Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
samedi 28 juin 2025
Jean François Prendre la main de son frère
la Franc Maçonnerie au Coeur
PRENDRE LA MAIN DE SON FRERE. par Jean François
Révéler, éveiller à l’amour, ouvrir la porte du cœur, laissez couler les larmes de joie, de bonheur. Regarder la vie avec les yeux de l’intérieur. Imaginer son essor vers le monde d’en haut, en ayant les pieds sur la terre, comme saisit d’une envie du bien, du beau, de l’éternelle présence en soi du feu de l’amour fraternel, seule porte d’accès à notre liberté.
Délivré enfin des cerbères qui gardaient les portes de notre temple spirituel, Pouvoir marcher vers l’île de Patmos, le lieu où l’esprit s’élève.
La mission du franc-maçon c’est de prendre par la main son frère, celui qui cherche, le mettre sur le chemin de sa spiritualité, ce chemin qui serpente des ténèbres à la lumière véritable, celle qui éclaire tous les hommes de bonne volonté. Tous ceux qui veulent passer le pont qui mène de l’avoir à l’être.
Dans un monde abandonné aux idoles humaines, où l’homme est enfermé, prisonnier derrière la fausse réalité des écrans, nourri aux algorithmes.
La mission du franc-maçon est de libérer son esprit, pour pouvoir renouer une alliance avec le juste, le bien, d’imaginer la fin du monde soumis à la dictature du matérialisme.
L’apocalypse du franc-maçon est celle du retour vers la divinité, celle du retour vers soi, véritable trésor qui contient le fini et l’infini.
Cyrus le grand, ce roi de Babylone qui retenait le peuple de Judée en exil, avait compris, que ni ses armées, ni ses richesses ne pouvaient rien contre les forces de l’esprit. Cyrus en sage, opéra alors un retrait en lui-même pour laisser passer l’autre, vers la lumière. Cyrus aida alors ce peuple qui souffrait en le prenant par la main, l’aida à reconstruire un nouveau monde, un monde, reposant sur les trois colonnes verticales, sur Hessed la colonne de l’amour, sur Din celle de la droiture et sur Tipheret celle de l’harmonie.
Alors un monde nouveau apparut, où tout ce qui est épars fut réuni.
JF.
Didier. L'enseignement des Sefiroth le triangle Din Hessed, Tiphéret
Nephilim le Jeu de l’Occulte Contemporain
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La dialectique de l’ouverture et de la clôture
Héssèd, din et tiférèt : Chesed, Gebourah, Tipheret par Didier
lundi 14 septembre 2009, par Didier
Le bien et le mal : approche éthique
Nous avons vu dans un autre article l’idée un équilibre et d’une harmonie du monde reposant sur trois piliers : din, héssèd et tiférèt.
Ces trois sefirot offrent aussi une réflexion éthique sur la question du bien et du mal, ainsi que sur la question plus générale des structures ouvertes et fermées. Nous en poursuivons donc une interprétation selon de nouvelles perspectives.
Les trois présentes sefirot sont également organisées selon le schéma du ségol.
Le Segol
La kabbale propose une conception tout à fait originale du bien et du mal : est « bien » tout ce qui tend à être en accord, au sens musical du terme, avec la dynamique et la force créatrice qui anime le vivant ; est « mal »tout ce qui s’oppose à la vibration de la force créatrice du souffle du vivant. Certes, un tel « mal » n’est pas à entendre au sens habituel de ce mot, il ne ressemble pas à celui dont souffre notre monde, au contraire. Il s’agit du « mal » qui consiste à refuser la réalité d’u monde imparfait, c’est-à-dire la possibilité même du processus de perfectionnement et de la liberté qui le met en œuvre.
La liberté est le fondement positif et bon de la réalité, elle donne la force qui permet de progresser vers la perfection et en anime constamment le dynamisme et l’aspiration. La nécessité ou le destin, au contraire, limite et retarde cet esprit de liberté car elle soumet à l’emprise des lois naturelles. Le mal dans notre monde réside en tout ce qui diminue le rythme de perfectionnement et du développement, tant dans la nature et la matière que dans le domaine de l’esprit. Tout ce qui fige et affaiblit la spontanéité de la libre volonté, par des habitudes, des répétitions mécaniques, des inhibitions spirituelles et une passivité de l’intelligence, est une porte ouverte à ce que l’on peut nommer le domaine du mal.
La dialectique du parfait et de l’imparfait
Il est un paradoxe étonnant.
