vendredi 11 mars 2022

Jacques Halbronn La recherche anthropocosmologique passe par le nombre

Jacques Halbronn la recherche anthropocosmologique passe par le nombre. Si l’on définit l’anthropocosmologie comme une étude des structures fondamentales du psychisme humain, nous pensons que l’épistémologie du domaine ne saurait se passer du nombre et ce, à un double titre, statistique et cyclique, dans l’espace et dans le temps/ Ces constats nous mettent en contact, selon nous, avec des structures fondamentales et primordiales . Chassez le naturel, il revient au galop. I Statistique Les récurrences doivent nous interpeller quand nous observons la présence ou l’absence de telle catégories dans une activité donnée. Cela peut s’expliquer par l’adage « qui se ressemble s’assemble ». Autrement dit, nous remarquons ce qui aurait pu a priori nous sembler improbable, statistiquement. Pourquoi telle concentration de personnes du même type ou au contraire pourquoi une telle rareté? Un mélomane ne peut pas avoir remarqué que la très grande majorité de sa discothèque (playlist) « classique » est constituée de compositeurs hommes. Il est quand même en droit de s’interroger. C’est donc bien le nombre des constats qui guidera ici sa réflexion sociologique. On peut aussi observer la proportion de « blacks » dans certains secteurs d’activité, comme la sécurité, les « vigies des supermarchés à tel point que si l’on n’a pas ce profil, l’on détonnera. ». II Cyclicité Un autre aspect à signaler concerne certaines répétitions dans le temps, à intervalles réguliers. Si nous observons que le même nombre d’années se sera écoulé au sein d’une série d’événements comparables, n’est on pas en droit de penser qu’il existe une certaine loi numérique derrière tout cela? Dans ce cas, l’on peut être conduit à rechercher une structure numérique « jumelle » dans le ciel. Parmi ces écarts remarquables, on trouve le 7, le 15, le 30 en termes d’années notamment. Cela nous conduit au binome Lune-Saturne, les jours terrestres pour la Lune correspondant aux années terrestres pour Saturne : 28 jours/28 ans. Il nous faut réfléchir sur les implications liées à de telles observations au prisme de notre systéme solaire. Pourquoi notre satellite aurait quoi que ce soit à voir avec Saturne, du point de vue des jours et des années terrestres? Ne pourrait-on être tenté de supposer quelque « dessein intelligent » centré sur notre Terre, oeuvre de quelque « créateur » (cf l’oeuvre de Jean Sendy) ? L’astrologie contemporaine semble avoir renoncé à s’ancrer sur de telles observations empiriques a posteriori de cet ordre, préférant plaquer toute sa « tradition » alambiquée sur le monde.. Au lieu de se limiter à des corrélations numériques, elle a opté pour les prévisions en aveugle, ce qui la fragilise singulièrement. JHB 11. 03 22

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