Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
mardi 10 juin 2025
jacques halbronn Le dossier de la langue anglaise au prisme de la phase "Din" de l'Astrologie septénale.
jacques halbronn Le dossier de la langue anglaise au prisme de la phase "Din" de l'Astrologie septénale.
Astrologiquement, le temps est propice pour dénoncer certaines impostures et supercheries de mauvais aloi puisque Saturne amorce présentement une période "Din" de 3 ans et demi (1260 jours, 42 mois) S'il y a bien un scandale à l'échelle de notre Terre, c'est bien celui de l'anglais. Nous avons traité à de nombreuses reprises de cette affaire mais plutôt "crié dans le désert". Pourtant bien des raisons militent en ce moment pour plaider dans le sens d'une démystification de l'anglais, au sortir d'une phase "Hessed" (Grâce),d'un certain "état de grâce", assez factice. Peut-on en effet tolérer bien plus longtemps qu'un tel corpus hybride, bâtard, puisse se présenter comme LA langue mondiale de l'Humanité.? Même le BREXIT n'aura pas suffi à faire perdre à l'anglais sa prétendue centralié, sous tendues par un certain "soft power' largement répandu. Solution de facilité consistant à entériner un "fait accompli"!
Encore faudrait-il que l'on fasse appel à la linguistique comparée et que l'on confronte l'anglais au français mais à un français qui aura enfin pris conscience de sa puissance; Certes, il fut un temps où la domination du français était reconnue et les langues germaniques mais aussi slaves en témoignent mais si elles empruntèrent massivement au lexique de cette langue, elles n'en avaient pour autant toute la mesure et la description du français n'est toujours pas parvenu à en dégager la véritable supériorité! Le français est la reine des langues et elle est fondamentalement la langue de l'élite. Or, le propre de la phase DIN consiste précisément à remettre chacun à sa juste place, dans un esprit de verticalité.
Avec la phase DIN qui se profile, on a une fenêtre de tire pour 3 ans et demi qu'il va falloir exploiter à fond. L'enjeu d'une phase DIN est la déconstruction de la phase HESSED, d'en mettre en évidence les incohérences, les imitations et les calques qui la truffent et la parcourent. Il faut lui porter le "coup de grâce".
L'expression coup de grâce est utilisée pour désigner un coup fatal porté à une personne ou un animal blessé en vue de « l'achever voire « d'abréger ses souffrances ».
Définitions
Dans le sens propre
À l'origine « porter — ou donner — le coup de grâce » est une expression de nature métaphorique datant du XVIIIe siècle, laquelle désigne le dernier coup qu'un exécuteur donne à un supplicié afin de terminer ses souffrances[2],[3]. Ce terme correspond, dans un sens plus large, à l'homicide de civils ou militaires, amis ou ennemis, avec ou sans le consentement du blessé. Ce terme est également utilisé dans l'activité cynégétique, voire dans le monde de l'équitation, lequel constituer à tuer un animal blessé afin, selon l'auteur de ce coup, d'abréger, là aussi, ses souffrances""
Dans le sens figuré
Cette expression est quelquefois utilisée de manière figurée afin de décrire le dernier acte d'une série d'événements menant à la fin d'une entité. Par exemple : « L'entreprise était au bord de la faillite depuis des années, le coup de grâce vint de la hausse soudaine des prix du pétrole. »
Dans le langage séfirotique que nous utilisons en astrologie séfirotique, la Sefira Hessed signifie justement la Grâce.
"Hessed, חסד, se traduit par « Miséricorde », « Clémence » ou « Grâce » et on la connaît également sous le nom de Guedoulah, גדולה, c’est-à-dire « Majesté » ou « Magnificence ».
La phase Hessed se caractérise par une certaine complaisance, une complicité, une connivence (préfixe "cum:" avec) L'Union fait la Force.
JHB 10 06 25
jacques halbronn La question juive au prisme de l'astrologie septénale, séfirotique
jacques halbronn La question juive au prisme de l'astrologie septénale, séfirotique
En 1978, nous avions proposé ( http://nofim.unblog.fr › 2024/03/06 › jacques-halbronn...) une clef séfirotique pour aborder le tarot. Récemment, nous avons mis en oeuvre les Sefiroth pour décrire l'alternance des phases en Astrologie Septénale.
Nous entendons intervenir ici dans le débat autour du sionisme à la lumière de cette nouvelle forme d'astrologie qui est en fait sa forme originelle (Ur-Astrologie).Selon nous, il y a une polysémie du fait juif, l'une tendant vers le sionisme, l'autre vers le diasporisme, alternativement, ce qui génére deux types de crise, celle de la Solution Finale (1942) et celle de la Solution "moderne" (1897, cf notre ouvage, le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle avec un fac simile de la première édition française de l'Etat Juif, Ed Ramkat, 2002), On notera que dans les deux cas, le mot allemand "Lösung" -solution est utilisé, la solution finale étant la "Endlösung".
Nous dirons qu'en phase Hessed (dite de Grâce), les Juifs sont perçus comme entité géographique, comme Etat (Israel) avec ses frontières et son armée alors qu'en phase Din (dite de Jugement), les Juifs sont immergés individuellement au sein des divers ensembles, difficilement repérables de par leur diversité, ce qui conduira à leur imposer le port de l'étoile jaune, pendant la Seconde Guerre Mondiale pour qu'on puisse, quand même, les identifier et les rassembler (Vel d'Hiv etc)
En octobre 2023, Saturne entamait une phase Hessed en passant de la fin du signe du verseau et en entrant dans celui des Poissons. On était donc dans une dynamique territoriale, étatique, avec notamment la question sensible des tracés frontaliers; Mais la mise en camp de concentration relevait de la même logique du Hessed, du regroupement. Dans les deux cas, d'ailleurs, 1942 et 2023, il s'agissait d'un certain artifice, qui n"était pas fondé dans la longue durée historique mais sur une création ponctuelle. Comme disait Herzl, cela ne sera plus une Agada, une légende, un mythe. De même Auschwitz réalisait les rêves les plus fous de Hitler dans son "Mein Kampf". Il convient d'ailleurs d'opposera au rassemblement du Vel d'Hiv de 1942 les lois prises par Vichy, lors de la prise de pouvoir de Pétain
phase I 1940 (saturne en "Din") On est dans le qualitatif Saturne est en bélier puis passe dans la première partie du signe du taureau.
"Le statut du 3 octobre s’articule autour de deux points principaux : le premier définit qui est dorénavant juif ; le second vise à ôter « toute influence politique » aux Juifs, en édictant des interdictions professionnelles. La cible principale est la fonction publique, dont certains postes sont frappés d’interdictions totales (art. 2), les autres d’interdictions partielles, l’accès à ces emplois – subalternes par définition – n’étant ouvert qu’aux anciens combattants (art. 3). Le secteur privé est visé en second lieu, suivant un même schéma d’interdictions totales et partielles : les emplois dans la presse, la radio et le cinéma sont interdits aux Juifs (art. 5) ; les professions libérales et les postes auxiliaires de la justice ne sont pas interdits dans l’immédiat, en attendant que « des règlements d’administration publique […] aient fixé pour eux une proportion déterminée » (art. 4), soit, en clair, l’annonce d’un numerus clausus. Mais les décrets d’application concernant le secteur privé ne verront pas le jour avant que le second statut ne soit promulgué en juin 1941. Dans cet intervalle, c’est essentiellement le premier volet des interdictions, touchant à la fonction publique, qui fait l’objet d’une application conduisant à l’exclusion de 2 900 personnes."
phase II 1942 (Saturne en Hessed) On est dans le quantitatif.
"Au cours de l’été 1942, le régime de Vichy négocie avec les responsables de la police allemande un accord pour leur livrer 10 000 Juifs de la zone non occupée et 20 000 Juifs de la zone occupée. Pour tenir ces engagements, le gouvernement français exécute les grandes rafles de l’été 1942. La France non occupée est alors la seule zone en Europe où les autorités compétentes livrent de leur propre initiative des Juifs aux nazis.
Au mois de juillet 1942, le gouvernement de Vichy demande aux Allemands l’autorisation de déporter les enfants de moins de seize ans, jusqu’alors exclus des convois de déportation. Les autorités allemandes acceptent cette demande et le 14 août 1942 le premier convoi incluant des enfants part de Drancy en direction d’Auschwitz. Les maisons d’enfants de la zone non occupée ne sont plus des refuges sûrs."