Il existe un « bien absolu » au niveau de la source divine, qui est la perfection de toute perfection. En tant que perfection, aucun changement n’est souhaité, il n’y a aucune dynamique. Mais pour les créatures, ce bien absolu représente un « mal » puisque la perfection exclut toute création et toute liberté.
« Dans la profondeur du bien absolu se cache la racine même du mal, qui est le fait de nier le miracle et le possible. »
Le bien pour l’homme réside dans le décalage entre la perfection de Dieu et la transgression de cette perfection par la création du monde. Cette création est une rupture dans l’immanence de la perfection. Toute création est moins parfaite que la source de toute perfection.
L’être du monde se conjugue ainsi à l’imparfait et à l’inattendu.
La réalité parfaite du monde en dehors de Dieu s’oppose logiquement à Sa perfection. Mais pour l’homme, c’est cette imperfection qui devient son entrée dans la perfection au sens de la formule très kabbaliste d’André Neher :
« La perfection de l’homme, c’est sa perfectibilité »…
La Kabbale et l’art
Nous rejoignons ici une idée que l’on rencontre dans le monde de l’art : l’art est la perfection des formes inexactes. La plus grande perfection artistique doit être imparfaite, alors elle sera infinie dans son effet.
Un cercle parfait, une verticale absolue sont de pures « objectivités »idéales qui n’assument nullement dans leur infaillibilité mathématique sans conflit les incertitudes des formes secrètes ou inventées qui font de l’artiste le plus rigoureux une homme, qui, comme le dit Dante, a la rectitude de l’art et la main qui tremble.
Le Cercle et la Ligne droite
Le Cercle symbolise la nécessité enclose à l’intérieur de ses lois, la fermeture qui interdit tout progrès de la liberté. La ligne droite, qui se prolonge et va toujours de l’avant sans limitation aucune, symbolise la liberté ou l’essence de la réalité en développement
L’homme, qui le plus souvent ne perçoit dans les phénomènes que l’extériorisation des choses, ne rencontre que le cercle ou que la droite. Mais ces deux principes agissent en fait dans toute réalité.
D’une part, certaines formes de nécessité sont à l’œuvre même à l’intérieur du monde spirituel ; de l’autre, la liberté de « la droite » se trouve aussi dans la loi naturelle, malgré sa nécessité. La Kabbale utilise deux termes clefs pour définir la situation fermée du cercle et l’ouverture du mouvement infini de la droite : le din et le héssèd.
Le din ou la nécessité de structuration des formes Gebourah
Le din, littéralement, c’est la loi, le jugement au sens rituel de ce qu’il faut faire ou ne pas faire. C’est aussi le jugement , au sens juridique d’un jugement prononcé par un juge qui peut conduire jusqu’à une peine capitale.
Le din, c’est le fait que toutes les choses sont telles et pas autrement.
Le din, ce sont toutes les lois immuables de la physique qui font que les choses peuvent se répéter et faire fonctionner le monde. Ce sont les lois de la gravitation universelle, la logique implacable des causes et des effets.
Le din assure la possibilité pour le monde de perdurer. Les lois du din assurent le maintien de l’univers. Sa substance, sa subsistance et sa persistance. Le din, c’est ce qui permet essentiellement l’organisation des choses, physiques, organiques, sociales. C’est la rigueur et la justice. C’est l’organisation contre l’anarchie.
Les lois du din sont des lois nécessaires, car, sans elles, il n’y aurait aucun point de repère et aucune forme possible. Le din est la limitation des choses. C’est aussi la finitude stricte du monde, des hommes et des choses : le passage et l’enfermement de l’infini dans le fini. En terme d’image, on peut comparer le din à un point absolu ; absolument fermé, sans temps et sans espace. Une configuration close, l’aboutissement d’un mouvement de singularisation. Il rend possible le vivant, car il donne forme aux choses.
Cependant, le din absolu qui ne contient pas l’ouverture que lui offrira le héssèd est un mouvement qui se retranche du lieu de la création et de la vie.
Le héssèd ou la liberté créatrice Chesed
Le Héssed est l’ouverture des formes closes. C’est le mouvement, le moment dynamique des formes, les tensions qui sont au cœur de l’existence. A l’opposé du cercle ou du point, symbole du din, la ligne droite est, de par sa tension, la forme indicatrice la plus simple de la possibilité du mouvement infini. Le héssèd naît du mouvement ou, plus exactement, de l’abolition du souverain repos fermé sur lui-même, celui du point. Ici se produit le saut du statique au dynamique. La ligne est le strict opposé de l’élément originel : le point.
