVI ד וְהִרְבֵּיתִי אֶת-זַרְעֲךָ, כְּכוֹכְבֵי הַשָּׁמַיִם, וְנָתַתִּי לְזַרְעֲךָ, אֵת כָּל-הָאֲרָצֹת הָאֵל; וְהִתְבָּרְכוּ בְזַרְעֲךָ, כֹּל גּוֹיֵי הָאָרֶץ. 4 Je multiplierai ta race comme les astres du ciel; je lui donnerai toutes ces provinces et en ta race s'estimeront bénies toutes les nations du monde: D'ailleurs dans Exode III, ce dieu qui s'adresse à Moise ne revendique-t-il pas le lignage "Abraham, Isaac, Jacob"? Ce Jacob qui se trouvera affublé, dès le Livre de la Genése, du surnom d'Israel, référence revendiquée par les peuplades du Nord, à la mort de Salomon lesquelles seront d'ailleurs désignées comme Beney Israel, fils, enfants d'Israel; כח וַיֹּאמֶר אֵלָיו, מַה-שְּׁמֶךָ; וַיֹּאמֶר, יַעֲקֹב. 28 Il lui dit alors: "Quel est ton nom?" Il répondit: "Jacob." כט וַיֹּאמֶר, לֹא יַעֲקֹב יֵאָמֵר עוֹד שִׁמְךָ--כִּי, אִם-יִשְׂרָאֵל: כִּי-שָׂרִיתָ עִם-אֱלֹהִים וְעִם-אֲנָשִׁים, וַתּוּכָל. 29 Il reprit: "Jacob ne sera plus désormais ton nom, mais bien Israël; car tu as jouté contre des puissances célestes et humaines et tu es resté fort." טו וַיֹּאמֶר עוֹד אֱלֹהִים אֶל-מֹשֶׁה, כֹּה-תֹאמַר אֶל-בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, יְהוָה אֱלֹהֵי אֲבֹתֵיכֶם אֱלֹהֵי אַבְרָהָם אֱלֹהֵי יִצְחָק וֵאלֹהֵי יַעֲקֹב, שְׁלָחַנִי אֲלֵיכֶם; 15 Dieu (Elohim) dit encore à Moïse: "Parle ainsi aux enfants d'Israël: ‘L'Éternel (Yahwé), le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, m'envoie vers vous.’ Etrangement, dans le texte hébreu, il y a un distingo au verset 15, C'est Elohim qui s'adresse à Moïse qui demande à Moise de parler au nom de Yahwé "le dieu de vos pères"! Mais aux versets 4-6, on alterne Yahwé et Elohim. On est en plein syncrétisme! Tout se passe comme si les "faussaires" avaient voulu jouer sur les deux tableaux, en donnant des gages à l'intention des deux camps comme dans la formule "Yahwé Elohénou" que l'on trouve en tête du Shma (Ecoute) Israel. ד וַיַּרְא יְהוָה, כִּי סָר לִרְאוֹת; וַיִּקְרָא אֵלָיו אֱלֹהִים מִתּוֹךְ הַסְּנֶה, וַיֹּאמֶר מֹשֶׁה מֹשֶׁה--וַיֹּאמֶר הִנֵּנִי. 4 L'Éternel (Yahwé) vit qu'il s'approchait pour regarder; alors Dieu(Elohim) l'appela du sein du buisson, disant: "Moïse! Moïse!" Et il répondit: "Me voici." ו וַיֹּאמֶר, אָנֹכִי אֱלֹהֵי אָבִיךָ, אֱלֹהֵי אַבְרָהָם אֱלֹהֵי יִצְחָק, וֵאלֹהֵי יַעֲקֹב; וַיַּסְתֵּר מֹשֶׁה, פָּנָיו, כִּי יָרֵא, מֵהַבִּיט אֶל-הָאֱלֹהִים. 6 Il ajouta: "Je suis la Divinité de ton père, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob..." Moïse se couvrit le visage, craignant de regarder le Seigneur (Elohim) JHB 13 05 24

jacques halbronn Linguistique Le modéle cyclique ternaire : long, bref, long, féminin masculin-pluriel.

jacques halbronn Linguistique Le modéle cyclique ternaire: long-bref-long, féminin-masculin-pluriel. Pour nous, la grammaire obéit à une logique cyclique, donc circulaire Dans notre modéle ternaire, on passe du féminin -long- au masculin- abrégé- puis au pluriel (ou à un dérivé) - long. Exemple: grande,gran (d), grandement . constante, constan (t), constamment. Dans le cas de national, on commencera par le féminin "nationale" puis on passera au masculiin où la L final est occulté: nationa(l) en trosiéme position, celle du pluriel : nationaux Se pose la question du marqueur de genre dans la conugaison. Les formes "Je mange", "tu manges" ne précisent pas (ou plus) le genre du locuteur ou de l'interlocuteur. En revanche, le verbe être associé à un participe verbal marque le genre sauf dans le cas du participe passé de la conjugaison du premier groupe (aimée/aimé au lieu de aiméde/aime(d). On peut dire je suis aimant, aimante mais j'aime, en revanche ne l'indique pas, et cela vaut aussi pour le pronom personnel de la première et deuxiéme personne du singulier et du pluriel , alors que la troisiéme personne distingue entre il et elle, ils et elles. Rappelons que pour nous, contrairement à l'enseignement ordinaire du français, on ne passe pas du masculin au féminin mais bien du féminin au masculin, ce qui sous tend notre modéle circulaire. JHB 13 05 24

