Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
vendredi 3 janvier 2025
jacques halbronn Astrologie/astronomie du systéme solaire. La frontière uranienne
jacques halbronn Astrologie/astronomie du systéme solaire. La frontière uranienne.
En 1976, dans Clefs pour l"Astrologie (Ed Seghers), fruit de nombreuses années d'étude et d'enseignement, nous avions limité le systéme solaire à la planéte Uranus, ce qui nous avait permis dans 'Astrologie Sensorielle" de présenter un quatuor de planétes, Mars, jupiter, Saturne et Uranus en rapport avec nos "sens", nous y exposions leurs courbes respectives, en rapport avec les axes saisonniers. Dans les années 1974-76, Saturne était en cancer, signe cardinal, ce qui nous permit de nous distinguer à plusieurs titres dans le milieu astrologique, parfois aux dépens d'André Barbault car les signes cardinaux propulsent les plus doués alors que les signes mutables, qui leur font suite, tendent à les faire chuter. Uranus (ouranos) est visible à l"oeil nu.
Sur le web
uranus
"Uranus se situe à la limite de l’observation possible à l’œil nu. Pour la voir, vous devrez être sous un ciel bien sombre dénué de toute pollution lumineuse.
"Uranus est donc très loin par rapport à nous. Si vous avez retenu ce que je vous disais au-dessus, plus une planète est loin, plus sa révolution autour du Soleil est longue. Ainsi, de notre point de vue, Uranus séjourne jusqu’à plusieurs années dans la même constellation."
Il est le dieu premier dans la mythologie gréco-romaine. Il entre dans le cadre de la Loi de Bode qu'il contribue à valider:
"Corroborée en 1781 par la découverte d'Uranus, la loi de Bode est mise en échec en 1846 par celle de Neptune et ne donne plus de résultats probants au-delà. "
On notera que la révolution sidérale d'Uranus de 84 années terrestres correspond à la longévité possible d'un humain/ Uranus est trois fois plus lent que Saturne. Cela ne signifie pas qu' Uranus exerce une influence astrologique mais qu'il appartient à un certain modéle céleste dont il s'agissait de trouver le mode d'emploi. Selon nous, l'astrologie n'a nullement obligation de se calquer sur l'astronomie en ce sens qu'elle n'a pas besoin d'autant de facteurs pour fonctionner. La plupart des astres de notre systéme solaire relévent d'un métalangage.
Récemment, nous avons découvert que si l'on convertissait les années en jour, l'obtenait 3 fois 840 jours par tranche de 7 ans donc par quadrant saisonnier, ce qui a relancé notre intérêt structurel pour Uranus avec ses 84 ans. Notons que 8 + 4 = 12, soit 3x 4 si l'on divise chaque saison par trois
Pour nous. en effet, notre systéme solaire n'est pas le résultat d'une évolution aveugle mais aura été remarquablement pensé ("intelligent design") avec notamment le couple Lune-Saturne, où chaque astre offre les mêmes chiffres de 28 jours/ans, le 28 étant le tiers des 84 d'Uranus. Que la lune soit notre satellite est également une sorte de clin d'oeil de la part de nos "Créateurs". Quant à Copernic, il aura contribué à brouiller les pistes. En effet, le systéme solaire (cf Genése I) est bien centré sur notre "Terre" (HaArets) et ses planétes tournent bien à notre intention et nous impactent. Mais à la base, il est possible que les choses aient été autres et aient transmutées', "reformatées", lors de la "Création" On nous objectera qu'Uranus n'a pas été intégré par l'astrologie avant le XIXe siècle. Le nom d'Uranus a été octroyé à cette transsaturnienne en tant que "père" de Kronos et on lui a accordé un des domiciles de Saturne, en Verseau. C'est une grave erreur, selon nous, de se servir de Neptune, en astrologie, ce qui est l'héritage problématique d'un André Barbault, lequel a produit un ouvrage sur la dialectique Uranus- Neptune (Analogies de la Dialectique Uranus-Neptune. Barbault (André) - Carteret (Jean). mais pas sur celle de Saturne et de la Lune sans parler de l'importance regrettable accordée au "cycle" Saturne-Neptune ou au bouquer Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Pluton pour son "indice cyclique"!(cf Les astres et l'histoire, Ed Pauvert, 1967)
JHB 03 12 24
jacques halbronn Astrologie. Neptune; la planéte indésirable