Le Héssèd, c’est la dynamique de l’être, l’ouvert, le souffle vital, la respiration dans l’acte qui permet à l’être même de toute chose de s’ouvrir. Le souffle vital (héssèd) universalise ce que la forme (din) particularise.
Le Héssèd se rencontre dans tous les gestes qui disent le don et l’amour. Mouvement à l’extérieur de soi pour l’autre. Le héssèd, c’est la bonté, le geste de bonté concret pour l’autre homme. C’est aussi le désir. Désir insatiable d’infini.
En l’homme, image de Dieu, l’être est brisé et fracturé par le désir qui le traverse. Tout désir est désir de l’autre : non seul désir d’autrui ou pour autrui ou d’un objet, mais désir d’être autre. Désir de sortir d’une définition définitive de soi. Dans la dimension du héssèd, l’homme ne tend pas seulement à « mieux » être ou « à plus » être, mais il désire avant tout être autre.
Le héssèd est animé par la volonté dynamique d’être qui cherche à dépasser la pure nécessité de la physique des lois du monde pour atteindre une métaphysique de la lumière et de la liberté créatrice.
Le Tiférèt ou l’harmonie Tipheret
S’il est possible de différencier le din et le héssèd, il est rare de les rencontrer dans la réalité à l’état absolu. Le midrach Rabba sur la Genèse, texte de la kabbale qui a beaucoup été commenté, enseigne :
« Au commencement, Dieu pensa créer le monde à partir du din. Il s’aperçut que le monde ne pourrait pas subsister, il lui adjoignit ainsi le héssèd. »
C’est-à-dire qu’un monde qui ne serait que nature et physique, sans ouverture et respiration, sans renouvellement et sans créativité, ne pourrait pas persister. Un monde parfaitement structuré dans lequel il manquerait le rêve et l’imagination ne serait pas viable.
Un autre texte du midrach Rabba enseigne :
« Au commencement, Dieu pensa créer le monde à partir du héssèd. Il s’aperçut que le monde ne pourrait pas subsister, il lui adjoignit ainsi le din. »
C’est-à-dire, à l’inverse, qu’un monde qui ne serait qu’épanchement de lumière, amour, poésie et imagination, ne pourrait pas demeurer car aucune forme stable ne pourrait accueillir les êtres et les choses.
Le monde est la rencontre équilibré , l’harmonie du din et du héssèd, « harmonie » appelée tiférèt.
Dans toute réalité finie, il faut distinguer ce qui relève de la nécessité (din) et ce qui relève de la volonté (héssèd). Et comme toute réalité, sauf celle de Dieu, est finie, tout ce qui existe en ce monde a donc un fondement de nécessité (din) et un fondement de liberté (héssèd).
Tiférèt est l’équilibre entre le clos et l’ouvert. Il unit le souffle vital et la structure limitée des êtres et des choses. Cette articulation du souffle vital infini dans les formes particularisées, c’est le rythme. Non plus simplement la vie, mais la pulsation, le rythme de la vie.
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jacques halbronn Astrologie. La véritable dialectique des aspects en Astrologie Mondiale.
jacques halbronn Astrologie. La véritable dialectique des aspects en Astrologie Mondiale.
On ne saurait contester le rôle des aspects en Astrologie Mondiale mais cela implique précisément d'établir une théorie valable des Aspects/ Dans le cas d'André Barbault, l'on observe (cf son propos dans la Crise Mondiale de 1965) qu'il oppose les "bons " aspects, le sextile et le trigone aux "mauvais" qui seraient le semi carré, le carré et le sesqui carré, réservant un statut particulier à l'opposition. Or, selon nous, seuls sont pertinents les aspects multiples de 22°30 à savoir 45°, 90°, sesqui carré mais aussi 67°30. (45 + 22°30), qui est la moitié de 135°/ Exit le sextil et le trigone. On s'aperçoit que l'on ne peut faire cohabiter les multiples de 30° et ceux de 22°30 car cela crée un chevauchement stérile.
En fait, la dialectique aspectale serait la suivante: deux phases de 45° (90°/2), l'une que nous associons dans l'arbre séphirotique avec Din et l'autre avec Hessed, soit deux temps de trois ans et demi, puisque chaque quadrant saisonnier couvre 7 ans, le quart du cycle saturnien de 28 ans.
