Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
dimanche 12 octobre 2025
jacques halbronn L'astromancie actuelle entre l'astronomie et l'astrologie septénale.
jacques halbronn L'astromancie actuelle entre l'astronomie et l'astrologie septénale.
Le dernier Congrès de la FDAF "Astrologie et Intelligence", en ce samedi 11 octobre 2025 nous confirme que la FDAF est vouée à l'astromancie, même si elle s'en défend (cf ses objectifs), d'où la référence constante au thème astral, à la carte du ciel, ce qui la relie à l'astronomie, l'astromancie étant une application de l'astronomie au domaine de la voyance. Une telle référence est censée confèrer à cette astromancie un certain statut scientifique en ce qu'elle fait appel aux planétes "télescopiques" mais aussi accorde trop d'importance à l'escorte solaire (Soleil, Mercure Vénus) dont la conjonction ne fait pas sens statistiquement. En réalité, c'est bien notre Astrologie septénale qui est destinée à marquer le XXIe siècle, en ce qu'elle ne se présente pas comme un "vrac" à la fois sur le plan astronomique et sur le plan psychologique, puisque chaque personne aurait droit à une carte d'identité propre. Il y a là une fascination pour l'infini alors que l'astrologie septénale est bien plus sélective et donc bien plus accessible structuralement du fait de son économie de moyens.
Notre astrologie septénale est en phase avec le Congrès en question consacré à l'IA et l'on peut lui prévoir un bel avenir alors que l'astromancie sera très bientôt mise au rancard. En 1976, voilà 50 ans, nous avions préconisé dans nos Clefs pour l'Astrologie l'abandon du thème astral mais force est de constater qu'en 2025, les "astrologues" font la sourde oreille. Au demeurant, l'informatique les aura encouragés à se vautrer, à se complaire dans la complexité et d'ailleurs, le public de ce Congrès est constitué presque exclusivement de femmes anonymes, le plus souvent, les hommes présents sont l'exception et nous sont connus de longue date.
L'astrologie comporte une dimension alchimique en ce qu'elle reléve d'une transmutation, d'une décantation, d'une réduction du matériau astronomique qu'elle reformate, qu'elle sculpte. Mais par astrologie, il faut entendre ici toute une bio-technologie très avancée, reliant la matière au vivant, bien au delà d'une simple "lecture" du ciel. On dira que l'astromancie correspond au stade primitif du "Din" et l'astrologie septénale au stade plus évolué du Hessed. L'astronomie doit être transmutée par la vraie astrologie et non utilisée telle quelle.
Le Président de la FDAF, Marc Brun, a reconnu, lors du dit Congrès, que sa structure associative est ouverte à tous les astrophiles, professionnels comme amateurs. Ce qui est peut être en apparence un bon calcul d"un point de vue du business model, mais qui ne permet pas un véritable débat entre chercheurs. Mais l'on sait d'expérience que les chercheurs entre eux n'ont pas les mêmes débats que face à un public d'astrophiles (expression déjà utilisée par Yves Lenoble pour l'économie de ses Congrès) Une fédération, digne de ce nom, doit absolument s'adresser aux acteurs d'une certaine communauté, prise dans son ensemble et ne pas se contenter de promouvoir les cours d'astrologie des uns et des autres, lesquels ne visent qu'à familiariser le public à une certaine doxa astrologique cristallisée de longue date, à la façon d'une langue qu'il faut apprendre à parler. Force est de constater que depuis le début des années 90, les profs d'astro ont pris le pouvoir, eux qui sont l'interface entre les chercheurs et les éléves. Rien à voir avec le Congrès du 30e anniversaire du Congrès de septembre 1974 que nous avons organisé en 2004 et qui réunissait exclusivement des chercheurs (cf l'intégralité disponible en vidéo sur notre chaine You Tube (Téle de la subconscience - téleprovidence). Décidément, on ne joue pas dans la même cour. Un tel congrès présente l'Astrologie comme une tradition figée depuis des décennies et ne donne pas la parole à des orientations nouvelles, comme l'Astrologie Septénale. La prétention de la FDAF à lire ses déclarations, visant à promouvoir l'image de l'astrologie d'une façon aussi sclérosée nous semble bien contre productive. Une fois de plus, rappelons qu'une fédération doit être représentative de l'ensemble des courants qui traitent de l'Astrologie et réunir les dirigeants des différentes structures en présence, et il n'est pas acceptable que l'on traite les acteurs historiques de la vie astrologique francophone comme le premier astrophile venu Ne mélangeons pas les torchons et les serviettes. Il serait temps que Monsieur Brun, au bout de 30 ans d'existence de la FDAF, en prenne conscience..(cf nos extraits vidéo du Congrès FDAF 2025.