jacques halbronn Astrologie. Neptune, la planéte indésirable
. Selon notre astrologie STP (Science du Temps Politique), la présence actuelle de Saturne en signe mutable (Poissons) implique un processus de mue. Or, Neptune est un facteur qui encombre l’Astrologie Mondiale depuis les années cinquante du siècle dernier, notamment en raison de l’importance qu’accorda feu André Barbault au cycle Saturne-Neptune. Un prochain Congrès parisien (cf infra) de l’Association Source revient sur une telle configuration se reproduisant tous les 35 ans. Pour nous, la conjonction entre deux planétes est une notion qui aura fait long feu et nous sommes en faveur d’une conjonction planéte/axe saisonnier ce qui accorde la première place aux quadruplicités (signes cardinaux, fixes, mutables). Suivant en cela l’enseignement d’un Reinhold Ebertin, rencontré à Aalen en 1971, il y a conjonction entre planétes situées dans la même quadruplicité (mode), qu’elles soient en carré ou en opposition Ebertin accordait la plus grande importance au rythme des saisons qui sous-tend la quadruplicité.(cf Henri Latou traduction française de la Combinaison des Influences astrales d’Ebertin,. Ed du Rocher 1983, pp. 47 et seq) Saturne en bélier équivaut à Saturne en capricorne et ainsi de suite, ce qui signifie que Saturne retrouve une situation comparable tous les 7 ans, soit une durée nettement plus brève que les 35 ans du cycle conjonctionnel Saturne-Neptune. Pour Barbault, le fait que cette conjonction se produise dans tel ou tel signe était indifférent, seule la relation planéte-planéte lui importait. C’est précisément un tel modéle que nous contestons sans parler de notre rejet des planétes trans-uraniennes, dont fait partie Neptune, astre qui ne correspond pas à la Loi de Bode qui ne marche que jusqu’à Uranus.
A chaque passage de Saturne en signe mutable, soit tous les 7 ans et multiples de 7 ans, un examen de conscience s’impose exigeant de procéder à un certain délestage et donc en 2026, il serait heureux d’abandonner certaines pratiques qui viennent plomber le modéle astrologique. En tout état de cause, comme il ressort du programme de » Source », toute conjonction de planétes fait probléme et ce qui compte c’est le rapport planéte/signe, soit 4 cas de figure, si l’on s’en tient à Saturne. Selon nous, Saturne doit occuper une place centrale en Astrologie et nous ne nous intéressons qu’à cette planéte (cf L’astrologie selon Saturne (1994-95) et Clefs pour l’astrologie. Ed Seghers 1993) C’est dire que notre modéle gagne sensiblement en simplicité, ce qui correspond à l’esprit de Saturne en signe mutable, la position en mutable est terminale au niveau du quadrant saisonnier et elle est une étape nécessaire pour aborder la position en signe cardinal qui lui fait immédiatement suite. Sans le débroussaillage, l’évacuation en phase mutable, la phase suivante sera toujours quelque peu compromise, hypothéquée car en phase cardinale (début de cycle) il importe de valider les fondations faute de quoi, on bâtira sur du sable.
D’ailleurs, le défaut du modéle Saturne-Neptune tient au fait qu’il n’est pas binaire. Il l’est certes en ce qu’il implique deux planétes dans l’espace mais il ne ménage pas clairement d’alternance dans le temps.
Abordons à présent la question de la série des conjonctions Saturne en signe cardinal. Le programme du Congrès de mars 2025 fait allusion à la précédente conjonction en capricorne, autre signe cardinal, en 1989 et on ne doit pas se fixer sur le passage de la conjonction en bélier, qui s’effectue à de longs intervalles.. En 2011, c’est le temps du « printemps arabe ». Pas de conjonction Saturne-Neptune mais bien une conjonction de Saturne avec le signe de la Balance, autre signe cardinal. Quant à Neptune, il est en bélier, à l’opposition avec Saturne, ce que les tenants du cycle Saturne Neptune ne prennent pas ou plus en compte. En 1971, Saturne en gémeaux s’opposait à Neptune en Sagittaire -deux signes mutables- et Barbault avait basé une prévision sur cette date à propos du rapport USA-URSS qui n’avait pas été concluante.(cf la Crise mondiale, Albin Michel 1964).
