dimanche 6 octobre 2024

DAVID SCHROCK En quel sens Jésus Christ était-il un prophéte tel que Moïse? (Le paralléle).

Sur le web DAVID SCHROCK "En quel sens Jésus Christ était-​il un prophète tel que Moïse? JÉHOVAH Dieu ne ment pas (Tite 1:2; Hébreux 6:18). En conséquence, les prophéties contenues dans sa Parole, la Bible, sont dignes de confiance et vraies. Elles s’accomplissent à coup sûr. Parmi ces prophéties divinement inspirées, il en est une, consignée par le prophète hébreu Moïse, qui concerne le Messie. Citant les paroles de Jéhovah, il a écrit: “Je leur susciterai [aux Israélites] du milieu de leurs frères un prophète tel que toi [Moïse], et je mettrai vraiment mes paroles dans sa bouche, et assurément il leur dira tout ce que je lui commanderai.” — Deutéronome 18:17, 18. L’apôtre Pierre a appliqué cette prophétie à Jésus Christ, lorsqu’il a déclaré: “Moïse, en effet, a dit: ‘Jéhovah Dieu vous suscitera d’entre vos frères un prophète semblable à moi. Vous devrez l’écouter selon tout ce qu’il vous dira.’” (Actes 3:22). De fait, Jésus lui-​même a dit: “Si, en effet, vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, car celui-là a écrit de moi.” (Jean 5:46). En quel sens Jésus et Moïse étaient-​ils semblables? Un début de carrière identique Moïse et Jésus ont tous deux échappé à un massacre de très jeunes enfants mâles. Moïse, alors qu’il n’était qu’un nourrisson, a été caché au milieu de roseaux sur les berges du Nil et a ainsi pu être épargné lorsque Pharaon a ordonné le massacre des bébés mâles israélites. Tout petit, Jésus a aussi échappé au meurtre des enfants mâles âgés de deux ans et au-dessous, qui a eu lieu dans Bethléhem et tout son territoire. Ce massacre avait été ordonné par le roi Hérode le Grand, qui était, comme Pharaon, un ennemi de Dieu et de son peuple. — Exode 1:22 à 2:10; Matthieu 2:13-18. Moïse et Jésus étaient l’un et l’autre doux et humbles. Bien qu’il ait été élevé comme un fils à la cour d’un puissant roi d’Égypte, Moïse s’est avéré être “de beaucoup le plus humble de tous les hommes qui étaient sur la surface du sol”. (Nombres 12:3.) Pareillement, Jésus était le puissant prince Michel dans les cieux, mais il a fait preuve d’humilité en venant sur terre (Daniel 10:13; Philippiens 2:5-8). De plus, il a témoigné de la compassion à autrui et a pu dire: “Prenez sur vous mon joug et apprenez de moi, car je suis doux de caractère et humble de cœur, et vous trouverez du réconfort pour vos âmes.” — Matthieu 11:29; 14:14. Pour servir Jéhovah, Moïse et Jésus ont tous deux laissé derrière eux une position en vue et de grandes richesses. Moïse a renoncé à la richesse et à une position prestigieuse en Égypte pour se mettre au service de Jéhovah et de Son peuple (Hébreux 11:24-26). De même, Jésus a abandonné une position hautement favorisée et des richesses au ciel dans le but de servir Dieu et Son peuple sur la terre. — 2 Corinthiens 8:9. Moïse et Jésus ont tous deux été les oints de Dieu. Le prophète Moïse était l’oint de Jéhovah pour servir la nation d’Israël. Comme l’a dit l’apôtre Paul, Moïse “estima l’opprobre [d’être le] Christ [l’oint] comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte”. (Hébreux 11:26; Exode 3:1 à 4:17.) À quel moment Jésus est-​il devenu le Christ, c’est-à-dire l’Oint? À l’occasion de son baptême, lorsqu’il a été oint de l’esprit saint, ou force agissante, de Dieu. À la Samaritaine, qui se trouvait près de la source de Jacob à Sychar, et au grand prêtre israélite qui le jugeait, Jésus a déclaré être le Messie, ou Christ. — Marc 14:61, 62; Jean 4:25, 26. Moïse comme Jésus ont jeûné pendant 40 jours. Au début de sa carrière de porte-parole de Dieu, Moïse a jeûné pendant 40 jours sur le mont Sinaï (Exode 34:28). Alors qu’il commençait sa carrière de Messie promis, Jésus a jeûné 40 jours dans le désert et a ensuite résisté aux tentations de Satan. — Matthieu 4:1-11. Tous deux ont glorifié Jéhovah Jéhovah s’est servi tant de Moïse que de Jésus pour magnifier Son saint nom. Dieu a dit à Moïse d’aller vers les Israélites au nom de ‘Jéhovah, le Dieu de leurs ancêtres’. (Exode 3:13-16.) Moïse a représenté Dieu devant Pharaon — qui a été gardé en vie pour qu’il voie la puissance de Jéhovah et pour que le nom du Créateur soit proclamé par toute la terre (Exode 9:16). De la même manière, Jésus est venu au nom de Jéhovah. Par exemple, il a dit: “Je suis venu au nom de mon Père, mais vous ne me recevez pas.” (Jean 5:43). Jésus a glorifié son Père, a manifesté le nom de Jéhovah aux hommes que Dieu lui avait donnés et l’a fait connaître sur toute la terre. — Jean 17:4, 6, 26. Par la puissance divine, Moïse et Jésus ont tous deux accompli