Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
samedi 2 mars 2024
jacques halbronn Pour une approche systémique et structurale des langues
jacqyes halbronn Pour une approche systémique et structurale des langues . Le rôle pivotal de la lettre "e".
Nous militons depuis 40 ans pour aborder une langue au prisme de sa logique première, celle qui aura perésidé à sa structuration quand bien même aurait-elle perdu, en cours de route, partie de sa cohérence en multipliant les exceptions, liées à des erreurs de décodage, notamment dans le cas des emprunts. (cf LINGUISTIQUE DE L'ERREUR ET EPISTEMOLOGIE POPULAIRE, 1987) C'est toute la question de la description des langues qui se joue ici. Il s'agit d'appluqyer uyne méthodologie consistant à retrouver, en archéologue, les lignes directrices sous jacentes derrière une praxis foisonnante et brouilonne, à patyor de bribes, de traces de symétrie, de dualité. L"idée finale seait de restituer une langue première, matricielle, selon l'idée que celle-ci serait un "don des dieux" en tant que médium et pas seulement en tant que message. De fait, les langues semblent bien se plier à un tel exercice dialecrique avec les distingos que sont le masculin et le féminin, le singulier et le pluriel,les formes longues et bréves, ce qui renvoie à la problématique des marqueurs de genre, de nombre etc. En 1989, nous avons produit un nouveau mémoure intitulé Essai de description du système du français à la lumière des relations interlinguistiques.Cela nous aura permi, à partir d'un corpus englobant des langues slaves, germaniques, latines et sémitiques de faire apparaitre des constantes et par là même des déviances, des corruptions, et, au bout du compte, la langue qui nous est apparue la plus performante se révéla être le français au prisme d'une dialectrique de l'écrit et de l'oral que nous avions assez négligée précédemment dont la clef serait le rôle de la lettre "e" que l'on ne saurait classer comme "voyalle", ni comme "sheva".
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""n shewa est un signe diacritique de l'alphabet hébraïque. Il sert à noter : soit une voyelle très brève [ə], analogue à un e « muet » en français (« maintenant »). Dans ce cas, il est appelé shewa mobile" Or, selon nous, l'hébreu aura perdu le véritable usage du "sheva" alors que le "e" à la française comporte une valeur heuristique remarquable qui va bien au delà d'une telle définition. La lettre "e" peut éventuellement être qualifiée de signe "diacritique"., ce qui la place à part des voyalles et des consonnes alors que cete lettre est généralement classée comme voyelle en compatgnie du A, du I, du O et du U (Ou). Selon nous, ce quatuor correspondrait au tétragramme exposé dans le Livre de l'Exode, lequel tétagramme renvoie au 4. En réalité, selon la position du "e" - à l'écrit- il conduira soit à renforcer les voyalles soit les consonnes, il est le gardien d'une telle répartition, ce qui en fait un marqueur absolument capotal. Or, en hébreu, on ne retrouve point un tel statut du "sheva" dans cette double acception, ne serait-ce qu'il ne figure pas dans les textes écrits dans le groupe des 22 lettres de l'alphabet.(cf le commentaire du Sefer Yetsira) On prendra l'exemple de la conjugaison basique du verbe français: le verbe manger, au singuler donne à la première et àla deuxiéme personne je mange, tu mangeas et au pluriel, nous mangeons, vouq mangez. Ici le pluriel produit des sonorités très riches à l'oral avec plusieurs lettres qui ne sont pas prononcées : le n, le s, le z. alors qu'au singulier, du fait du shevan on doit entendre j'amang", avec une combinatoire des consonnes j et m, ce qui donne une sonorité nouvelle. Dans les deux cas sonorités de "sur-viyelles" et de "sur-consonnes" ne sont pas exposées dans l'alphabet de base à 26 lettes du français.; L'apostrophe et l'accent servent notamment dans ce sens, J'aime, à la place du e" et forest/ forêt à la place de "st". L'hébreu ne dispoe pas d'un tel attirai! Il ignore la diphtongaison alors même qs'au pluriel, le trouve des formes en "im" (Elohim) qu'il faudrait ponnoncer comme dans "chemin". qui nous font penser que celle ci a du exister à un certain stade.
On aura compris que l'enjeu n'est pas tant ici lexical que phonologique et que toute langue peut être reformater oralement selon cette même matrice. Si l'on compare le français à l'italien, autre langue "latine", on observe que l'itslien en usant du "o" et du "a" comme marqueur de genre, est bien plus pauvre dans sa réalisation orale, que le français qui joue sur la longueur du mot comme le font d'ailleurs l'allemand et l'hébteu avec justement l'usage du sheva ! klein au masculin, keleine au féminin qatan au msculine, qu'tana au féminin. Ne parlons pas de l'anglais qui ignore les marqueurs de nombre : I want, we want.
HB 02 03 24
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