samedi 25 mai 2024

jacques halbronn Astrologie et Bible Equinoxialité et sacrifice du Fils

jacques halbronn Astrologie et Bible Equinoxialité et sacrifice du Fils Il nous importe de retrouver les traces de l'Astrologie que nous développons en signalant des recoupements avec le corpus biblique dans la mesure où cette Astrologie que nous présentons. est censée être celle des origines. Nous avons déjà évoqué le Songe de Pharaon à propos des 7 vaches maigres dévorant 7 vaches grasses, ce qui est interprété par Joseph comme annonçant deux séries de 7 années, ce qui est la base d'une astrologie "saturnienne';la planéte Saturne étant appelée dans le Sefer Yetsira, Shabtaï, à rapprocher du Shabbat, septième jour, mis en avant dans les Dix Commandements. comme le jour où l'on doit cesser certaines activités. Il y a donc une dualité ainsi instaurée entre deux temps. Exode XX ח שֵׁשֶׁת יָמִים תַּעֲבֹד, וְעָשִׂיתָ כָּל-מְלַאכְתֶּךָ. 8 Durant six jours tu travailleras et t'occuperas de toutes tes affaires, ט וְיוֹם, הַשְּׁבִיעִי--שַׁבָּת, לַיהוָה אֱלֹהֶיךָ: לֹא-תַעֲשֶׂה כָל-מְלָאכָה אַתָּה וּבִנְךָ וּבִתֶּךָ, עַבְדְּךָ וַאֲמָתְךָ וּבְהֶמְתֶּךָ, וְגֵרְךָ, אֲשֶׁר בִּשְׁעָרֶיךָ. 9 mais le septième jour est la trêve de l'Éternel ton Dieu: tu n'y feras aucun travail, toi, ton fils ni ta fille, ton esclave mâle ou femelle, ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes murs. י כִּי שֵׁשֶׁת-יָמִים עָשָׂה יְהוָה אֶת-הַשָּׁמַיִם וְאֶת-הָאָרֶץ, אֶת-הַיָּם וְאֶת-כָּל-אֲשֶׁר-בָּם, וַיָּנַח, בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי; עַל-כֵּן, בֵּרַךְ יְהוָה אֶת-יוֹם הַשַּׁבָּת--וַיְקַדְּשֵׁהוּ. {ס} 10 Car en six jours l'Éternel a fait le ciel, la terre, la mer et tout ce qu'ils renferment et il s'est reposé le septième jour; c'est pourquoi l'Éternel a béni le jour du Sabbat et l'a sanctifié. Nous avons pour notre part, qualifié les 7 années de vaches maigres d'"équinoxiales face aux années de vaches grasses qui ont précédé de solsticiales La phase équinoxiale "maigre" indique une idée de décantation, de réduction, d'abréviation comme nous l'avons fait observer lors du passage du féminin au masculin (en français, grande/grand, vieille/vieux). En d'autres termes, la phase équinoxiale implique un délestage, un deuil, un abandon, une évacuation à l'opposé de la phase solsticiale où l'on se remplit, accumule/emmagasine. Vient un temps où il faudra bien passer des vaches grasses aux maigres, au bout de 7 années, ce qui exigera des sacrifices, un tri. Et cela nous conduit au sacrifice du fils demandé à Abraham.(Genése XXII), ce qui, selon nous, évoque le passage vers l'équinoxialité. On peut retrouver une telle problématique dans le Nouveau Testament à propos de Jésus "fils de Dieu", voué à la crucifixion. Avec l'équinoxialité on passe du "plus" au "pas plus".. Nous proposons une lecture des Dix Commandements à la lumière d'un tel schéma. Les commandements négatifs qui s'enchainent.(Exode XX) ne devraient-ils pas être compris comme une pratique à laquelle il faut renoncer. Et d'ailleurs, si cette pratique n'existait pas, pourquoi l'interdire? Le tueras point devient alors un "tu ne tueras plus", ce qui introduit à nouveau une dualité, un avant et un après voire une alternance, ce qui peut laisser l'éventualité d'une cyclicité, d'un retour à un premier stade. Il est clair que la convoitise du bien d'autrui avait dû entrer auparavant dans les moeurs... En ce qui concerne la scéne du Jardin d'Eden avec le "fruit défendu" ne pourrait-on y voir une pratique à abandonner ou en tout cas à interrompre, à suspendre? Or, la femme se refuse à renoncer à ce fruit qu'elle avait probablement l'habitude de consommer car quel mérite aurait-on à renoncer à quelque chose dont on n'a pas eu l'usage, la connaissance? . JHB 25 05 24

jacques halbronn Remarque sur "Les Initiés" de l'An Mille à nos jours de Jean Jacques Beidu

