dimanche 26 janvier 2025

jacques halbronn Théologie et idée de Nouveauté.(Création, "bara")

jacques halbronn Théologie et idée de Nouveauté.(Création, "bara") Nous avons fréquemment utilise le préfixe "Sur" (SurNature, Surhomme). Or, le préfixe "néo" nous semble plus approprié. On le retrouve d'ailleurs dans la Bible avec les deux volets "Nouveau" et "Ancien" Testaments. En fait on assiste dès Genése I à une "Nouvelle Création"(un nouveau Monde, cf Dvorak) comprenant un nouvel Homme, Adam qui viennent se superposer à l'Ancien monde et à l'Ancien Homme. Certes, les notions d'Ancienne Alliance et de Nouvelle Alliance auront été instrumentalisées par le Christianisme., à partir d'une lecture biaisée de Jérémie XXXI. En fait, les Juifs -adamites- incarnent la Nouvelle Alliance alors que l'ancienne humanité qui se reconnait dans le christianisme correspond à l'Ancienne Alliance. Il y a là littéralement un "contre-sens". Cette nouvelle humanité est l'intermédiaire entre le Nouveau Créateur et l'Ancienne Humanité. Il nous faut, en effet, parler d'un Ancien Créateur et d'un Nouveau Créateur, laissant les termes Nature et Evolution au paganisme. D'où une révolution épistémologique comparable à la révolution "copernicienne". On n'appréhende par l'Evolution comme on le fait pour la Création, laquelle suit un plan, obéit à une géométrie, à l'instar du "jardin à la française" ou de la Nouvelle Cité au tracé rectiligne. Cette Nouvelle Création s'inscrit, laisse son empreinte, tant dans le Temps que dans l'Espace/ Dans le Temps avec les cycles, dans l'Espace avec les races que d'aucuns tendent à nier , préférant la notion de transition, de conversion, de passage en douceur d'une structure à une autre Sur le web La superstructure s'élève sur l'infrastructure "Sur cette "base", que comprend toute société humaine, s'élève des formes politiques, juridiques et idéologiques de la société, ces trois éléments constituant ce que Marx dénomme la superstructure de la société. Ainsi, c'est une illusion d'isoler un élément de la superstructure et de croire que son évolution au cours du temps est déterminé par une logique interne : les jeunes Marx et Engels affirmaient sans ambage face aux idéalistes : « Il n’y a pas d’histoire de la politique, du droit, de la science, etc., de l’art, de la religion, etc. »[1] Cela n'empêche pas que les éléments idéologiques du passé soient réutilisés, telles des briques que l'on récupère. Le droit bourgeois s'est ainsi en grande partie édifié sur le droit romain, redécouvert et réutilisé après une éclipse féodale." Que signifie, au vrfai, le verne "bara" traduit par "créa" au premier verset de la Genése א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ. 1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Nous le comprenons ici dans le sens d'un ajout, d'une "invention", et le mot "création" n'implique pas un "ex nihilo". On notera que l'hébreu du premier verset ne respecte pas l"usage du vav conversif, pourtant respecté tout au long du chapitre Ier comme "Vayomer", ce qui indique une addition tardive et anachronique au texte. JHB 26 01 25 Nous avons fréquemment utilise le préfixe "Sur" (SurNature, Surhomme). Or, le préfixe "néo" nous semble plus approprié. On le retrouve d'ailleurs dans la Bible avec les deux volets "Nouveau" et "Ancien" Testaments. En fait on assiste dès Genése I à une "Nouvelle Création"(un nouveau Monde, cf Dvorak) comprenant un nouvel Homme, Adam qui viennent se superposer à l'Ancien monde et à l'Ancien Homme. Certes, les notions d'Ancienne Alliance et de Nouvelle Alliance auront été instrumentalisées par le Christianisme., à partir d'une lecture biaisée de Jérémie XXXI. En fait, les Juifs -adamites- incarnent la Nouvelle Alliance alors que l'ancienne humanité qui se reconnait dans le christianisme correspond à l'Ancienne Alliance. Il y a là littéralement un "contre-sens". Cette nouvelle humanité est l'intermédiaire entre le Nouveau Créateur et l'Ancienne Humanité. Il nous faut, en effet, parler d'un Ancien Créateur et d'un Nouveau Créateur, laissant les termes Nature et Evolution au paganisme. D'où une révolution épistémologique comparable à la révolution "copernicienne". On n'appréhende par l'Evolution comme on le fait pour la Création, laquelle suit un plan, obéit à une géométrie, à l'instar du "jardin à la française" ou de la Nouvelle Cité au tracé rectiligne. Cette Nouvelle Création s'inscrit, laisse son empreinte, tant dans le Temps que dans l'Espace/ Dans le Temps avec les cycles, dans l'Espace avec les races que d'aucuns tendent à nier , préférant la notion de transition, de conversion, de passage en douceur d'une structure à une autre Sur le web La superstructure s'élève sur l'infrastructure "Sur cette "base", que comprend toute société humaine, s'élève des formes politiques, juridiques et idéologiques de la société, ces trois éléments constituant ce que Marx dénomme la superstructure de la société. Ainsi, c'est une illusion d'isoler un élément de la superstructure et de croire que son évolution au cours du temps est déterminé par une logique interne : les jeunes Marx et Engels affirmaient sans ambage face aux idéalistes : « Il n’y a pas d’histoire de la politique, du droit, de la science, etc., de l’art, de la religion, etc. »[1] Cela n'empêche pas que les éléments idéologiques du passé soient réutilisés, telles des briques que l'on récupère. Le droit bourgeois s'est ainsi en grande partie édifié sur le droit romain, redécouvert et réutilisé après une éclipse féodale." Que signifie, au vrfai, le verne "bara" traduit par "créa" au premier verset de la Genése א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ. 1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Nous le comprenons ici dans le sens d'un ajout, d'une "invention", et le mot "création" n'implique pas un "ex nihilo". On notera que l'hébreu du premier verset ne respecte pas l"usage du vav conversif, pourtant respecté tout au long du chapitre Ier comme "Vayomer", ce qui indique une addition tardive et anachronique au texte. JHB 26 01 25

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