mardi 11 juin 2024

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jacques halbronn L'astronomie est bien moins déterminante que l'astro...

jacques halbronn théologie. Le dieu de la Génése est celui qui circonsc...

jacques halbronn Le plafonneent (l'impasse= de l'astrologie du siècle dernier; Le cas Gauquelin

jacques halbronn Le plafonnement (l'impasse) de l'astrologie du siècle dernier. Le cas Gauquelin. Il ne s'agit pas ici de remettre en cause les résultats Gauquelin mais d'en montrer les limites voire les impasses. Entendons par là que même si les travaux en question étaient inattaquables - point sur lequel nous ne nous prononcerons pas - ils ne contribuent guère à l'élaboration d'une véritable astrologie de la Cité et ils ne font qu'exhumer une astrologie dans les limbes, aux bases astronomiques fort réduites puisqu'elle est limitée au mouvement diurne, quotidien, sans aucune référence aux révolutions planétaires qui diffèrent entre elles alors qu'au regard du mouvement diurne, les planétes sont mises sur un pied d'égalité, ce qui aura permis d'intégrer dans le "thème" les transsaturniennes, au même titre que la lune ou le soleil! Cette astrologie là aura été le fait d'une humanité primitive (cf notre essai La pensée astrologique in Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact 1986). On pourrait parler d'une astrologie préadamique, antérieur à la Création du systéme astrologique tel qu'évoqué au premier chapitre du Livre de la Génése. Une telle astrologie était liée à des rituels qui rythmaient l'existence de tribus dotées de totems planétaires. Contrairement à ce que pensait Gauquelin (cf notre étude in Les personnalités planétaires, Ed Trédaniel, 1992), ce n'était probablement pas une astrologie articulée sur le moment de la naissance mais cela consistait en une astrologie horaire, élective tout au long de la vie et le rapport à la naissance n'est qu'un épiphénoméne et non un point de départ. JHB 11 06 24

Jacques halbronn Ne faut il pas plus respecter le produit transformé fac...

Jacques halbronn Astrologie; Le cas de Jordan Bardeelle lié à l'axe ...

jacques halbronn Linguistique. Epistémologie. Repenser la dialectique signifiant.signifié et le rapport Astronomie/astrologie

jacques halbronn Linguistique. Epistémologie. Repenser la dialectique signifiant/signifié Nous reprendrons à nouveaux frais la problématique signifiant./signifié en nous démarquant de ce que nous avons pu proposer par le passé. Pour nous, la recherche scientifique s’apparente à une enquéte policière et telle piste pourra être abandonnée, éventuellement, au profit d’une autre, d’où le suspense qui caractérise nos publications successives. Précédemment, nous écrivions que l’on passait du signifiable au signifié en passant par le signifiant. Désormais, à la lumière de notre étude sur les rapports entre astronomie et astrologie, nous dirons que le systéme astrologique est le signifiant, le signifié étant ce qui est ainsi déterminé. Quant au signifiable,ce sont les astres sous leurs diverses formations, que l’on peut utiliser comme repères, en raison de leur visibilité et non point du fait de leur « influence » globale. Entendons par là que ce que nous appelons « systéme astrologique » recouvre la relation instaurée entre certains éléments célestes et certains éléments ‘humains », ce qui implique une élection, une sélection et non une prise en bloc ni pour le céleste, ni pour le terrestre. La grande erreur des astrologues du XXe siècle aura été précisément cette prise en bloc, à savoir que tout ce qui était céleste, à commencer par la totalité des astres de notre systéme solaire, devait nécessairement faire sens pour l’astrologie et impacter systématiquement tous les humains, au prisme de leur moment et lieu de naissance. Reprenons notre description exposée plus haut, le signifiable, c’est tout ce qui est perceptible mais cela n’implique aucunement que ce matériau devra être exploité in extenso. Il serait fait appel au signifiable au prorata des besoins de repérage, ni ^plus ni moins et non l’inverse, l’astronomie n’a aucunement à dicter sa loi à l’astrologie mais devra à l’avenir s’en tenir à une position ancillaire. Le systéme astrologique en tant que signifiant est le résultat de cette sélection au sein du signifiable et conduit à instaurer un signifié, quintessence du signifiable. Selon nous, le niveau premier est celui du signifiable, du possible, de ce qui est « en puissance », c’est l’astronomie, c’est le premier mobile. Puis, par décantation, à l’image du sculpteur face à un bloc de matière, l’on passera à la forme, ce qui constituera le systéme astrologique – signifiant, déterminant- lequel passant de la puissance à l’acte, produira du signifié, en passant par le truchement des « leaders », de ceux qui trainent et entrainent les masses derrière eux, ces masses n’étant impactées par le cosmos qu’indirectement, les masses correspondent à un signifié de seconde main. Le thème natal pour tous nous apparait donc comme un contre-sens, contraire à toute ergonomie digne de ce nom. Seule l’élite de l’humanité est directement impactée. JHB 11 06 24