jacques halbronn Astrologie et demi-cycle planétaire. Les biais cognitifs d'André Barbault

jacques halbronn Astrologie et demi-cycle planétaire. Les biais cognitifs d'André Barbault Place de l'opposition. Il importe de démarquer l'astrologie et l'astronomie en ce qui concerne la question cyclique. La grande erreur des frères Barbault (Armand et André) vient d'une incompréhension de la logique des aspects. C'est ainsi qu' André Barbault n'aura pas compris que l'opposition était parfaitement assimilable à la conjonction en ce qu'elle enclenche un demi-cycle en toute symétrie. Or, dans la formulation de son indice cyclique, à la suite de Gouchon, Barbault propose que la conjonction entre deux planétes 'lentes" fasse descendre la courbe alors que l'opposition tendrait à la faire "remonter", ce qui est d'ailleurs d'autant plus étrange que l'opposition n'est nullement qualifiée en astrologie d'aspect harmonieux. Cette bévue s'explique du fait d'un biais cognitif à savoir la volonté d' expliquer les deux guerres mondiales par la mise en évidence d'un "dénominateur commun", au niveau céleste, à savoir les amas planétaires en recourant à l'image commode d'un déséquilibre zodiacal sur les plateaux d'une balance.Comparaison n'est pas raison! En fait, il nous faudrait parler en termes de "demi-cycles" et donc, dans le cas de Saturne, au coeur de l'Astrologie EXOLS, de cycles de 14 ans et non de 28 ans, chaque cycle de 14 ans se décomposant en deux temps de 7 ans, en lien avec les équinoxes et les solstices, eux mêmes en double exemplaire. Autrement dit , le cycle Saturne-Neptune n'est pas de 36 ans mais de 18 ans, sur la base de l'alternance conjonction/opposition. Et Barbault ne se saura guère intéressé à une telle échéance et aura pointé les seules conjonctions, ce qui, épistémologiquement, est irrecevable et d'ailleurs on sait quelle fut sa déconfiture au début des années 80. Mais cela tien à cette idée de configuration de deux planétes alors que la seule conjonction est celle entre une planéte et une étoile fixe équinoxiale ou solsticiale, déterminée sur la base de la précession des équinoxes. JHB 13 05 24

jacques halbronn Astrologie. La dialectique oubliée: étoiles-planétes

jacques halbronn Astrologie La dialectique oubliée étoiles-planétes . La plupart des traités d'astrologie n'abordent pas la question des étoiles "fixes" et en tout cas ne trouvent pas dans cette différenciation au regard du ciel matière à réflexion. Ce qui est fort dommage et dommageable! Selon nous les étoiles, par leur nombre infiniment supérieur à celui des planétes sont à mettre en analogie avec la masse, la foule alors que les planétes, du fait de leur rareté, concernent une certaine élite socio-professionnelle, socio-culturelle. D'un côté, des étoiles sans nom, regroupées au sein d'ensembles appelés "constellations", c'est à dire assemblages d'étoiles, de l'autre des planétes qui ont chacune reçu un nom, pris dans le corpus mythologique. Sociologiquement, force est de constater que sur terre, se manifeste la même dualité entre une population (vulgum pecus) anonyme et instrumentalisable, dont l'identité ne tient pas à ce qu'elle est en soi mais bien au rôle, à la fonction qui lui sont assignés et entre une élite, au caractère bien affirmé qui ne se laisse pas manipuler. Sur le plan astrologique, nous avons souligné que le rôle des étoiles était de marquer les axes "tropiques" (les deux solstices, les deux équinoxes), ce qui implique, au prisme de la précession des équinoxes, un certain roulement, telle étoile pouvant servir à un instant T et être remplacée un peu plus tard par une autre étoile, éventuellement de la même constellation. La détermination des "ères" en rapport avec la position du point vernal est assez floue, puisqu'il n'y est pas question d'un rapport entre le point vernal et une étoile précise mais de son prolongement au sein d'un tel ensemble stellaire. En ce sens, on parlera d'une personnalité "stellaire" pour désigner un individu assez quelconque,qui n'existe que par ce qu'on lui aura assigné face à une personnalité "planétaire", beaucoup mieux dessinée et une telle dualité n'est pas signalée dans la littérature astrologique, ce qui passe à côté d'un enjeu sociétal crucial. Paradoxalement, les personnalités les moins structurées seront attitrées par la notion de thème natal alors que celles qui ont une forte "personnalité" préféreront s'intéresser à l'astrologie mondiale. JHB 13 05 24