samedi 10 août 2024

jacques halbronn Epistémologie. De la nécessité de la méthode comparative

Jacques Halbronn Epistémologie. De la nécessité de la méthode comparative. L'historien a besoin d'un corpus suffisamment vaste pour espérer effectuer un travail sérieux. Sans accès à des sources, à une certaine diversité d'états, dans le temps et dans l'espace - son entreprise serait singulièrement hypothéquée. Il lui faudra absolument mettre en évidence des récurrences, des emprunts, des sources, d'où nos travaux en linguistique comparée;(cf notre ."Description du français à la lumière des relations interlinguistiques", Paris V, 1989) Nous avons ainsi reconstitué l'ancien français (oral et écrit) par comparaison avec l'anglais, en raison de ses emprunts massifs). Nos travaux en psychosociologie, quant à eux, auront mis en évidence ce qui distinguait les hommes et les femmes au prisme de ce que nous avons appelé les "topiques sensorielles". Dans le domaine de la critique biblique, nous avons étudié des paralléles entre plusieurs personnages, tels qu'Abraham, Joseph, Moïse, Cyrus, Jésus en recherchant des archétypes sous jacents. Peu importe que certains de ces personnages aient ou non existé. Quant au domaine de la cyclologie. il nous semble incontournable pour une science historique et politique digne de ce nom, ce qui implique une exigence prévisionnelle, le futur devant répliquer le passé. JHB 10 08 24

Jacques halbronn linguistique comparée; Apport de l'anglais à la restitution de la bonne prononciation du français

jacques halbronn Linguistique Apport de l'anglais à la restitution de la bonne prononciation du français. Nous avons pu déjà observer et faire observer que les codes de prononciation de la langue française ne sont plus respectés rigoureusement et que l'anglais, de par ses emprunts au français peut tout à fait nous aider à rétablir une pratique correcte à laquelle il a droit de par son statut remarquable. En effet, si l'anglais emprunte au français écrit, il lui arrive d'emprunter également au français oral. Il convient donc de cumuler ces deux cas de figure. Nous avons insisté, dans de précédents textes, sur la dialectique visant à constituer parallélement des séquences de consonnes et des séquences de voyelles. Cela implique que dans certains cas, les consonnes sont abolies à l'oral et dans d'autres, les voyelles sont "sautées" à l'oral, le français ne pouvant être appréhendé correctement que sous cet angle duel à la différence des langues "ordinaires"., si l'on admet que le français est doté d'une aura toute particulière. On reviendra ici sur l'élimination des sons consonantiques en français, régle qui n'est respectée de nos jours que fort partiellement. La régle veut qu'une consonne finale ne doit pas s'entendre dès lors qu'elle n'est pas suivie d'une voyelles. Le cas du pluriel français est particulièrement marquant: la prononciation du 's" comme marqueur du pluriel n'est plus respectée qu'en cas de "liaison" : Allons enfants", le premier "s" se prononce parce que suivi de "enfants, alors que le second 's" ne se prononce pas. Si l'on prend, par exemple, le verbe "manger", on ne doit pas entendre le "r" final si ce n'est que le futur "je mangerai", est nécessairement impacté par le "r" puisque le r n'est plus en position terminale. Si l'on trouve en français actuelle une application de cette régle de la consonne finale muette, comme pour l'infinitif des verbes de la première conjugaison en "er", comme pour "'manger", la régle n'est plus de mise pour actif - qui n'a pas à être traité comme le féminin "active", on l'aura compris. Nous indiquions plus haut que tantôt l'anglais emprunte du français écrit et tantôt du français oral. C'est ainsi que le participe passé de la première conugaison comportait une finale en "ed" que l'anglais a repris mais en la prononçant, à la différence de la régle posée plus haut, ce qui ne vaut pas pour le féminin : il faudrait dire : manged, prononcé mangé au masculin et mangede, prononcé 'mangède au féminin; Mais le français aura par la suite aligné l'écrit sur l'oral, d'où la forme "mangé", l'accent se substituant au "d". Signalons la prononciation de 'respect" sans les consonnes finales alors que l'anglais rend les consonnes "ct" à l'oral; En revanche, on dira "respecter", respectable et l'on écrira "projet" alignant l'écrit sur l'oral. Dans le cas de la deuxiéme conjugaison de français, si l'on trouve "dire" "écrire", et "dit", "écrit" on a aussi "finir", qui constitue une anomalie, probablement sous l'influence du futur "finirai". On voit bien ici que le participe passé du français devrait impérativement à l'écrit se terminer par un consonne, d ou t, que l'on retrouve en italien (finito/a) et en espagnol (comido/a) etc Nous voudrions, à présent, partir de la prononciation française de " Juif" et "juifs" par opposition à "juive(s) En anglais, Juif se rend par "Jew", donc sans le f final. Cela tient, selon nous, à la non- prononciation du "f" final, comme dans "clef". On devrait donc dire "le peuple jui(f)" sans que l'on ait entendre le f" du moins au masculin alors que "juive" est tout à fait approprié. Rappelons que le "puits" en français ne produit pas à l'oral les consonnes finales. (il suit, conduit etc alors qu'on a suite, conduite) D'une façon générale, nous avons établi que le féminin français est plus long que son masculin à l'oral; 'français/française) JHB 10 08 24

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