Rappelons les objectifs de la FDAF (1996) : "Promouvoir une image sérieuse et cohérente de l'Astrologie (..)Eviter tout amalgame entre Astrologie et voyance ou toute pratique divinatoire. Etablir avec les pouvoirs publics un vrai statut de l'Astrologue. Affirmer l'identité culturelle de l'Astrologie. Favoriser sa reconnaissance sociétale et son intégration dans les Sciences Humaines, Défendre et améliorer la qualité de la pratique astrologique" Il nous apparait que bientôt 30 ans après sa fondation, on est loin du compte. On se demande ce qui permet de décréter que l'astrologie présentée par la FDAF évite l''amalgame entre Astrologie et Voyance", vu que le thème natal est intrinséquement un "support" divinatoire assez patent en raison même de son caractère diffus et brouillon. L'astromancie, c'est une mancie s'articulant sur l'astronomie, ni plus ni moins. Tout conduit à penser que l'astrologie est traitée, à la FDAF, comme une langue dont il faut apprendre les codes et la grammaire, dans tous ses méandres séculaires.
JHB 12 10 25
jacques halbronn Les deux volets non opérationnels du systéme solaire au regard de l’approche astrologique.
jacques halbronn Les deux volets non opérationnels du systéme solaire au regard de l’approche astrologique.
Au dernier congrès FDAF ( 11. 10. 2025), l’on aura accordé beaucoup trop d’importance à la partie marginale du système solaire, à savoir les planétes les plus rapides (Le soleil et son « escorte ») et les plus lentes (transsaturniennes)
En effet, la formation d’une conjonction entre Mercure, Vénus, Soleil est extrémement fréquente et donc statistiquement guère pertinente dans le cadre de l’étude des thèmes. En effet »Mercure et Vénus, en tant qu’auxiliaires du Soleil, ne s’éloignent jamais vraiment beaucoup de lui, et sont des planètes qui restent d’ailleurs elles mêmes toujours très proches dans le ciel, elles ne se font par exemple jamais de carré ou d’opposition vue de la terre, cela est totalement impossible » (Christophe Guillaume)
En ce qui concerne, les planétes découvertes au delà de Saturne, à partir de la fin du XVIIIe siècle, celles-ci sont extrémement lentes, respectivement, 84 ans, 165 ans, 248 ans pour Uranus, Neptune et Pluton et leurs configurations se feront nécessairement tout fait rares, ce qui là encore ne les destine pas à jouer un rôle significatif en Astrologie. Rien n’est plus ridicule que de voir un astrologue tenter d’expliquer quelque actualité du moment en recourant à des astres au cycle lent, au risque de conférer tel événement un caractère exceptionnel de façon tout à fait artificiel.
Reste donc le trio central, Mars, Jupiter et Saturne et au sein de ce trio, nos travaux accordent le plus de crédit à la planéte Saturne avec sa révolution de 28 ans environ que nous rapprochons de celle de la Lune , notre satellite, avec ses 28 jours environ. Selon nous, on a la preuve du réformatage de notre système solaire par une équipe « alien » car une telle coincidence ne saurait être le fait d’une évolution « naturelle ». On a là, au contraire, l’exemple d’un « dessein intelligent » (intelligent design) . C’est à un tel dispositif que se référerait le premier chapitre de la Genése, en son premier verset. Elohim créa le Ciel (quel Ciel) et la Terre ( notre planéte accueillant notre Humanité) Michel Gauquelin n’a conservé en 1955 (L’influence des astres) que Mars, Jupiter, Saturne et la Lune, et il y a jouté Vénus par la suite.
En tout état de cause, il nous semble plus raisonnable pour la recherche astrologique de s’en tenir au quatuor Mars, Jupiter, Saturne, Lune. (cf supra)
La prise en compte de planétes situées au delà de Saturne illustre l’adage le mieux est l’ennemi du Bien. Cela correspond en astrologie sépténale à l’ubris de la phase « Din » qui est celle du commencement de chaque période de 7 ans. Cela conduit les astrologues à rechercher des événements marqués par le retour de ces planétes lentes, notamment Uranus (Cycle trois fois plus long que celui de Saturne). Dans notre « Astrologie selon Saturne » (1995), nous avons montré que l’on pouvait baliser l’Histoire moderne de la France au moyen de la seule planéte Saturne, de par son passage sur le point vernal (0° bélier). Le fait qu’une planéte soit invisible à l’oeil nu devrait d’ailleurs d’emblée la disqualifier. C’est pourquoi la conjonction Saturne -Neptune n’est pas recevable car elle était inconnue des Anciens, ce qui est, à nos yeux, un critére déterminant.
JHB 12 10 25
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