Nous passons actuellement en mai- juin 2025 en phase Din de Saturne (entrée en bélier), cela signifie le recul d'une approche quantitative et donc le déclin de la dynamique sioniste et le regain d'une approche qualitative s'attaquant à l'élite juive et non plus au "peuple", au troupeau. Dans l'histoire juive, ce sont souvent les élites qui furent visées et non le vulgum pecus.
Sur le web:
" L'exil à Babylone (en hébreu : גלות בבל, Galuth Babel) est la déportation à Babylone de l'élite juive de Jérusalem et du royaume de Juda sous le règne de Nabuchodonosor II. Selon la Bible, cette déportation s'est faite en trois fois : après la défaite du royaume de Juda en 597 av. J.-C., après le siège de Jérusalem en 587/586 av. J.-C. et enfin en 582 av. J.-C. Elle s'est poursuivie jusqu'à la prise de Babylone par les Perses en 538 av. J.-C."
JHB 10 06 25
jacques halbronn Psychopathologie; Double contrainte et refus de la polyvalence
jacques halbronn Psychopathologie; Double contrainte et refus de la polyvalence
La langue est selon nous marquée par la polyvalence, c’est ce qui fait sa richesse mais aussi sous tend son économie de moyens. Cette polyvalence est parfois mal supportée en raison même de la diversité des applications que cela autorise:
sur le web
L’injonction paradoxale, De 1952 à 1962, le groupe de chercheurs-thérapeutes (G. Bateson, J. Haley, J.-H. Weakland, Don D. Jackson) a mis en évidence les manipulations interactionnelles pathogènes habituelles, non seulement dans des groupes familiaux mais également dans les environnements soignants. Parmi celles-ci, les paradoxes pragmatiques, qui « surgissent dans des interactions continues où ils déterminent le comportement » (Watzlawick, 1972), retiennent tout particulièrement notre attention. Contenant les injonctions paradoxales, ces paradoxes s’inscrivent, la plupart du temps, au cœur même de nombre d’interactions humaines. »
C’est ainsi que l’emprunt linguistique tend à rejeter la polysémie et à ne retenir qu’une partie d’un ensemble sémantique, ce qui peut nuire à la communication. Quand on s’entretient avec un « étranger », au sens d’une personne vivant « à l’étranger », l’on doit savoir que la polysémie ne sera pas pleinement respectée, assumée. La polysémie favorise la liberté des locuteurs et cela vaut aussi pour la prononciation des mots, notamment en français, d’où une forme d’incertitude.
Mais cela vaut également pour la polyvalence d’une personne, d’un lieu, d’un statut. Il peut ainsi exister des litiges à propos de l’usage d’un local lequel se prête en pratique à une certaine diversités d’agencements, d’usages, au cours d’une journée, d’une année. Il peut basculer d’un moment à l’autre d’une journée d’une activité privée (habitation) à une activité publique (commerciale) D’où une certaine indétermination qui sera plus ou moins bien supportée. Il nous semble que le Droit doit tenir compte d’une telle diversité spatio-temporelle. On n’est pas dans les mêmes dispositions 24 heures sur 24.
Inversement, il n’est pas davantage souhaitable que l’on ne respecte pas certaines spécificités des lieux comme des personnes, d’où l’importance des disciplines visant à catégoriser les périodes (astrologie septénale) et les tempéraments (cf nos travaux en psycho-topologie)
JHB 10 06 25
Roger Thiele Parapsychologie 500 jahre Nostradamus 2003 Elmar Gruber
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Der Grenzwissenschaftler Elmar R. Gruber legt eine bahnbrechende Nostradamus-Analyse vor. Traurig für viele Fans: In die Zukunft konnte der Meister nicht sehen
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Der hoch gewachsene Mann im weinroten Rollkragenpulli sagt nicht Simsalabim, er trägt keinen Zauberhut – und ein Fernrohr zur Erfassung der Himmelsbewegungen sieht man auch nicht in der Luxuswohnung hoch über Münchens Prominentenstadtteil Bogenhausen. Dafür ist im Regal gleich hinter dem antiken Schreibtisch die wichtigste parapsychologische Literatur versammelt. Außerdem breitet auf dem Fensterbrett eine fernöstliche Skulptur ihre vielen Arme aus: „Ich bin Buddhist“, erwidert der Erfolgsschriftsteller und promovierte Privatgelehrte Elmar R. Gruber den fragenden Blick des Besuchers – und nickt dazu sanft mit der Künstlermähne.