des miracles qui glorifiaient Dieu. Moïse a accompli des miracles pour prouver qu’il était envoyé par Jéhovah (Exode 4:1-31). Dieu s’est servi de lui pour ouvrir la mer Rouge, et celui-ci a continué, pendant toute sa carrière, à accomplir des miracles qui glorifiaient Jéhovah (Exode 5:1 à 12:36; 14:21-31; 16:11-18; 17:5-7; Psaume 78:12-54). De façon identique, Jésus a glorifié Dieu en accomplissant de nombreux miracles. À tel point qu’il a pu dire: “Croyez-​moi: je suis en union avec le Père, et le Père est en union avec moi; sinon, croyez à cause des œuvres mêmes.” (Jean 14:11). Entre autres miracles, il a apaisé une violente tempête de vent, ce qui a calmé la mer de Galilée. — Marc 4:35-41; Luc 7:18-23. Autres similitudes importantes Moïse comme Jésus sont associés à un approvisionnement miraculeux de nourriture. Moïse était prophète de Jéhovah lorsque de la nourriture a été miraculeusement fournie aux Israélites (Exode 16:11-36). Pareillement, dans la Bible on peut lire deux récits relatant comment Jésus a miraculeusement nourri des foules. — Matthieu 14:14-21; 15:32-38. La manne qui descend du ciel a un rapport à la fois avec Moïse et avec Jésus. Moïse était le guide des Israélites lorsqu’ils ont reçu de la manne venue, en quelque sorte, du ciel (Exode 16:11-27; Nombres 11:4-9; Psaume 78:25). De façon comparable, mais bien plus importante, Jésus a donné sa propre chair comme de la manne descendue du ciel, pour que l’humanité obéissante reçoive la vie. — Jean 6:48-51. Moïse et Jésus ont tous deux libéré des humains de l’esclavage. Dieu a utilisé Moïse pour délivrer les Israélites du joug des Égyptiens, afin qu’ils deviennent Son peuple libre (Exode 12:37-42). De même, Jésus Christ libère ses disciples. Il va encore affranchir l’humanité obéissante de l’asservissement de l’organisation de Satan le Diable, ainsi que du péché et de la mort. — 1 Corinthiens 15:24-26; Colossiens 1:13; 1 Jean 5:19. Moïse et Jésus ont tous deux été des médiateurs d’une alliance. Moïse a été le médiateur de l’alliance de la Loi, conclue entre Jéhovah Dieu et les Israélites (Exode 19:3-9). Jésus est le Médiateur de la nouvelle alliance, contractée entre Dieu et l’Israël spirituel. — Jérémie 31:31-34; Luc 22:20; Hébreux 8:6-13. Le pouvoir de juger a été remis et à Moïse et à Jésus. Moïse servait de juge et de législateur à l’Israël selon la chair (Exode 18:13; Malachie 4:4). Jésus est Juge, et a donné ses lois et ses commandements à l’Israël spirituel de Dieu (Galates 6:16; Jean 15:10). Il a lui-​même dit: “Le Père ne juge absolument personne, mais il a remis au Fils tout le jugement, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé.” — Jean 5:22, 23. Dieu a confié tant à Moïse qu’à Jésus la direction de Sa maison. Dans l’Israël antique, Moïse s’est montré fidèle à la tête de la maison de Dieu (Nombres 12:7). Pareillement, Jésus a été établi à la tête des fils de la maison spirituelle de Jéhovah et s’est montré fidèle à sa fonction. Effectivement, Jésus “a été fidèle à Celui qui l’a constitué tel, comme Moïse aussi l’a été dans toute Sa maison. Car celui-là est jugé digne de plus de gloire que Moïse, dans la mesure où celui qui construit la maison a plus d’honneur que la maison elle-​même. (...) Moïse a été fidèle dans toute Sa maison comme serviteur, en témoignage des choses qui devaient être énoncées par la suite, mais Christ a été fidèle sur Sa maison comme Fils. Et nous sommes Sa maison si nous gardons ferme jusqu’à la fin notre franchise et la gloire que nous tirons de l’espérance”. — Hébreux 3:2-6. Il existe même des similitudes entre la mort de Moïse et celle de Jésus. Comment cela? Eh bien, Jéhovah a enlevé le corps de Moïse afin d’éviter que les hommes le profanent ou l’idolâtrent (Deutéronome 34:5, 6; Jude 9). De la même façon, Dieu a fait disparaître le corps de Jésus et n’a pas permis qu’il voie la corruption, afin qu’il ne devienne pas une pierre d’achoppement pour la foi. — Psaume 16:10; Actes 2:29-31; 1 Corinthiens 15:50. Prêtons attention aux prophéties Nous venons d’examiner quelques-unes des façons dont Jésus Christ s’est montré un prophète semblable à Moïse. Les paroles que Dieu avait adressées à Moïse concernant la venue de ce prophète se sont merveilleusement réalisées! Incontestablement, Jéhovah a tenu sa promesse et a fait apparaître un prophète tel que Moïse. La réalisation des paroles consignées en Deutéronome 18:18 se voit dans la vie et les actions de Jésus Christ. Et un tel accomplissement nous donne une raison d’avoir confiance en la réalisation des autres éléments prophétiques consignés dans la Parole de Dieu. Prêtons donc toujours attention aux prophéties de la Bible."