Autres exemples de Saturne en signe cardinal : 1967-68 Saturne à la jonction Poissons Bélier comme actuellement. Guerre des Six Jours. Mai 68. Nous avions signalé il y a 30 ans l’échéance de 1995 -(in L’Astrologie selon Saturne) avec Saturne en poissons. La date à retenir, ici, est Saturne en bélier en 1997 -début d’une cohabitation de Chirac avec Jospin, à la suite d’une dissolution, comme pour 2025. ‘soit un retour de Saturne en 28 ans) mais sans Neptune! C’est dire à quel point est encombrante la prise en compte de Neptune qui ne permet pas d’appréhender la série saturnienne dans son ensemble! C’est pourquoi, nous considérons que le congrès annoncé devrait évacuer Neptune des études saturniennes et ne garder que le passage de Saturne sur le binome mutable-cardinal.
INFOS
CONGRÈS de l’association Source
29-30 MARS 2025
2025 LA CONJONCTION SATURNE NEPTUNE EN BÉLIER
LES NOUVELLES OPPORTUNITÉS NÉES DE L’ALLIANCE DES CONTRAIRES
Les astrologues se pencheront durant ce congrès sur la signification de la conjonction Saturne-Neptune dans le signe du bélier qui préside au renouveau.
Saturne et Neptune sont de nature fondamentalement différente :
L’une est une planète de limite, de structure, et l’autre, une planète de démesure, d’intuition et d’irrationnel.
Comment comprendre la conjonction de planètes si dissemblables ?
Cette conjonction ouvre-t-elle la porte à une période d’errance ? Ou, au contraire, à une période où il sera possible de structurer notre idéal ?
La conjonction Saturne Neptune sera aussi abordée au niveau collectif.
Cette conjonction se renouvelle tous les 35 ans ; est-elle en rapport avec
les mouvements de masse, les poussées collectives ? La dernière conjonction a correspondu à une mutation politique majeure, quelles seront dans les années qui viennent, les changements à mettre
en relation avec cette conjonction ?
Deux astrologues se pencheront sur la thématique de la créativité.
PROGRAMME
Denis AVRONSART – Président de l’Association et Catherine GESTAS
Présentation du congrès.
Élisabeth FRÉSARD – Saturne Neptune en Bélier
Utopie, et ou, émergence d’un nouvel ordre social et politique.
Marie-Noëlle BAUDRON
Pratique de la consultation et créativité.
Martine BARBAULT – Saturne-Neptune : entre illusion et désillusion
Cette conjonction engendre un champ d’investigation particulièrement étendu qui peut aller du SDF déçu de la vie, en proie à la déréliction, au mystique qui a pu incarner son grand idéal, et en passant par aussi par l’illuminé un rien utopiste, ou le sectaire endoctriné, qui prônent des idées fraternitaires ou collectivistes…
Martine se propose, au travers de nombreux exemples, de montrer la diversité de ce duo exigeant qui mêle la Terre et le Ciel. Theilhard de Chardin
Lynn BELL – Saturne et Neptune en Bélier
Foncer dans le brouillard.
Claire DECROIX – Les artistes Saturne-Neptune : quand l’art permet de crever la bulle.
Quand Saturne et Neptune dominent dans un thème, l’être à tendance à se calfeutrer dans une bulle qui protège et enferme à la fois, qui coupe de la réalité et préserve une sensibilité souvent à fleur de peau. Certains artistes oscillent entre principe de réalité et irréalité, entre illusion et lucidité et expriment par les mots une certaine mélancolie qui cherche à concilier l’inconciliable.
Luc BIGÉ
Astrologie et histoire à travers les cycles Saturne – Neptune.
Emmanuel LEROY
L’inspiration et la créativité sous l’angle de l’astrologie karmique.
Conclusion par Catherine Gestas et l’ensemble des conférenciers.
jeudi 2 janvier 2025
Colloque Crises et nouveaux prophétes 2020
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Revoir les interventions du Colloque "Crises et nouveaux prophètes"
Photo : Paris, Musée de Cluny, inv.Cl. 23415 © Thesupermat -CC-BY-SA_4.0 Photographie modifiée par application Obama Style Pop Art Ima
Date :
10/12/2020
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Présentation
Les 10 et 11 décembre 2020 s'est tenu le colloque Crises et nouveaux prophètes. Intuition, prévision, réforme organisé par Pierre Pénet, sociologue et chercheur-résident 2019-2020 de l'IEA de Paris, dont l'objectif était de réfléchir à la parole prophétique, ses conditions d’énonciation, ses modes de réception et ses effets transformateurs sur les sociétés.
