samedi 15 octobre 2022

Jacques halbronn Les couples "planétaires" et leur alignement sur les axes saisonniers

Jacques halbronn Les couples planétaires et leur alignement sur les axes saisonniers Dans les années cinquante, le CIA-Centre International d’astrologie publia une série de volumes dont Soleil Lune et Jupiter Saturne auxquels il faut ajouter Uranus Neptune alors que Mars- Vénus ne parut pas. On notera l’absence de Mercure, le laissé pour compte du Septénaire, et souvent qualifié de « neutre » D’emblée, l’on notera que Mercure aurait du être associé à Jupiter, puisque ses deux domiciles, dans le Tetrabiblos, se trouvaient opposés à ceux de Jupiter, tout comme ceux de Mars et de Vénus. Quant à Saturne, il semble devoir être mise en couple avec la Lune en ce que ses années correspondent au nombre de jours de la Lune et que le capricorne fait face au cancer.. Mais notre propos, ici, se situera sur un autre plan, à savoir qu’une polarité entre deux facteurs exige une synchronie ce qui est le cas de ce qui se passe pour les axes équinoxiaux et solsticiaux au niveau zodiacal. Autrement dit, ce sont les signes qui constituent des couples et non les planétes et nous avons déjà signalé, dans de précédents articles, la confusion entre ces deux catégories. Les divinités dont il s’agit chez Ptolémée, sont liées aux seuls signes et visent à en déterminer le sens. Les signes opposés sont de même genre et cela montre que l’aspect d’opposition est assimilable à celui de conjonction, ce que n’avait pas saisi Barbault et avant lui Gouchon à propos de l’indice de concentration planétaire/indice cyclique. JHB 15 octobre 22

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