jacques halbronn Astrologie, politique et théologie. La dualité Président de la République/ Premier Ministre et Dieu-Messie

Jacques halbronn Astrologie, politique et théologie. La dualité Président de la République/Premier Ministre et Dieu-Messie Nous avons déjà eu l'occasion de souligner toute l'importance que revêt la nomination d'un Premier Ministre mais cela vaut non seulement pour la Ve République mais aussi pour la IVe République notamment au cours de la période 1956-58 qui en constitue la fin et qu'il convient de mettre en paralléle avec la période actuelle- à 68 ans d'intervalle (environ 10x 7 ans ou 20 fois 3 ans et demi), étant donné que les configurations astrales, au regard du moins de notre Astrologie saturnienne et son découpage en périodes de 3 ans et demi- sont analogues, dans un cas Saturne se situant en Sagittaire et dans l'autre en Poissons, soit deux signes mutables, favorables à un pouvoir capable de prendre ses responsabilités. Le bicéphalisme Président de la République/ Premier ministre (sous la IVe Président du Conseil) n'est pas sans évoquer, pour nous, le chapitre III du Livre de l'Exode, quand le "dieu" d'Israel s'adresse à Moïse en l'envoyant vers son peuple. La variable, ce n'est pas le Président de la République mais bien la personne qu'il décide de mettre en avant en espérant avoir fait le bon choix. En ce sens, nous ditons que le Président de la République joue le rôle de Dieu et que le personnage ainsi nommé celui de l'envoyé vers un certain peuple. Cette désignation est largement indépendante du résultat des élections et tient compte d'abord des rapports de force au sein de l'Assemblée Nationale et du contexte sociopolitique du moment. Libre au Président de la République de changer de Président du Conseil ou de Premier Ministre, ce qui permet au président de rester en place par delà de tels changements de personnel politique, à l'instar d'un monarque si ce n'est que le nombre de ses mandats est limités (désormais il ne peut rester à son poste plus de 10 ans (deux quinquennats) de suite, alors qu'avant cela pouvait atteindre 14 ans (deux septennats). Ce n'est donc pas au président d de la République de changer mais au Premier Ministre (Président du Conseil)!, Autrement dit, les envoyés de Dieu peuvent se succéder et sont sur un siége éjectable tout comme le sont les personnages désignés par le Président de la République, ce qui permet de ne pas être prisonnier de quelque calendrier constitutionnel. On a certes des exemples, sous la Ve République, de Premiers Ministres imposés au Président de la République du fait d'élections législatives, en 1986, 1993, 1997, quand une majorité absolue s'impose d'elle même. Mais quand ce n'est pas le cas, le Président jouit d'une certaine liberté de décision et c'est heureux, vu que le verdict des élections est tout à fait aléatoire. En 2024, l'on sait qu'aucun groupe ne sera parvenu à accéder à une telle majorité absolue. Et c'est dans ce sens qu'il convient de comprendre l'article de la constitution sur la désignation toujours temporaire par le Président de la République d'un premier ministre , à un instant T. Il reste qu'au regard de l'ordre divin qui n'a que faire de ce que les humains auront pu concocter dans leurs diverses constitutions, dans le temps et dans l'espace, c'est bien le Premier Ministre qui est censé correspondre à la conjoncture en vigueur à laquelle le président de la République doit se plier, quitte à accepter le changement cyclologique, quand bien même n'en aurait il point consciemment connaissance. C'est dire toute l'importance de l'attelage Président de la République/ Premier Ministre ( ou Président du Conseil, sous la IVe République) en analogie avec l'attelage Dieu/Messie (prophéte), ce qui se retrouve d 'ailleurs dans le cas des monarchies parlementaires: on pense à la période "victorienne" en Grande Bretagne, au XIXe siècle. (avec Disraéli et Gladstone) Sous la IVe République, en raison même de la diversité de l'échiquier politique (accentué par la proportionnelle ou le scrutin à un seul tour en GB), le Président de la République était bel et bien le "maitre des horloges", ce qu'il semble que l'on ait oublié de nos jours. Le rôle de René Coty en 1958 obtenant de Charles de Gaulle qu'il se présente, avec succés, à ce statut de président du Conseil (le dernier de la IVe République) aura été bien souvent oublié. JHB 06 10 24

Le Président de la République René Coty et la nomination des Présidents du Conseil sous la IVe République, de Guy Mollet à De Gaulle, (1956-1958)