Pour nous, la phase Hessed est l'antithèse de la phase Din, elle correspond à un temps de désinhibition bien caractérisé par la fameuse devise révolutionnaire, Liberté, Egalité, Fraternité., laquelle confère le poids de la vérité à une assemblée, à un consensus collectif. Cette phase est le pendant d'une phase Din, enclenché par le passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, laquelle renforce la verticalité dinienne à l'encontre de l'horizontalité hessédienne. On perçoit une telle tension au sujet de l'Islam quand on l'oppose à la République., loi d'en haut d' un côté, la Charia et loi que s'octroient les sociétés. En fait, on ne peut occulter une telle tension nécessaire. Il y a un temps pour Din et un temps pour Hessed et cette alternance ne saurait être déterminée arbitrairement et vainement (vanité des vanités) par en bas mais en accord avec un "plan divin" dont notre Astrologie Septénale aurait la clef. Nous pensons donc nécessaire d'ajuster le temps constitutionnel sur le temps céleste.
Dès lors, la prévision astrologique a pour mission de veiller au respect de cette alternance, elle n' a pas à prévoir l'imprévisible et surtout, il est vain de travailler sur le "long terme" car il n'y a rien de nouveau sous le Soleil (cf le Livre de l'Ecclésiaste) puisque tout se représente tous les 7 ans. C'est pourquoi, la durée de 7ans est par excellence celle de l'Astrologie, son unité fondamentale de mesure. D'où les aspects de conjonction (0°), d'octile (22°30), de semi-carré (45°) et de demi-sesqui carré (67°30),les deux premiers déterminent le temps de la phase Din et les deux derniers, le temps de la phase Hessed, quand les hommes tendent à sacraliser leurs propres créations, au lieu de respecter les vraies lois divines. Hessed, c'est le Lien social, alors que Din, c'est le respect du Plan divin.
JHB 28 06 25
jacques halbronn La Vie astrologique. Barbault et la vente des livres. Le "vrai visage de l'Astrologie"
jacques halbronn La Vie astrologique. Barbault et la vente des livres. Le "vrai visage de l'Astrologie"
On lite sur la 4e de couverture de 1964. La crise mondiale de 1965 (Ed Albin Michel), la présentation suivante de l’auteur « Devenu Vive -président du Centre International d’Astrologie »,il est le principal représentant de l’aile marchante de l’astrologie. Sa collection d’ ouvrages sur les douze signes du Zodiaque (plus de 600.000 exemplaires vendus en français et diverses traductions en ont fait l’astrologue le plus lu dans le monde » Barbault était alors âgé de 42 ans. La série, parue aux Ed du Seuil, dont il s’agit est en fait l’oeuvre d’un collectif relié à l’association « CIA » . La liste des collaborateurs est d’ailleurs fournie pour chacun des 12 livrets. On reléve entre autres les noms de Jean-Pierre Nicola, de Jacqueline Aimé, Claire Santagostini,, mais il est précisé « sous la direction de François Régis Bastide,. Nous mêmes, aurons à gérer une telle situation, 20 ans plus tard, en mentionnant le mouvement astrologique unifié
Il semble, donc, assez déplacé de se référer à de tels ouvrages, voués à être réédités, des décennies durant, liés au mois de naissance, pour décréter que Barbault serait l’astrologue « le plus lu dans le monde », en 1963. Examinons le niveau d’astrologie de ces livrets de Barbault découpés en trois parties « Etre, paraitre, exister », ce qui n’est pas sans rappeler le RET de Nicola: On nous y présente les thèmes de personnalités lus ou moins célébres mais sans mention de transit , ce qui s’imposerait dans une approche astro-biographique
Sur le web
« Depuis plus de quarante ans, André Barbault est l’un des grands vulgarisateurs français de l’astrologie, apprécié pour sa rigueur et ses qualités pédagogiques. Auteur de nombreux ouvrages, il a signé des classiques, du Traité pratique d’astrologie (1961) au Petit Manuel d’astrologie (1972). »
Dans sa boulimie de grands éditeurs (Seuil, Albin Michel, Fayard, Payot, Rocher) aura probablement regretté de ne pas avoir rédigé le Que Sais je sur l’astrologie (PUF), ou les Clefs pour l’Astrologie (Seghers), dans des collections pluridisciplinaires sans parler de l’article Astrologie de l’Encyclopaedia Universalis ou le Dictionnaire de l’astrologie chez Larousse. En tout cas, le succés remarquable de la série zodiacale à la fin des années cinquante, l’aura marqué dans sa quarantaine. Cette collection comportait une méthode de calcul du thème natal qui disparaitra par la suite. Il est tout de même assez paradoxal que Barbault ait pris ses distances par rapport au référentiel zodiacal dont il lui est apparu qu’il n’avait pas sa place en astrologie mondiale. Dès les années cinquante, son traitement du cycle Saturne Neptune n’en avait tenu aucun compte.