Les vidéos des interventions
Introduction
En présence de Saadi Lahlou (directeur de l’Institut d’études avancées de Paris), Stéphanie Lacour (juriste, vice-présidente de recherche de l’université Paris-Saclay) et Pierre Pénet (sociologue, université de Genève / Institut d’études avancées de Paris).
Parole et imaginaire prophétiques
Avec Ariel Colonomos (politiste, CERI-SciencesPo) « Deux paroles prophétiques : l’épidémiologue et l’économist », Emmanuelle Danblon (linguiste, université libre de Bruxelles) « Une société a les prophètes qu’elle mérite » et Jean-Baptiste Fressoz (historien, CRH-EHESS) « Les racines historiques de la collapsologie ».
Discutant : Frédéric Lebaron (sociologue, ENS Paris-Saclay).
Retour sur expérience : « s'être trompé » et « avoir eu raison » en 2008
Avec Steve Keen (économiste, university College London) « Predicting the GFC: not prophecy, but removing blinkers », Paul Jorion (anthropologue et sociologue, université catholique de Lille) « Les 100 obstacles à sauter pour prévision correcte », Ann Pettifor (économiste, Political Economy Research Centre at City, university of London) « Cutting the diamond: how both ‘innocence’ and prolonged, deep and incisive analysis of a problem provides predictive power » et Marc Faber (analyste financier, éditeur de «The Gloom, Boom & Doom Report») « The Art of Contrary Thinking ». Discutants : Éric Monnet (EHESS, Paris School of Economics) et Isabelle Strauss-Kahn (économiste, ex- Banque de France et Banque Mondiale)
Clôture de la première journée
Par Ariel Weil (Maire de Paris Centre).
L’agir prophétique
Avec Francis Chateauraynaud (sociologue, GSPR-EHESS) « Ouvrir et fermer les futurs. Le pragmatisme sociologique et la critique de la prophétie », Jean-Paul Engélibert (professeur de littérature comparée, université Bordeaux-Montaigne) « La littérature et la discordance des temps : satires, utopies, apocalypses », Erik Swyngedouw (géographe, université de Manchester) « The apocalypse is disappointing: the depoliticized deadlock of the climate change consensus » et Michaël Foessel (philosophe, université de Bourgogne et École Polytechnique) « Prophétisme versus apocalypse ».
Discutant : Pierre Pénet (sociologue, université de Genève / Institut d’études avancées).
Prophètes et prophétisme : une perspective historique
Avec Sylvie Barnay (historienne, université de Lorraine) « Le présent des prophéties mariales au XIXe siècle : une relecture du futur inaccompli du passé », Claudine Gauthier (anthropologue, université de Bordeaux IIAC-LAHIC) « Parole prophétique et régimes de temporalité ? », Lionel Obadia (anthropologue et sociologue, université de Lyon 2) « Glissements de la religion au politique et réciproquement : le cas du ‘prophétisme juif’ dans l’histoire longue et dans l’actualité récente » et Sylvain Piron (historien, CRH-EHESS) «L'Eglise médiévale comme institution prophétique ».
Discutant : Pierre Pénet (sociologue, université de Genève / Institut d’études avancées).
Clôture du colloque
Par Marie-Christine Lemardeley, (adjointe à la maire de Paris chargée de l’enseignement supérieur, la vie étudiante et la recherche).
Événements
Thesupermat - CC-BY-SA_4.0 photographie modifiée par application Obama Style Pop Art Image
Crises et nouveaux prophètes. Intuition, prévision, réforme
Colloque international organisé par Pierre Pénet, sociologue et résident 2019-2020 de l'IEA de Paris, dans le cadre de la chaire d’Alembert Paris-Saclay - IEA de Paris, avec le soutien de l'Université Paris-Saclay
mercredi 1 janvier 2025
jacques halbronn Création d'un systéme ou évolution et corruption?
jacques halbronn Création d'un systéme ou évolution et corruption?
Quand nous relisons nos journaux "intimes" des années 1966-67, nous tombons sur des formules qui ne correspondent plus à notre actuelle Weltanschauung. Il nous aura fallu beaucoup de temps pour comprendre que le mot "Création" s'oppose radicalement à celui d'Evolution. Nous lisons dans les dits "cahiers", heureusement conservés, qu'à l'origine, il n'y aurait eu que des génies dont une grande partie aurait dépéri, ce qui implique que la distinction entre "génies" et "non-génies" -selon notre terminologie de l'époque- n'aurait point été programmée, planifiée dès le départ, elle serait donc d'ordre diachronique et non pas synchronique, fonctionnelle, structurelle.