René Coty et les nominations des présidents du Conseil sous la IVe République, de Guy Mollet à De Gaulle, 1956-1958 Sur le web /la-direction-du-gouvernement-n-avait-pas-ete-offerte-a-m-mendes-france-en-1956-ecrit-un-collaborateur-de-l-ancien-president-du-conseil Au cours de l'émission de télévision " Face à face ", lundi dernier, M. Guy Mollet, répondant à une question, avait indiqué, ainsi que nous l'avons rapporté, qu'il était devenu président du conseil en 1956 parce que l'autre leader du Front républicain. M. Pierre Mendès-France, avait refusé de prendre la tête du gouvernement. (Le Monde avait d'ailleurs, dans une note de la rédaction, relevé cette affirmation.) L'hebdomadaire du P.S.U., Tribune socialiste, publie à ce sujet un article de M. Harris Puisais, collaborateur très proche de M. Mendès-France en 1956 comme aujourd'hui, qui écrit : " À aucun moment, ni Guy Mollet ni le président Coty n'ont mis Mendès-France devant une telle demande, face à de telles responsabilités. " La vérité est autre. " Au lendemain des élections, il y eut effectivement une entrevue entre Mendès-France et Guy Mollet. On commenta les résultats du scrutin, déplorant qu'ils n'aient pas été aussi favorables qu'on l'eût souhaité (le nombre des élus, du fait de la loi électorale, n'était pas en proportion du nombre de voix gagnées). On se préoccupa de l'évolution inquiétante de la situation algérienne. Enfin, les deux chefs de parti envisagèrent la constitution du nouveau gouvernement, dont de toute manière l'initiative appartenait au président Coty. Ils tombèrent d'accord sur la nécessité de mener une action énergique en Algérie en vue de parvenir à la fin du conflit. " Dans cette perspective, il leur apparut important d'obtenir l'appui de formations - telles que le M.R.P. - qui, durant la campagne électorale, s'étaient prononcées dans ce sens. Il leur apparut difficile que Mendès-France obtint ce soutien. " Ils envisagèrent alors les deux hypothèses de la direction du gouvernement par Mendès-France ou par Guy Mollet, celui-ci paraissant avoir plus de chances d'obtenir le soutien du M.R.P.Contexte : une crise politique exceptionnelle : 28-29 mai 1958 Le 29 mai 1958, en fin de matinée, l’Élysée annonce que le président de la République René Coty va adresser un message aux deux Chambres du Parlement. Ce message aux parlementaires est tout à fait exceptionnel de la part d’un chef de l’État sous la Quatrième République. C’est la gravité du contexte politique qui conduit René Coty à sortir de l’habituelle réserve du président de la République. En mai 1958, René Coty est directement confronté à la plus difficile des sept crises ministérielles qu’il a connues depuis son investiture par les parlementaires le 16 janvier 1954 (Sous la IIIe République et la IVe République, le chef de l’État est élu pour sept ans par les députés et les sénateurs). La guerre en Algérie est alors entrée dans une phase critique sous la pression des militaires. Félix Gaillard, président du Conseil, doit démissionner en avril 1958 après avoir accepté une médiation internationale consécutive au bombardement d’un camp du FLN à Sakiet Sidi Youssef (Tunisie). Le président Coty a toutes les peines du monde à trouver un nouveau président du Conseil capable de réunir une majorité parlementaire. Quand le nom de Pierre Pflimlin commence à circuler, les militaires à Alger s’opposent à la nomination de ce député démocrate-chrétien qui se dit favorable aux négociations avec le FLN. À Alger, le 13 mai 1958, le général Massu forme un Comité de Salut Public pour exercer une pression sur les parlementaires et préparer en sous-main le retour du général de Gaulle. René Coty n’entend pas s’y soumettre et nomme Pierre Pflimlin président du Conseil, une décision qui entraîne en réaction la mise en place de l’opération militaire « Résurrection » : à Alger et en Corse, des unités de soldats parachutistes préparent un putsch à Paris. Confronté à la pression militaire d’Alger, des gaullistes et à la perte progressive de ses soutiens parlementaires, Pierre Pflimlin remet sa démission à René Coty le 28 mai 1958. Le même jour, un défilé impressionnant des syndicats et des partis de gauche proteste contre la possibilité d’un retour de De Gaulle (Ill. 1 manifestation des gauches). La situation politique et militaire est alors extrêmement tendue. De son côté, René Coty estime que seule l’autorité du général de Gaulle peut éviter une guerre civile. Mais, la situation est bloquée. La veille, en apprenant la démission de Pierre Pflimlin, le Chef de l’Etat a demandé au président de l’Assemblée nationale, André Le Troquer, et au Conseil de la République, Gaston Monnerville, de rencontrer le Général. L’entrevue, organisée dans la nuit du 28 au 29 mai, doit permettre de négocier les termes de l’arrivée au pouvoir du général de Gaulle. C’est un échec. Les deux émissaires refusent les exigences du Général : investiture hors de sa présence, les pleins pouvoirs pour un an, la mise en congé du Parlement pour la même durée, l’exigence de soumettre aux Français une nouvelle constitution. Pour Monnerville et Le Troquer, le risque est trop grand de voir de Gaulle établir une dictature. C’est l’impasse. De Gaulle rentre à Colombey. Il écrit à son fils que l’opération militaire « Résurrection » - auquel il est étranger et même opposé - va être déclenchée et que son retour est impossible. Le Troquer et Monnerville gagnent aussitôt l’Élysée et rendent compte de leurs conclusions au président de la République, à une heure du matin, ce 29 mai. René Coty, dos au mur, se résout à frapper un grand coup.