jacques halbronn Remarques sur » Les Initiés », de l’An Mille à nos jours de Jean Jacques Beidu (Robert Laffont, 2018) On s’arrêtera sur la notice que l’auteur consacre à Nostradamus. Beidu cite d’ailleurs l’un de nos ouvrages (p/ 354) à savoir Papes et prophéties. ed Axiome, 2005) dans lequel nous traitions de Nostradamus mais surtout du pseudo Malachie et de sa Prophétie des papes, c’est certainement dans les années 1590 qu’il faut situer un âge d’or du prophétisme en vue de peser sur l’élection de tel pontife ou de tel prince.. L’auteur fait référence probablement à nos études consacrées au couronnement d’Henri IV en 1594 . On doit cependant se demander si tel commentateur de Nostradamus n’identifiait pas ce prince à l’Antéchrist annoncé dans son épitre au Pape Pie IV étant entendu que Nostradamus n’aurait pas été en mesure d’être lui-même en phase avec cette période et de toute façon, il s’agit de textes de circonstance bien postérieurs à la vie de Nostradamus. On regrettera que Beidu entérine le fait que Nostradamus aurait publié ses Prophéties de son vivant, alors qu’il s’agit d’une production posthume et de quatrains qui ne sont certainement pas de son cru. Si Nostradamus eut du succés de son temps, ce n’est certainement pas du à ses centuries de quatrains mais plutôt à ses publications annuelles qui servirent d’ailleurs aux faussaires. Les quatrains de ces almanachs parus de son vivant sont à l’origine du concept de centuries de quatrains. On regrettera donc que Beidu présente comme donnée biographiques des parutions du temps de la Ligue, 20 ans après sa mort. On sait notamment que certains quatrains furent des versifications de la Chemin des Guides de France de Charles Estienne et il est fâcheux, tout de même, qu’on laisse entendre que Michel de Nostredame ait recouru à de tels expédients besogneux. (cf nos Documents inexploités sur le phénoméne Nostradamus, Ed Ramkat, 2002). L’ironie veut que certains imitateurs de Nostradamus aient été récupérés par les faussaires, comme un Antoine Crespin. L’obstacle pour ceux qui se risquent à traiter de Nostradamus est bien de ne pas parvenir à séparer le bon grain de l’ivraie et d’attribuer à Nostradamus ce qui n’est pas de son fait. . En ce qui concerne les auteurs sélectionnés, on reléve des absences, comme celle d’Etteilla à la fin du XVIIIe siècle (cf L’astrologie du Livre de Toth, Ed Trédaniel, 1993), et pour le « grand Siècle », un Jean Baptiste Morin (de Villefranche) (cf notre édition de ses Remarques Astrologiques (1654) mais il est possible que Beidu n’ait pas classé les études consacrées à l’astrologie ou au Tarot dans la catégorie des « Initiés » et des « grandes traditions ésotériques »(4e de couverture) On trouve certes à propos de Campanella ‘(p.474) un paragraphe intitulé « Astrologue du pape ». En revanche le IVe Livre de la République de Jean Bodin sur les astres et la politiques n’est pas référés, lui qui eut une polémique avec l’astrologue toulousain Auger Ferrier (cf J. Halbronn, « La traduction anglaise des « Jugements astronomiques sur les nativitez » d’Auger Ferrier », Mémoire de DEA, Departement Anglais, Université Lille III, 1981 PS Réflexions sur le "Nostradamus s'en va-t-en guerre 1914-1918 " de Jean Yves Le Naour , Préface Jay Winter. Ed Hachette, 2008 Saluons la parution de cet ouvrage fruit d'une recherche bibliographique remarquable mais totalement ignorant de nos propres travaux parus successivement en 1992 et 1995 (Ed Trédaniel, Collection La Grande Conjonction). La Vie astrologique, il y a cent ans d'Alan Léo à Barler et La Vie astrologique, années trente cinquante de Maurice Privat à Néroman. L'auteur "docteur en histoire contemporaine" ne semble pas davantage avoir pris connaissance de nos publications sur Nostradamus ( Documents inexploités sur le phénoméne Nostradamus, Ed Ramkat 2002) mais le titre est à prendre au niveau symbolique car on y traite des Centuries que très accessoirement. JHB 24 05 24

jacques halbronn Réflexions autour du Traité Pratique d'Astrologie Mondiale d'Horicks et Michaud

