samedi 20 novembre 2021

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre "U" dans le milieu astrologique; universitaire ou Unifié?

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre « U » dans le milieu astrologique : Universitaire ou Unifié.? Nous avions déjà réfléchi sur le ‘RA » présent dans le sigle de plusieurs associations astrologiques, depuis le GERAS (1974) jusqu’au CEDRA (1986) et au CURA.(1999), le RA du RAO signifiant en revanche Rassemblement des Astrologues. Ce RA renvoyait à « Recherche en Astrologie » et il faudrait d’ailleurs se demander en quoi aura consisté un tel programme. Signalons aussi la revue de Denis Labouré (Saint Etienne), « La Recherche Astrologique »/ Penchons-nous, cette fois, sur la portée du « U’ dans des associations comme le MAU (1975) et le CURA(1999) De fait, si en 1975, le U de MAU signifiait Universitaire, ce U allait assez vite changer de sens en indiquant « Unifié » au lieu d’Universitaire. En 1999, Patrice Guinard, décédé en septembre dernier, reprendra le U au sens d’universitaire pour son Centre Universitaire de Recherche Astrologique. Ce changement que nous avions décidé tenait au fait que le MAU avait gagné en peu de temps une position centrale, fédérative, dans le milieu astrologique, ce qui correspond en Astrologie EQSOLS à une phase équinoxiale alors que le U pour Universitaire correspondrait plutôt à une phase dite solsticiale.* Or, il semble bien que depuis quelque temps, au regard du U la tendance » universitaire » tende à l’emporter sur la tendance « unificatrice », ce qui nous éloigne du milieu astrologique dont nous ne sommes plus d’humeur à sauvegarder l’unité, comme cela avait été encore le cas, au précédent passage solsticial de Saturne, il y a une quinzaine d’années.(cf le Colloque de novembre 2004 et la création de notre chaine Teleprovidence, actuellement sur You Tube) en 2008) Certes, le milieu astrologique nous intéresse-t-il encore mais d’un point de vue historique et ethnologique et plus encore peut être d’un point de vue cyclologique au prisme de l’alternance des phases de 7 ans. D’où la création de la BINA, la Bibliothèque Internationale de Numérisation Astrologique, engagée par Dominique T. et l’exploitation des fonds de la Bibliotheca Astrologica, rebaptisée BURA, ce qui fait réapparaitre le U d’Universitaire: la Bibliothèque Universitaire de Recherche Astroloiogiques dont nous assurons désormais une série de « Publications ». On aura compris que pour nous l’heure n’est plus à une gestion paresseuse du milieu astrologique mais bien à une entreprise vigoureuse de nouveaux paradigmes, déjà mise en oeuvre dans ce Manifeste que furent nos « Clefs pour l’Astrologie » (Paris, Seghers 1976, Claves de la Astrologia, Madrid, EDAF,1978) vingt ans avant le « Manifeste » (1999) du regretté Patrice Hervé Guinard, décédé 30 ans après Michel Gauquelin. Nous pu observer, en effet, que les idées mise en avant en 1976 n’ avaient pas connu qu’elles eussent mérité, il y a donc plus de 40 ans, notamment dans la place accordée aux axes équinoxiaux et solsticiaux au niveau cyclologique. L’exemple de Serge Bret Morel est assez édifiant, lui qui fut le lieutenant d’Alain de Chivré, à la FDAF, passé, avec un certain succés, dans le camp des « astrosceptiques ». Quant à nous, rappelons que nous nous sommes orientés dès les années 80 vers le prophétisme, ayant soutenu en 1999 et 2007 deux thèses universitaires »’cf Article Wikipedia) Par ailleurs, nous avons mené des recherches en linguistique et en critique biblique (étant par ailleurs docteur en Etudes Orientales, 1979), couvrant ainsi un spectre où l’astrologie trouvait de nouvelles perspectives interdisciplinaires.(cf le Colloque sur la Dualité, Paris, mai 2000, Cahiers du CERIJ, association que nous avons fondée en 1978, Cercle d’etudes et de Recherche sur l’Identité Juive). Pour nous, astrologie et théologie sont devenues indissociables, d’où le nouveau concept de ‘Surnature » que nous avons décliné depuis peu. Si nous devons organiser à l’avenir des colloques, ce sera sur les bases de notre modéle cyclologique (EQSOLS) et de la théologie de la Surnature.

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