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mercredi 10 juillet 2024
jacques halbronn Le monde du salariat face au monde de la gratuité. Le traitement des retraités
Jacques halbronn Le monde du salariat face au monde de la gratuité. Le traitement des retraités.
Selon nous, notre Société est organisée sur une base duelle, le haut et le bas.
D’un côté un monde « libre »qui organise son temps comme il l’entend, sans horaires trop précis et de l’autre un monde contraint par le carcan de l’emploi lui même lié à la consommation, à l’achat de biens de toutes sortes.
D’un côté, des personnes vouées au bonheur de l’Humanité, de la Collectivité, de l’autre un « personnel » aux ordres d’un « patron » et attendant en contre -partie une certaine rémunération, ce qui implique le respect spatiotemporel d’horaires et de lieux auxquels il faut s’astreindre. Nous dirons que les gens d’en haut se soucient la Res Publica et n’ont de comptes à rendre que devant elle et la question est de savoir ce qu’ils obtiendront en contre partie et notamment à l’âge de la retraite.
C’est en ce sens que nous parlerons d’un « monde de la gratuité » En effet, cette population d’en haut ne s’est pas constitué un capital de fiches de paie et de cotisations tout comme la population d’en bas s’est plus intéressée à la fin du mois qu’à la fin du monde, selon une formule bien connue.
C’est pourquoi nous préconisons un régime de gratuité absolue pour la population axée plus sur le global que sur le local. Des commissions seraient chargés d’étudier chaque dossier de demande de gratuité générale, sur la base de « CV » d’un autre ordre que pour la population de salariés. On tiendra compte des activités associatives, des recherches universitaires, des productions littéraires, artistiques, scientifiques de tous ordres en recourant notamment aux « traces » recueilles et recensées par les moteurs de recherche et dans les réseaux sociaux. Il semble assez logique que ceux qui auront oeuvré gracieusement soient gratifiés de prestations gratuites.
IL convient de préciser qu’un tel dispositif ne concerne qu’une minorité et donc n’a pas d’effet lourd sur l’économie. Or, actuellement, le sytéme des retraites s’articule sur les gens d’en bas, ce sont eux qui apparaissent comme des citoyens modéles dont tout l’édifice social dépendrait, découlerait alors que les gens d’en haut seraient perçus comme des électrons libres assimilables au plus bas niveau (minimum vieillesse). En phase équinoxiale, la politique bascule vers les « travailleurs » -avec une connotation particulière autour du mot « travail », qui renvoie à l’employeur, chargé de distribuer des « bons points » par le biais du recrutment. Selon nous, en négligeant le sort des élites, en ne sachant pas les reconnaitre et les distinguer une société se fragilise, s’ »oxydifie »
JHB 07 07 24
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