jeudi 6 juin 2024

JAcques halbronn Réflexions autour du Traité d'astrologie Influentielle de Michel Chanteresnes et Jean Solesmes

jacques halbronn Réflexions autour du Traité d'Astrologie Influentielle de Michel Chanteresnes et Jean Solesmes (1955) En sous titre" Influence des Rythmes et des Cycles Cosmiques sur le comportement et la vie de l'Homme" Ed Niclaus. L'utilisation de "Rythmes ou de Cycles Cosmiques" fut à la mode à une certaine époque (chez Michel Gauquelin, Germaine Holley, Yves Lenoble etc) Le terme "influences" est également apprécié (le premier ouvrage de Gauquelin s'appelait "L'influence des Astres (19 A55) Les auteurs ne tiennent pas compte des planétes au delà de Saturne:" Le nombre 7 est le rythme de base par excellence, celui de la pulsation septénaire" (p.14) L'ouvrage est à prendre dans le contexte du début des années cinquante ( La Haye,1952)/ Utiliser le qualificatif de "cosmique" se voulait connecté avec les recherches "scientifiques" en cours. On lit "Malgré la vogue croissante qu'elle connait auprès du grand public et d'une élite cultivée; certains esprits dits sérieux et conscients, reléguent l'Astrologie au magasin des accessoires inutiles et dangereux (...) Cependant, à la grande consolation des astrologues, la science, la vraie science a reconnu depuis peu l'action puissante sur toute la nature des rayons cosmiques '(...) De nos jours personne n'ose plus nier l'interdépendance des phénoménes terrestres et cosmiques" Les auteurs se référent à Robert Ambelain, à Francis Rolt Wheeler, à Dom Néroman. Les auteurs rappellent opportunément le rôle imparti aux étoiles fixes pour le balisage cyclique. (p/113) " L'astronomie a démontré en prenant les étoiles comme points de repère que le soleil avance sur la route des constellations zodiacales d'environ un degré par jour. Au bout d'une année, il revient donc (à peu près) au même point de sa route circulaire apparente" C'est un point qui est souvent occulté par les astrologues actuels lesquels ne veulent rien avoir à faire avec les constellations, en raison de l'argument qui leur est adressé à propos de la précession des équinoxes. Il y a là un malentendu qu'il s'agit de dissiper d'autant que la précession elle même n'aura été mise en évidence que du fait de l'intérêt porté pour les étoiles fixes pour représenter les axes des saisons tout comme ceux du mouvement diurne (horizon, méridien) En effet, ces deux axes n'offrent pas, par eux-mêmes, de visibilité. C'est donc bien le rapport planéte/étoile qui compte pour l'observateur à condition toutefois de changer régulièrement d'étoile-repère; On ne confondra pas les étoiles et les constellations. Si ces dernières peuvent rester en l'état en tant que contenants, les étoiles qui y figurent ne sauraient rester les mêmes indéfiniment. JHB 06 06 24

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