lundi 17 mars 2025

jacques halbronn Critique Linguistique. De la Matrice Morphononlogique Universelle (MMU) à la matriche Astro-Historique Universelle (ACU)

jacques halbronn Critique Linguistique. De la Matrice Morphononlogique Universelle (MMU) à la matriche Astro-Historique Universelle (ACU) Selon notre approche anthropothéologique, l'Humanité aura subi, à un certain moment de son Histoire un formatage ou un reformatage en régle, selon une dialecrique matière/forme. Un tel processus soumet les différents substrats langagiers à un seul et même modéle mais détermine des effets divers, selon le matériau concerné. On qualifiera ce processus de Matrice Morphonologique Universelle en ce que cela traite, comme on s'en longuement expliqué ailleurs, du rapport de l'écrit "neutre" à l'oral, voué à des marqueurs de genre et de nombre. Par delà la différences des dits substrats, l'on dit être en mesure de faire apparaitre la mise en oeuvre d'un même matrice, à condition, toutefois, de faire la part des emprunts, des corruptions de toutes sortes susceptibles d'avoir joué,ce qui, on l'aura compris, relativise singulièrement l'importance accordée aux données lexicales vouées à être transmutées tout en se pliant à un seul et même modéle/http://nofim.unblog.fr/2024/07/28/jacques-halbronn-linguistique-comparaison-du-francais-et-de-lhebreu-dialectique-de-lecrit-et-de-loral/ Nous allons, ici, mettre en évidence l'existence d'un même matrice à l'oeuvre entre le français, l'hébreu, l'allemand, ce qui révolutionne le champ de la linguistique comparée. Si l'on prend ainsi l'adjectif hébreu masculin "gadol" (grand, en français) et féminin "guedola" (grande; en français), l'on observe que le féminin dispose d'un sheva, qui n'est pas censé se prononcer - ile faut dire gdola- ce qui renforce le poids consonantique du mot (les consonnes correspondant au régime du féminin et les voyelles, celui du masculin, le voyelles étant séparées dans l'aphabet hébraïque au point qu'on les présente comme "diacritiques) web "Un diacritique ou signe diacritique (du grec ancien : διακριτικός / diakritikós, qui distingue ) est un signe accompagnant une lettre ou un graphème pour en modifier le sens ou la prononciation." Nous dirons que le signe diacritique vient mettre fin à la neutralité de l'écrit consonantique en le faisant basculer vers un genre ou un nombre donnés. Mais est ce que c'est le masculin qui débouche sur le féminin ou bien l'inverse? Il en est de même en hébreu pour le pluriel, gadol versus guedolim, à prononcer gdolim" Ideù pour l"écrit qatan qui devient au féminin "qtana" Cela dit, il semble qu'en hébreu moderne, le sheva n'est plus perçu comme une connexion entre deux consonnes mais comme la base d'une formation syllabique On notera que l'anglais qui a été fortement marqué par ses emprunts à un français non impacté par l'alignement assez vain de l'écrit sur l'oral, aura conservé, préservé, l'idée de neutralité pour les adjectif, ce qui laisse en principe, au locuteur le soin de "préciser" son propos, à l'oral. En revanche, de la sorte, le françàis aura su sauvegarder un mode différencié de prononciation, jusqu'à nos jours. D'autres langues germaniques auront emprunté avec plus ou moins de bonheur au modéle/moule français,comme l'allemand qui distingue à l'écrit le masculin et le féminin, ce qui correspond à un lien plus tardif que pour l'anglais avec le français mais sans en comprendre pleinement le bon mode d'emploi. Au lieu de diphtonguer la forme masculine "ein", il l'oppose à sa forme féminine :"eine", ce qui est une double erreur, tant pour le masculin que pour le féminin Enfrançais actuel, on a "grand", où le "d" final ne se prononce pas et grande, où le "e" final ne se prononce pas pour l'excellente raison qu'il est censé indiquer que la consone finale doit se faire entendre!.Lutte intéressant entre un féminin cherchant à évacuer les voyelles et un masculin ayant pour objet de se démarquer des consonnes, autant que faire se peut. Faut il en conclure que le "sheva" n'est nullement une voyelle mais bien une anti-voyelle, dont la fonction serait de "neutraliser" la voyelle?https://bibliques.com/hebreu/hebreu-03/ Si l'on prend le domaine du verbe en hébreu, on a l'exemple de "Mahshava" (pensée) à partir de Ani Hoshev: (Moi pensant) On voit que le"o" de Hoshev a été remplacé par un sheva muet dans son substantif, Dans le cas de la formation du futur en français, à partir de l'infinitif, le shewa jouera un rôle majeur: manger - je mangerai. Dans manger, l'on ne prononce par la consonne finale "r" et dans "mang'rai", on ne prononce par le E qui ne s'entend que suivi d'une consonne au sein d'une même syllabe. On observe ainsi le basculement d' une domination "vocalique" vers un domination "consonantique, tension constamment à 'l'oeuvre dans un sens ou dans l'autre/ On a signalé l'importance des dégradations du modéle, lesquelles peuvent tenir à des initiatives d'alignement de l'écrit sur l'oral quand la population ne maitrise plus les codes/ C'est ainsi qu'il est faux de déclarer que "petite" se prononce ainsi à cause du "e" final à l'écrit alors qu'à l'écrit, on doit rester à un stade de neutralité, d'indétermination. La MMU implique de rendre au locuteur- celui qui parle- toute sa place, à savoir de gérer l'écrit et non de s'y soumettre Mais l'on peut adopter une approche matrickelle dans le Domaine de l'Histoire. A p parrtir de matériauxw axtréemement divers, l'application d'une même matrice garantit une certaine unité et cette matrice, c'est l'Astrologie Septennale. JHB 19 03 25

Aucun commentaire: