Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
jeudi 7 août 2025
jacques halbronn Psychosociologie du métier d'avocat Paralléle avec le médecin
jacques halbronn Psychosociologie du métier d'avocat Paralléle avec le médecin
L'avocat est un chercheur dont le temps est compté, facturé. Ce qui en fait un chercheur stipendié de second ordre. D'une part, parce qu'il a une mission de résultat au sens qu'il doit délivrer un propos sur commande et d'autre part, parce qu'il est bridé dans ses investigations par une certaine forme de cupidité inhérente à sa profession. On parle de ses "clients" mais on pourrait aussi se référer à ses employeurs. Quelle est donc sa déontologie?.
On lit sur le web:
"L’avocat doit faire preuve de prudence, pour ne pas conseiller à son client, une solution s’il n’est pas en mesure d’apprécier la situation décrite, de déterminer à qui ce conseil ou cette action est destiné, d’identifier précisément son client. Lorsqu’il a des raisons de suspecter qu’une opération juridique pourrait avoir pour résultat la commission d’une infraction, il doit s’efforcer d’en dissuader son client. S’il n’y parvient pas il doit se retirer du dossier. (Article 1-5 « Devoir de prudence» du Règlement Intérieur National de la profession d’avocat )
Selon nous, le bâclage des dossiers est le risque principal. Faute de temps. On peut se demander si l'avocat ne peut être accusé de complicité de tentative de spoliation du fait qu'il ne signale pas les pièces appropriées, faute de ne pas les avoir demandées à son employeur à moins qu'il n'ait pas jugé souhaitable de les mentionner. Que penser d'un avocat qui aura joint, sans s'en rendre compte, à son dossier des pièces compromettant la position de son employeur? Ce dernier a-t-il un recours?
L'avocat jouit d'un certain monopole à l'instar d'un huissier. IL faut passer par lui dans le cadre de certaines procédures, tout comme le médecin, d'ailleurs, sur d'autres plans. Ce sont des "professions" qui d'ailleurs se caracctérisent par l'usage de titre : on s'adresse à un avocat commme "maitre" et à un médecin comme "docteur", ce qui est une forme de reconnaissance d'un statut officiel, public. Cela dit, quid de la "compétence" de l'avocat par delà son statut acquis le plus souvent dans sa jeunesse éstudiante et dont il pourra se targuer - tout comme le médecin- tout au long de sa vie. Ce statut en outre, lui permet d'imposer cerains honoraires même s'il existe une "aide jurdictionnnelle" qui pourrait s'appaeneter à la Sécurie Sociale. Droit aux soins, droit de se défendre en justice. L'avocat obtient des ordonances à l'issue d'un procés, d'un référe tout comme le médecin délivre des ordonnnances à présnetr au pharmacien.
JHB 07 08 25
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