samedi 5 octobre 2024

Jacques halbronn Astrologie Emmanuel Macron. Gauche et Droite en alternance

jacques halbronn Astrologie. Emmanuel Macron. Gauche et Droite en alternance Si l'on admet que l'endettement est propre à la Gauche, qui pourrait nier que sous Macron n'a pas été menée une politique de gauche avec le "Quoi qu'il en coute" dont on cherche actuellement à se prémunir. Macron est un homme aussi bien capable d'animer une politique de gauche que de droite et donc qui, déjà en lui-même, est porteur d'une alternance, ce qui fait que sa personne n'est pas en jeu puisqu'il vit alternativement ces deux orientations. C'est donc un mauvais procès que de classer Macron à droite si ce n'est qu'il aura en effet logiquement glissé dans ce sens, ce qui correspond, de toute façon, aux exigences actuelles. Astrologiquement, il s'agit de l'alternance entre le passage de Saturne d'un signe fixe (gauche) à un signe mutable (droite). A partir de 2019, Saturne est en phase "fixe" de gauche et ce jusqu'au début de 2023 avec le mouvement des gilets Jaunes, le Corona Virus et les dépenses astronomiques que cela va générer- chaque phase couvrant 3 ans et demi-ce qui conduit à un tournant à droite, au lendemain des élections relevant du quinquennat. Le temps n'est donc pas actuellement à l'alternance vers la Gauche, ce qui s'est produit à partir de 2019, pendant trois ans environ, sous Macron. Sur le web "Covid-19 : le coût exorbitant de 3 ans de crise pour les finances publiques. Pour « Les Échos », le ministre des Comptes publics est revenu sur le coût de la crise en 2020, 2021 et début 2022. La note s’élève à 140 milliards d’euros.". En 1986, première cohabitation avec un gouvernement dit de droite, Chirac étant premier ministre, avec un scrutin à la proportionnelle.Saturne est en phase "mutable". Il importe, pour la recherche astrologique, de se méfier de certaines légendes comme celle du tournant de la rigueur de 1983 ( https://www.sauvonsleurope.eu/le-mythe-fondateur-du-tournant-de-1983/) et c'est en 1986 que l'on aura basculé à droite avec la première cohabitation, Chirac devenant Premier Ministre sous la présidence de Mitterrand; ce qui est assez révélateur du caractère relatif de la rigueur avant 1986. Il nous faut revenir sur la confiance à accorder aux votes. Le fait qu'aucune majorité absolue ait emérgé en juillet 2024, nous invite à prendre du recul par rapport à un tel verdict. En tout état de cause, la période actuelle tant astrologiquement qu'économiquement exige de résister au surendettement et la Gauche officielle ne semble pas en mesure d'y remédier, bien au contraire. Que le NFP soit arrivé en tête, dans le cadre d'un Front Républicain, n'est nullement concluant et il est heureux, comme nous l'avions annoncé de longue date, que la phase actuelle aille dans le sens de la rigueur, notion associée à la Droite. La question se pose des extrémes, tant à gauche qu'à droite, avec leur tendance à la radicalisation. JHB 05 10 24

jacques Halbronn Mettre en évidence 2 niveaux; le primitif et l'about...

jacques Halbronn Mettre en évidence les 2 niveaux; le primitif et l...

jacques Halbronn Descartes sur le plan divin sans pour autant aborder ...

vendredi 4 octobre 2024

jacques Halbronn Genése XI./ La Tour de Babel et son Astrologie selon Saturne.