jacques halbronn Réflexions autour du Traité Pratique d'Astrologie mondiale d'Horicks et Michaud, Nice, juin 1941 Ed des "Soirées Astrologiques") Cet ouvrage ne doit pas être oublié quand on aborde l'indice cyclique d'André Barbault (Les astres et l'Histoire, 1967) lequel se référe au seul Henri Gouchon pour des publications datant de la fin des années Quarante. C''est ainsi que l'intérêt de Barbault pour le début des années 80 du siècle dernier, ne peut guère s'expliquer sans l'existence du Traité de 1941 Dès les premières pages, les auteurs (en couple) mettent en avant les "grandes conjonctions planétaires" Page 10, on lit "Certaines conjonctions caractéristiques des trajectoires s'imposent immédiatement à l'observation du profane(conjonctions importantes 1850 à 1852, 1881 à 1894, 1914 à 1921, 1940, 1941 1942 1943 1945, 1947 sont autant d'étapes marquées par la course des planétes dans l'espace! 1981 ouvree une étape nouvelle, la grande échéance du XXe siècle dont le noyau central se dessine nettement de 1988 à 1992, comme l'indique notre graphique (...) 1914-1915, la guerre mondiale donnant naissance en 1917 à la révolution russe et au nouvel ordre européen (..)Nous arrivons à une nouvelle concentration astrale (conjonctions multiples: 1940, 1941, 1942 d'où surgira une ordre nouveau (..) Quoi qu'il en soit, la grande échéance du XXe siècle se situe très nettement de 1981 à l'an 2000 avec les saillies caractéristiques en deux étapes fondamentales: 1981, 1982, 1983 puis 1988-1989, 1992, les années 1997 et 2000 sont importantes mais s'effacent comparativement aux années majeures qui précédent" On notera que les années 1989-1992 sont soulignées, ce qui se retrouvera chez Barbault (Défense et Illustrations de l'Astrologie, Grasset, 1955) avant sa publication de 1967 relative au début des années 80. C 'est dire que la fixation sur 1981 comme temps majeur, après les deux guerres mondiales, revient à ces auteurs belges, passés de Bruxelles à Nice dans les années 40. Pour notre part, la méthode proposée dans ce Traité ne saurait être pérenisée car les conjonctions planétaires sont un substitut au "triangle" planéte/étoile fixe/point vernal), l'unité de base étant de 14 ans, soit la moitié d'une révolution sidérale de Saturne. Il reste que ces auteurs portent la responsabilité du fiasco prévisionnel de Barbault pour 1981 lequel met en évidence le peu de valeur à accorder aux "conjonctions planétaires". Mais revenons sur le cycle Saturne -Neptune qui occupera Barbault dans ses publications des années cinquante avec notamment la mort de Staline en 1953. On lit à la page 34 de notre Traité Pratique d'Astrologie Mondiale à propos de ce cycle: "La dernière conjonction se fit vers 5° du Lion en 1917 (...)Elle se renouvellera en 1953 vers 23° de la Balance" No comment! .On notera que Barbault publiera un "Traité Pratique d'astrologie" reprenant le titre d'H et M. Les auteurs (p. 195) notent en 1941 "Nous avons été étonnés de retrouver sans citation de sources des idées et passages de nos conférences dans un récent ouvrage sur l'astrologie mondiale écrit et édité par deux astrologues à qui nous avions offert gracieusement nos travaux. Nous espérons qu'il s'agit d'un oubli" qui est ici visé? On retrouve cette observation dans le Manuel de G B de Surany (Nice, Ed Cahiers Astrologiques, 1941);" A chaque coup (Saturne/Neptune) ce sont des mouvements révolutionnaires qu'elles provoquent comme nous l'a démontré le passé et comme nous le démontra, plus récente, celle du Ier aout 1917 (..) C'est elle qui déclencha la révolution communiste en Russie" En 1951, Michel de Socoa ( Ed Chacornac) avait mis l'accent sur l'année 1989 (Réédition 1981, p. 39) comme le rappelle Marc Cerbère "Michel de Socoa et la grande doriphorie de 1989 pour l’URSS" AstresNet.org | 2010), soit 4 ans avant le pronostic de Barbault pour cette même année. On s'arrêtera sur la "conclusion" de l'ouvrage qui nous semble fort discutable:" Plus l'homme s'initie à la connaissance du cosmos (..)plus il se sent petit, humble, reconnaissant envers les bienfaits de la Nature, où tout est organisé,prévu en vue de son bonheur" Or, l'ordre astrologique n'est aucunement celui de la Nature mais bien plutôt d'une "SurNature" établie par une certaine Humanité, qui n'est probablement pas la notre mais qui n'est surement pas assimilable à la "Nature" - ce qui reléve de la question d'une "humanité" extra-terrestre. Bibliographie Patrice Gunard signale: dans son étude sur l'Astrologie française au XXe siècle: "Louis HORICKS (1900-1992) & Henriette MICHAUX, Traité pratique d'astrologie mondiale (Nice, Les Soirées Astrologiques, 1941) - cet ouvrage (avant ceux de Michel de Socoa, Dane Rudhyar, Robert Doolaard, André Barbault, San Miguel de Pablos...) avance la possibilité d'une analyse des grandes mutations historiques en fonction des conjonctions des planètes lentes, et notamment des cycles Pluton-Neptune et Neptune-Uranus." L. HORICKS & H. MICHAUX, Traité pratique d'astrologie mondiale, suivi de La Clé des prédictions nostradamiques. Cédra-Astralis, 1990 [2e édition]. JHB 25 05 24

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