On notera l’Avertissement ouvrant (en pages roses) chaque volume de la Collection, dans la première mouture et consistant en un véritable manuel (on le retrouve dans l’édition flammande)
NE LISEZ PAS CE LIVRE « si vous cherchez le moyen infaillible de gagner à la loterie, si vous croyez que le 8 ne vous est pas favorable.Si vous croyez que les natifs de votre signe doivent porter des pierres de lune pour être aimés le mercredi, si vous estimez qu’il y a de bons et de mauvais signes, que le mot « décan » est un mot sérieux. Si vous pensez que les Gémeaix ne peuvent aimer que des béliers. MAIs AlORS VOUs POUVEZ LIRE CE LIVRE si vous admettez qu’ »il y a quelque chose de vrai » dans l’Astrologie, Si vous reconnaissez la valeur psychologique de ces symboles que sont les signes du Zodiaque. Si vous apercevez un fonds commun chez êtres astrologiquement ressemblants (..)Si vous voulez nous faire le plaisir d’étudier avant toute chose les pages roses de l’Astrologie » On poursuit « Il n’entre pas dans notre propos de reprendre le procès de l’astrologie. cette grande méconnue et de la présenter sous son vrai visage, nous l’avons fait ailleurs etc »
Telle est bien la question, un demi siècle plus tard: quel est le « vrai visage de l’astrologie ». Et force est de constater que Barbault n’était pas en mesure d’accéder à la « vérité de l’astrologie », ce à quoi prétendit Michel Gauquelin; avec sa « Vérité sur l’Astrologie » mais là encore, sans y parvenir vraiment. L’Astrologie septénale serait-elle la plus proche de ce qu’est fondamentalement l’Astrologie?
JHB 28 06 25
jacques halbronn Théorie des aspects: base 180 degrés ou 90 degrés ? 30 minutes = 0,5
jacques halbronn Théorie des aspects: base 180 degrés ou 90 degrés ? 30 minutes = 0,5
Il semble que la base 180 degrés ait servi de référence à la tradition des aspects. Les aspects s'échelonnent depuis la conjonction jusqu'à l'opposition en passant par le semi sextil, le semi carré, le carré, le trigone, le sesqui-carré et l'opposition; Toutefois, les 4 saisons nous apparaissent comme le référentiel par excellence, ce qui confère à l'aspect de quadrature une place centrale
. Il y a d'autres aspects dont il est relativement peu question, celui de 22°30 et celui de 67°30 dont le double donne 45° et 135°/ Pour une astrologie à base 90, les aspects de 22°30 et 67°30 jouent un role majeur en ce qu'ils établissent la division en 4 du quadrant saisonnier, avec entre les deux, l'aspect de 45°(semi-carré).
Pour l'astrologie septénale, le semi- carré entre Saturne et le point gamma des axes équinoxiaux et solsticiaux, constitue la frontière entre la zone "Din" et la zone "Hessed" Le semi-carré équivaut à un signe et demi, soit 30° plus 15°, ce qui confère aux signes fixes, une position intermédiaire, de transition entre signes cardinaux et signes mutables, classification qui s'articule précisément sur une division en 4 du cercle, de l'écliptique.
Autrement dit, la division en 2 du cercle - ou si l'on préfère le doublement de 90°- ne nous semble, a contrario, guère pertinente et cela vaut pour le sesqui-carré de 135°(67°30 x2) et tout ce qui dépasse 90° à savoir le trigone (120°, base des triplicités) En pratique, il est préférable de parler d'aspects de 22,5, de 67,5. En tout état de cause, l'aspect de 67,5° est incontournable en astrologie mondiale alors que ceux de 60° et de 120° sont trop proches de ceux de 67°30 et de 135°; seuls les dérivés de 45° sont à retenir.
En astrologie mondiale septénale, ce sont les aspects de Saturne aux 4 points gamma qui importent et non à quelque autre planéte comme le pensait Albumsar (AbouMashar) lequel sanctifiera l'aspect de trigone, au prétexte que les conjonctions de Jupiter à Saturne se produisaient successivement avec des intervalles de 120° et donc en passant d'un Elément à un autre.(cf Richard Lemay. — Abu Ma'shar and Latin Aristotelianism in the Twelfth Century : the Recovery of Aristotle's Natural Philosophy through Arabic Astrology; c.r. par Guy Beaujouan, Cahiers de Civilisation Médiévale Année 1965)
JHB 28 06 25
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