jacques Halbronn Genése XI./ La Tour de Babel et son Astrologie selon Saturne. En 1976, dans notre partie consacrée à l'astrologie mondiale, in Clefs pour l'Astrologie, nous avions fondé notre approche sur la dialectique des empires alternativement s'édifiant et s'écroulant, en une sorte de Mythe de Sisyphe. א וַיְהִי כָל-הָאָרֶץ, שָׂפָה אֶחָת, וּדְבָרִים, אֲחָדִים. 1 Toute la terre avait une même langue et des paroles semblables. ב וַיְהִי, בְּנָסְעָם מִקֶּדֶם; וַיִּמְצְאוּ בִקְעָה בְּאֶרֶץ שִׁנְעָר, וַיֵּשְׁבוּ שָׁם. 2 Or, en émigrant de l'Orient, les hommes avaient trouvé une vallée dans le pays de Sennaar, et s'y étaient arrêtés. ג וַיֹּאמְרוּ אִישׁ אֶל-רֵעֵהוּ, הָבָה נִלְבְּנָה לְבֵנִים, וְנִשְׂרְפָה, לִשְׂרֵפָה; וַתְּהִי לָהֶם הַלְּבֵנָה, לְאָבֶן, וְהַחֵמָר, הָיָה לָהֶם לַחֹמֶר. 3 Ils se dirent l'un à l'autre: "Çà, préparons des briques et cuisons-les au feu." Et la brique leur tint lieu de pierre, et le bitume de mortier. ד וַיֹּאמְרוּ הָבָה נִבְנֶה-לָּנוּ עִיר, וּמִגְדָּל וְרֹאשׁוֹ בַשָּׁמַיִם, וְנַעֲשֶׂה-לָּנוּ, שֵׁם: פֶּן-נָפוּץ, עַל-פְּנֵי כָל-הָאָרֶץ. 4 Ils dirent: "Allons, bâtissons-nous une ville, et une tour dont le sommet atteigne le ciel; faisons-nous un établissement durable, pour ne pas nous disperser sur toute la face de la terre." ה וַיֵּרֶד יְהוָה, לִרְאֹת אֶת-הָעִיר וְאֶת-הַמִּגְדָּל, אֲשֶׁר בָּנוּ, בְּנֵי הָאָדָם. 5 Le Seigneur descendit sur la terre, pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils de l'homme; ו וַיֹּאמֶר יְהוָה, הֵן עַם אֶחָד וְשָׂפָה אַחַת לְכֻלָּם, וְזֶה, הַחִלָּם לַעֲשׂוֹת; וְעַתָּה לֹא-יִבָּצֵר מֵהֶם, כֹּל אֲשֶׁר יָזְמוּ לַעֲשׂוֹת. 6 et il dit: "Voici un peuple uni, tous ayant une même langue. C'est ainsi qu'ils ont pu commencer leur entreprise et dès lors tout ce qu'ils ont projeté leur réussirait également. ז הָבָה, נֵרְדָה, וְנָבְלָה שָׁם, שְׂפָתָם--אֲשֶׁר לֹא יִשְׁמְעוּ, אִישׁ שְׂפַת רֵעֵהוּ. 7 Or çà, paraissons! Et, ici même, confondons leur langage, de sorte que l'un n'entende pas le langage de l'autre." ח וַיָּפֶץ יְהוָה אֹתָם מִשָּׁם, עַל-פְּנֵי כָל-הָאָרֶץ; וַיַּחְדְּלוּ, לִבְנֹת הָעִיר. 8 Le Seigneur les dispersa donc de ce lieu sur toute la face de la terre, les hommes ayant renoncé à bâtir la ville. ט עַל-כֵּן קָרָא שְׁמָהּ, בָּבֶל, כִּי-שָׁם בָּלַל יְהוָה, שְׂפַת כָּל-הָאָרֶץ; וּמִשָּׁם הֱפִיצָם יְהוָה, עַל-פְּנֵי כָּל-הָאָרֶץ. {פ} 9 C'est pourquoi on la nomma Babel, parce que là le Seigneur confondit le langage de tous les hommes et de là l’Éternel les dispersa sur toute la face de la terre. Cinquante ans plus tard, nous continuons à penser que l'astrologie "tourne" autour d'une telle problématique binaire. Mais pour accepter notre modéle, cela exige une considérable décantation, réduction de la matière céleste de base qu'est l'astronomie. Rien n'est pire, selon nous, que de vouloir aligner l'astrologie sur l'astronomie tant leurs raison d'être s'opposent. Une astronologie sous le joug de l'astronomie se condamne à l'impuissance car l'astronomie est, par excellence, le lieu de la diversité dont parle l'épisode babélien et cela est particulièrement manifeste dans le recours des astrologues aux planétes trans-saturniennes, cadeau empoisonné de la part de l'astronomie à l'astrologie, ce qui engendre une astrologie surdimensionnée. L'astrologie est traversée par deux visions opposées du Ciel, celle du premier et celle du second, le premier étant celui d'une humanité première et le second d'une "sur humanité" : la première humanit est liée à l'astronomie vers laquelle la cyclicité nous ramène périodiquement, c'est alors le temps du thème astral et ses méandres labyrinthiques dans lequel tant d'astrologues continuent à se complaire à l'encontre de notre astrologie saturnienne, fidéle au principe économique d'Occam. Or, actuellement, le temps est à la réduction, au délestage des poids morts, des doubles emplois. On est en droit de penser que le chapitre XI du Livre de la Genése doit être placé en tête, les 10 premiers versets en constituant le préambule. A partir du verset 11 du dit chapitre, on parle des Générations (Toldoth, mot rendu par le grec Genése) comme au chapitre V dont nous avons déjà traité. Genése XI אֵלֶּה, תּוֹלְדֹת שֵׁם-- 10 Voici les générations (Toldoth) de Sem.. Toute l'astrologie réside, comme on l' a vu, dans les premiers versets du Chapitre XI Mais déjà au début du premier chapitre de la Genése, en son premier verset, l'accent était mis sur le lien entre un nouveau Ciel (Shamayim), une nouvelle Terre (Eretz), et, plus loin, une nouvelle Humanité (Adam) JHB 04 09 24

jacques halbronn Réflexions sur le Discours de la Méthode de Descartes. IIe Partie

