jeudi 10 mars 2022

jacques Halbronn Recherche astrologique. Quelle anthropologie et quelle astronomie?

jacques halbronn Recherche astrologique. Quelle anthropologie et quelle astronomie? Il ne s’agit nullement de valider toute l’astrologie mais de déterminer ce que l’on peut adopter des données astronomiques aux fins de comprendre le cours des choses. ll vaut mieux parler ici d’astronomie que d’astrologie vu que le champ de l’astrologie est extrémement vaste et n’englobe pas la totalité de l’astronomie. Quant à ce que l’astronomie est censée corréler des réalités sociologiques observables dans notre monde, là encore c’est l’embarras du choix. Or, le chercheur en astrologie doit, préalablement, s’être constitué une série d’observations chiffrées d’ordre anthropologique. Entendons par là, qu’il doit avoir remarqué des récurrences numériques qui seront l’interface à déterminer entre le Ciel et la Terre puisque grace au calendrier, il nous sera possible de repérer des écarts, des intervalles de temps significatifs. Deux obstacles se présentent I ne pas avoir pris en compte toutes données célestes, parce qu venant du milieu astrologique, le chercheur aura négligé certains repéres cosmographiques, comme le cycle des saisons, dû à l’inclinaison terrestre. II ne pas avoir su se constituer un corpus d’observations sociologiques, historiques qui soit articulé sur une dialectique pertinente. En 1976, il y aura bientôt 50 ans, surtout si l’on tient compte de la période de préparation de nos Clefs pour l’Astrologie (Ed. Seghers) nous avions maitrisé ces deux obstacles en nous concentrant sur l’histoire des empires, comment ils se forment et comment ils se défont d’une part et sur le passage d’une planéte sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, domaine généralement négligé par la recherche astrologique laquelle préféré connecter deux astres entre eux. L’avantage de cette approche était de respecter l’équilibre numérique de la Loi de Bode, lequel aurait été perturbé en combinant deux cycles/ Il faut comprendre, en effet, que le chercheur en astrologie ne saurait partir d’une tradition astrologique, terriblement syncrétique dans l’espoir de la valider dans sa globalité, ce que semble avoir voulu faire une Suzel Fuzeau -Braesch dont Bret Morel aura été proche jusqu’à son décés.(à elle). De même le critique de l’astrologie ne saurait faire le procés à l’astrologie de ne pas pouvoir valider l’ensemble des précéptes figurant dans la littérature astrologique ou de ne pas se servir de la totalité des données astronomiques connues jusqu’à nos jours! JHB 10 03 22 I

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