Oh, wie okkult! Der Psychologe versteht sich als intellektueller Grenzwissenschaftler, trat unter anderem mit Büchern hervor, die „Tranceformation“, „Das Jesuskomplott“ oder „Die PSI-Protokolle“ hießen. In den 80er-Jahren durfte der charmante Esoteriker auch schon mal im RTL-Fernsehen an allerlei „Rätsel des Seelenlebens“ rühren.
Jetzt erfüllte er sich nach vielen Jahren härtester Arbeit den Traum seines Lebens. Pünktlich zum 500. Geburtstag des französischen Gruselpropheten Nostradamus liegt aus Grubers Feder vor, was nicht nur die Fans der Internet-Seite www.paranormal.de als das „große Standardwerk über eine der faszinierendsten Gestalten der Kulturgeschichte“ bezeichnen. Das deutschsprachige Buch zum Thema ist es zweifellos geworden.
Wer war der provenzalische Wahrsager und Astrologe Michel de Nostredame (1503-1566) aus einer jüdischen Konvertitenfamilie, der seinen Namen schon während des Medizinstudiums in Montpellier und Aix-en-Provence zu Nostradamus latinisierte? Manche verwechseln den erfolgreichen Pestarzt und apokalyptischen Orakeldichter der Spätrenaissance mit Hochstaplerfiguren wie Cagliostro oder dem legendären Grafen von Saint-Germain. Das indes wird dem Zeitgenossen der Reformation und der Türkenkriege, dem humanistisch gebildeten Kenner der Antike und der so genannten Hermetischen Tradition keineswegs gerecht.
Also schrieb Nostradamus. Der Naturkundler verfasste Traktate über den römischen Arzt Galen, Werke über Mondfinsternisse, Konfitürenzubereitung und die Hieroglyphen des Horapollon. Immer mehr seiner Korrespondenz wird entdeckt, auch das berühmte Geburtshoroskop für den späteren Habsburg-Kaiser Rudolf II., das Nostradamus am 20. Juli 1565 dem kindlichen Kronprinzen anfertigte, ist heute gut erforscht. Wer wie Elmar R. Gruber den optimistischen 238-Seiten-Text präzise mit dem unglücklichen Leben des Melancholikers auf dem Prager Thron vergleichen kann, kommt um skeptische Einschätzungen hinsichtlich prognostischer Möglichkeiten nicht herum.
Seinen düsteren Ruhm als visionärer Wundermann und göttlich erleuchteter Verfasser kryptisch-ominöser „Quatrains“ (Vierzeiler) aber verdankt Nostradamus den erst ab 1555 erscheinenden „Prophéties“-Sammlungen, die seine nach Hundertschaften („Centuries“) geordneten Reime enthalten. Hier nahm der Seher keine Rücksicht auf die Empfindsamkeiten einer betuchten Privatkundschaft, hier ließ er dem Schrecken einer klirrenden Geschichte freien Lauf.
Die katastrophische Aura dieser Verse im inspirierten Stakkatostil, die bis 1567 noch von vergleichsweise hausbackenen Prosa-Enthüllungen in jährlichen Almanachen („Prognostications“) begleitet wurden, ist seither ständig gewachsen. Zum 500-Jahr-Jubiläum dürfte die Fama einen neuen Höhepunkt erreichen. Hat der Rätsel-Augur nicht im Quatrain Nr. 3/94 von 1555 höchstselbst geweissagt, dass „man sich von nun an in 500 Jahren um jenen Menschen kümmern wird, der eine Zierde seiner Zeit war“, und sich „plötzlich Klarheit herstellt, die sehr froh machen wird“? Okkultfans seiner Poesie sind sich sicher: Hier hat der Mann mit Wohnsitz im südfranzösischen Städtchen Salon von sich selbst gesprochen.