jacques halbronn Réflexions sur le Discours de la Méthode de Descartes IIe Partie Descartes ne semble pas avoir compris la faiblesse d'une théologie sans astrologie (cf notre Partie I)/ Certes, il admet que les astres qui environnent notre monde doivent avoir impacté notre Humanité d'une façon ou d'une autre mais il met cela sur le compte de la Nature. (cf Solange Gonzales; Descartes Ed Ellipses, 2016) Citons quelques passages du Discours à propos de "Dieu" et de son "vouloir", de son "dessein", "établis" pour notre Humanité, puisque c'est en vue de notre "usage" que tout un appareil aura été mis en place et en oeuvre. Descartes parie sur la médecine et non sur l'astrologie qu'il faudra "chercher". Pourtant, l'astrologie bien comprise ne reléve pas de la Nature première mais bien d'un reformatage du monde, passage de la matière à la forme, dans un second temps. On ne peut que regretter que Descartes n'ait point compris tout ce qu'une certaine idée de l'Astrologie faisait l'interface entre Dieu et la Nature. On sait que Spinoza tombera dans le même travers. Un Descartes "astrologue" aurait ouvert la voie, depuis le XVIIe siècle, à une recherche astrologique par delà la littérature concernée. En lisant le Discours, l'on ressent un manque, un point aveugle, dûs à un préjugé manichéiste, durablement ancré dans l'esprit de son auteur qui, on l'a vu (Iere Partie) ne s'en cache pas, comme si l'astrologie était une sorte de face obscure, une tentation, une "erreur", à laquelle il convenait de résister! Cela dit, nous trouvons bien des affinités entre notre démarche et celle de Descartes, notamment quand il parle de "réduction" à partir d'une base "infinie". JHB 05 10 24 JHB 04 10 24

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mercredi 2 octobre 2024

jacques halbronn L'alternance politique ne doit pas être tributaire du...

jacques halbronn Les Constitutions et la Révolution Industrielle de...

Jacques halbronn Epistémoogie. La philosophie versus l'étude des textes. Contre Descartes

jacques halbronn Epistémologie. La philosophie versus l'étude des textes. Contre Descartes. Dès les premières pages de son Discours de la Méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences", Descartes s'en prenait à l'astrologie. "Et enfin pour les mauvaises doctrines, je pensais déjà connaitre ce qu'elles valaient pour n'être plus sujet à être trompé par les promesses d'un alchimiste,, ni par les prédictions d'un astrologue ni par les impostures d'un magicien ni par les artifices ou la vanterie d'aucun de ceux qui font profession de savoir plus qu'ils ne savent" Un tel ptéjugé affiché contre le trio Alchimie-Astrologie-Magie nous interpelle de la part d'un philosophe. En effet, si Descartes s'exprime ainsi, n'est ce pas du fait de sa lecture d'un certain nombre d'ouvrages en circulation alors qu'il aurait dû s'interroger sur les projets eux mêmes, par delà ce qui a pu en advenir, ce qui vaut également au niveau théologique, la question de Dieu ne se réduisant pas à ce qu'on trouve dans les Ecritures. C'est ainsi que Descartes se dispense de toute réflexion autour de l'astrologie, ce qui englobe la cyclicité, la récurrence en rapport avec quelque mouvement céleste. Certes, les siècles qui ont suivi ne lui auront pas donné tort mais est ce qu'un tel verdit vaudra jusqu'à la fin de notre XXIe siècle, on peut, pour notre part, en douter; En ce sens, Descartes tout comme Spinoza semblent vouloir tout réduire à la "Nature" en ne prenant pas en compte la "Sur Nature", c'est à dire ce qui est apparu dans un second temps, comme une réduction , une transmutation d'un premier temps. JHB 02 10 24

Jacques halbronn Les vrais ressorts de la dissolution de juin 2024. De Mélanchon à Marine Le Pen

jacques halbronn Les vrais ressorts de la dissolution de juin 2024/ De Mélanchon à Marine Le Pen Il nous apparait que Macron n'aurait pas dissous l'Assemblée Nationale s'il n'avait pas passé un accord avec Macron comme il le fera en septembre avec Marine Le Pen quant à la nomination de Michel Barnier. Dans les deux cas, il aura fallu à Macron l'accord successivement de l'Extréme Gauche et de l'Extreme Droite. Dans le second cas, la chose est connue, elle l'est moins dans le premier. Pourtant, les indices ne manquent pas à commencer par l'accord de désistement qui suivra au second tour des législatives entre le NFP et le groupe majoritaire, ce qui aura permis d'empecher le RN d'arriver en tête. La comparaison entre les deux ententes successives du Centre d'abord à sa gauche (NFP) puis à sa droite (LR, EPR) est assez éloquente. Dans le second cas, le fait que la présidence de l'assemblée nationale ait échappé au bloc de gauche témoigne d'un tel basculement du Centre vers la Droite. Nous avons déjà dit ce que nous pensions du "Front Populaire" et de ses ambiguités. En effet, l'accord avec Mélanchon prévoyait selon nous un soutien sans participation au gouvernement et ne devait pas comporter d'autre option. JHB 02 10 24