Aujourd'hui, notre approche n'est plus du tout de ce type et nous échappons au schéma lamarckien que nous illustrions encore en 1986 dans notre essai sur la "pensée astrologique" (in Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin), Ed Artefact) où l'hérédité des caractères acquise jouait encore un rôle moteur, ce qui implique une certaine linéarité évolutive et non une cyclicité récurrente de type saisonnier en lien avec l'ouroboros. Pour nous, les Juifs sont au centre du plan divin, on est plus dans une dimension que temporelle.
. Nous privilégions désormais la Technique et son arbitraire - l' Intelligent Design- sur la Nature. Le dieu qui nous intéresse ici est un 'Deus Faber".
Sur le web
" Deus faber is the concept of God as a craftsman or an engraver. Deus faber is related to the concept of homo faber. Deus faber is also related to deus ludens, another portrayal of God as "playful". The belief of a deus faber God states that God created the world like a potter."
Ce dieu là n'a pas l'exclusivité ni dans le temps ni dans l'espace mais c'est celui que nous associons au Livre de la Genése en son premier Chapitre. Il n'est dès lors plus question de savoir si certaines configurations astrales nous impactent "naturellement" mais si celles-ci ont été non seulement instrumentalisées mais plus encore (re)formatées en vue de mettre en place un certain système.
Mais dans notre approche, il y a deux stades. Un premier stade qui ne nous intéresse pas, qui constitue une sorte de matière première et un second stade qui lui donne une "forme", une architecture. En ce qui concerne notre Humanité, nous percevons également ces deux niveaux, celui d'une première humanité et celui d'une seconde humanité que nous qualifierons d'adamique alors que nombreux veulent voir dans Adam une première humanité, ce qui, selon nous, est un grave contre-sens.
Il ne faudrait surtout pas confondre évolution et cyclicité. La cyclicité reléve, pour nous, de la synchronie alors que l'évolution reléve de la diachronie. En fait, les deux stades cohabitent, coexistent sur la base d'une alternance synchronique, le second stade n'évacuant pas le premier. Il n'est donc pas question de parler de "corruption" ou de "dégradation" comme nous le faisions il y a 60 ans pour expliquer qu'il y a deux niveaux d'"humanité mais d'un progrès biotechnologique. Ce n'est pas telle humanité qui aurait régressé mais une nouvelle Humanité qui se serait superposée.
Ce qui nous interpelle, évidemment, c'est l'usage même du mot Israel récurrent dans ce travail de jeunesse alors qu'à présent nous éviterions une telle dénomination pour des raisons que nous avons eu l'occasion de préciser à maintes reprises. Certes, le mot peut viser simplement un territoire mais il a vite fait d'être accolé à un "peuple", quel que soit le sens que l'on assigne à ce mot; Pour nous le monde juif comporte deux facettes, celle des dominants, les Adamites et celle des dominés, les Israélites qui appartiennent à une première humanité vassalisée par la seconde; Quelque part, on pourrait y voir une certaine dualité et d'ailleurs, le judéo-christianisme ne la perpétue-t-il point? Selon nous le christianisme découle de l'israélisme. Jésus semble bien avoir voulu souder les deux "maisons" d'Israel et de Juda d'où sa formule " je suis venu pour les brebis perdues de la maison d'Israel;" et l'affirmation d'une "unité" n'est-elle pas, notamment dans le Shma Israel, la reconnaissance d'une dualité?.
Deutéronome VI
ד שְׁמַע, יִשְׂרָאֵל: יְהוָה אֱלֹהֵינוּ, יְהוָה אֶחָד. 4 Ecoute, Israël: l'Éternel (Yahwé) est notre Dieu, l'Éternel est un!
Une grande partie de l'Ancien Testament est marquée par l'influence "israélite" tant et si bien qu'il n'y ait rien d'étonnant à ce que les Chrétiens l'aient intégrée pleinement comme un premier volet de leur "Bible", à commencer par le Livre de l'Exode et en ce sens, la "Bible" telle qu'elle nous est connue apparait comme un document contrefait, antidaté au même titre que les Centuries de Nostradamus.
JHB 01 01 2025
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