Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
vendredi 31 mai 2024
jacques halbronn Linguistique Les "solutions" anglaises à l'oral face à l'emprunt au françause;
jacques halbronn Linguistique. Les "solutions" anglaises à l'oral face à l'emprunt au français:
On a déjà signalé les contournements de l'anglais dans le cas des formes françaises en "ble" et en "tre", qui deviennent à l'oral "bel" et "ter" sans pour autant affecter l'écrit. Un autre cas remarquable est le traitement du "oin", dans point, join, coin dont les diphtongues ne sont pas accessibles au "palais" étranger. Point tout en restant tel quel à l'écrit devient Poynt, joyn, coyn, On peut également revenir sur les formes du français en en "ong", qui produisent en particulier la prononciation du "g" final : long, wrong, song etc Cela dit, il apparait que l'anglais aura réussi à produire le son "on" donc à diphtonguer comme pour le son "an". I don't, I can''t, voire I want ou pour "France", où le "n" n'est pas prononcé, comme il se doit pour une diphtongue.
En français, d'ailleurs, la régle n'est pas bien respecttée au féminin, si l'on admet que la diphtongue est réservée au masculin. Si l'on trouve bon et bonne, avec disparition de la diphtongue au féminin, on ne retrouve pas ce processus pour "long" puisque le féminin va tout de même diphtonguer tout comme grand qui donne "grande" avec le maintien de la diphtongue;
Cela dit, il vaudrait mieux parler du passage du féminin au masculin que l'inverse mais force est de constater que l'on assiste à une contamination du fémimin par le masculin qui n'aurait pas lieu d'être!
JHB 31 05 24
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