Dankenswerterweise präsentiert sich Grubers Mammutwerk keineswegs als die übliche „nostradamistische“ Kompilation, die auf der linken Seite willkürlich übersetzte Vatizinien (Weissagungen) des Maître reproduziert, um rechts davon körnige Fotografien von Stalin, Hitler, Hiroshima, Lady Diana oder des einstürzenden World Trade Center zu platzieren. Bekanntlich werden die Ereignisse vom 11.9. gern mit wenig Evidenz auf die Zeilen der Quatrains 1/87 bzw. 6/79 bezogen, nur weil in beiden Kostproben gewaltige Feuer in einer „großen Stadt“ bzw. „neuen Stadt“ toben. Mancher Internet-Manipulateur schreckte auch vor Kompletterfindung nicht zurück.
Gruber dagegen zeigt trotz grenzwissenschaftlicher Ausgangsposition den Ehrgeiz, zum deutschsprachigen Häuptling der Anti-Nostradamisten aufzusteigen, ein Unternehmen, bei dem er sich auf seine polyglotte Bildung, aber auch auf die Zusammenarbeit mit französischen Kennern stützen kann. Diese „Seizièmisten“ (Experten des 16. Jahrhunderts) um Jacques Halbronn, Robert Benazra oder Roger Prévost überbieten sich gegenseitig in philologischer Kleinarbeit; ihre kritischen Detailstudien sollen die notorisch plumpen „Entschlüsselungen“ skrupelloser Nostradamus-Deuter ein für allemal in den Orkus verbannen.
Alles Eingeweide für Eingeweihte? Handelt es sich dennoch nur um ein Gaga-Thema, um höhere Kaffeesatzleserei? Ist das Sujet die Mühe überhaupt wert? Vernachlässigt die universitäre Romanistik es nicht zu Recht? Wer so fragt, kennt die Elogen des Lyrikers Pierre de Ronsard oder den literarischen Nostradamus-Respekt eines Umberto Eco nicht. Wahr ist allerdings, dass der mysteriösen Gestalt 500 Jahre nach ihrer Geburt der alte „Seher“ einfach nicht mehr abgenommen wird.
„Wirkliche präkognitive Fähigkeiten“, formuliert Gruber nach intensiver Prüfung auch des genannten Rudolf-Horoskops, sind „nicht nachweisbar“. Die übersinnliche Maskerade dagegen gehört (wie die vielen Tricks zur Vermeidung allzu gefährlicher Weissagungskonkretion) zum Genre des Orakels. Krankheiten wie Epilepsie, erbliche Dispositionen, Stimulanzien: Das alles mag parapsychologisch auch eine Rolle gespielt haben, resümiert Gruber vorsichtig in einem Exkurs.
Zukunft in der Geschichte. Als Erbe der biblisch-heidnischen Prophetie steht Sternenfreund Nostradamus am unruhigen Beginn der Neuzeit, verarbeitet etwa mit durchaus antiislamischen Parolen das Krisenszenario der Türkenkriege – Suleiman der Prächtige hatte vor Wien Halt gemacht. Reformation, Pest und der epochale Umsturz des geozentrischen Weltbilds sind weitere Aufreger-Themen, die der Magier mit Hilfe des Formulars seiner Quatrains in phantastische Literatur umschmelzen kann. Grubers ganzer Stolz ist der detaillierte Nachweis, woher Nostradamus im Einzelfall seine Bilder bezieht oder welche Elemente der Realgeschichte er dafür aufmarschieren lässt.
Als besonders wichtig erweisen sich die Texte der Prodigien-Literatur, die ihr Publikum schon seit der Antike mit schaurig-schönen Berichten über allerlei Sonderbarkeiten, Missgeburten und Monster verängstigen will. Hier sieht man, wie Zukunftsschau allein vom virtuosen Blick zurück leben kann.
Wer sich für Geschichte nicht interessiert, keine Zeile Französisch liest und vom Reichtum der Überlieferung nichts wissen will, ist nicht der Leser dieses Buchs. Zu Wahrsagers Geburtstag aber kommt es gerade recht.
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