jacques halbronn L'alternance des programmes doit être affirmée dans la Constitution

jacques halbronn L'alternance des programmes doit être affirmée dans la Constitution Un des défauts majeurs de notre Constitution - et cela vaut pour dans bien d'autres pays- tient au caractère subsidiaire de l'alternance. Sur le web Ce qui est subsidiaire "Qui est destiné à être utilisé en second lieu, à l'appui d'une chose plus importante." La crise politique actuelle tient selon nous à une faille dans le processus constitutionnel à savoir qu'il est question d'alternance sans que l'on s'en donne les moyens, d'où toutes sortes de dérives. Il y a certes des élections à certains intervalles de temps mais leur déroulement ne garantit nullement la mise en oeuvre d'une véritable alternance et d'ailleurs, l'équipe sortante sera prête à tout pour se maintenir en obtenant un nouveau mandat. Or, quand aucun camp n'aura obtenu la majorité absolue, il sera à la merci d'une motion de censure notamment si l'alliance se fait entre les deux camps non au gouvernement; La raison voudrait que même en l'absence d'une telle position de force, l'alternance soit respectée et que cela soit inscrit dans la Constitution. Quant au désistement, il nous apparait comme un non respect des électeurs qui, ce faisant, perdent leur liberté d'expression, d'où l'intérêt de la proportionnelle par rapport au suffrage à deux tours lequel généré des alliances contre- nature.. Il serait heureux que l'alternance ne fût pas une option, une éventualité dépendant des votes mais une obligation constitutionnelle à condition, toutefois, qu'on en définisse les termes temporaires sur une base dialectique en évitant de diaboliser un des termes de l'alternative. Mais, plus largement, il serait souhaitable à l'avenir de fixer les dates mêmes de l'alternance et que celles ci ne soient pas à la merci d'un décés, d'une démission et cela ne peut se concevoir, selon nous, que sur la base d'une juste astrologie, en mesure de découper des périodes d'une même durée; ce qui exige une simplification, une réduction des données astronomiques lesquelles, dans l'état actuel des choses, sont bien trop sujettes aux interprétations les plus diverses. JHB 02 10 24

jacques halbronn Psychosociologie. La crise des solifarité: charge de l'immigration et du chomage

jacques halbronn Psychosociologie. La crise des solidarités : charge de l'immigration et du chomage. Les causes profondes de la couverture sociale sont à chercher du côté de la déficience des solidarités de proximité. Entendons par là que si la solidarité familiale fonctionnait mieux, les gens n'iraient pas chercher des emplois précaires débouchant à terme sur un accroissement du chomage De même, si sur place, l'Etat était plus solidaire de ses citoyens, ceux-ci ne seraient pas tentés de s'implanter ailleurs. D'où des politiques actuellement envisagée d'intervention en amont./ ¨Pour nous, il n'y a pas de différence entre les immigrés et les salariés. Dans les deux cas, ce sont des populations qui sont déracinées, déplacées et qui vont se trouver dans des situations fausses. L'immigré voudra prolonger sa présence, ses "droits", à n'importe quel prix et cela vaut pour le salarié. Dans les deux cas, il n'y aura pas de retour vers le milieu d'origine. A une dépendance de proximité succédera une dépendance par rapport à l'Etat Léviathan avec les dérives budgétaires que l'on connait; JHB 02 10 24

jacques halbronn L'échec technologique du Droit Constitutionnel depuis la fin du XVIIIe siècle

jacques halbronn L'échec technologique du Droit constitutionnel depuis la fin du xVIIIe siècle Pour la Recherche astrologique, la période actuelle a une grande valeur en ce qu'elle échappe au carcan constitutionnel, tant en ce qui concerne la date des élections '"anticipées" que la désignation d'un nouveau Premier ministre alors que pour une grande partie de la classe politique, une telle émancipation est ressentie comme un scandale. C'est quand il y a de la liberté que l'astrologie parvient à se manifester pleinement car les humains ou en tout cas ceux qui les guident sont directement impactés par systéme solaire reformaté et repensé, il convient toutefois de préciser que les humains ne sont pas en mesure de se projeter plusieurs années à l'avance, même à court terme; Seul un certain savoir astrologique le permet d'où toute l'importance qu'il y a à se doter le plus tôt possible du bon outil prévisionnel, ce que les sciences sociales/politiques auront échoué à produire; On aura compris que nous n'accordons aucune valeur aux élucubrations constitutionnelles censée avoir constitué une"machinerie" efficace; on notera que les constitutions ne sont apparues que dans un contexte d'essor technique, ce qui aura généré une forme d'ubris et cela vaut également pour l'importance accordé aux planétes découvertes au moyen d'outils optiques; on parle d'ailleurs à l'époque de "planétes télescopiques (cf "https://shs.cairn.info/revue-d-histoire-des-sciences-2015-1-page-47?lang=fr ) Les constitutions n'auront pas trouvé l'énergie nécessaire à leur bon fonctionnement (charbon, gaz, pétrole) en l'absence du recours non exploité aux énergies cosmiques, d'où leur échec, passant de l'utopie à la dystopie. JHB 02 10 24

mardi 1 octobre 2024

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