mercredi 20 juillet 2022

jacques Halbronn L'astrologie mondiale est saturnienne et ne relévé pas du thème natal

jacques halbronn L’astrologie mondiale est saturnienne et ne reléve pas du thème natal. Selon nous, l’astrologie généthliaque n’a rien à voir avec le Zodiaque et les cycles planétaires qui parcourent l » ecliptique. En ce sens, elle a pu se former bien plus tôt puisqu’elle n’exigeait pas le même niveau de connaissance astronomique mais s’inscrivait dans le ponctuel, dans le court terme. C’est cette astrologie des « maisons » qu’explora un Michel Gauquelin, statisticien (décdé en 1991), depuis les années cinquante du siècle dernier et non pas l’astrologie des « saisons ».(cf le Colloque La raison des maisons (1988), sur notre chaine Youtube, télé de la subconscience) Or, les astrologues pratiquent un syncrétisme combinant allégrement ces deux astrologies. D’ailleurs, l’astrologie des saisons n’a pas besoin de la connaissance des données de naissance car elle s’intéresse au « destin » collectif, par delà les problématiques personnelles. On notera que Gauquelin n’aura aucunement validé les combinatoires planétaires. Le probléme posé par une astrologie « gauquelinienne » tient néanmoins aux diverses fonctions planétaires, ce qui va à l’encontre de ce que nous entendons par « prometteurs », à savoir que l’astre prometteur voit son champ d’action circonscrit par les secteurs qu’il traverse et non du fait de son essence propre. Selon nous, c’est le significateur qui donne une coloration au prometteur et non l’inverse tout comme le Soleil pointe tel ou tel signe, tout en restant « neutre » Or, chez Gauquelin, l’astre joue un rôle de significateur, puisqu’il est censé déterminer un certain créneau socio-professionnel. Inversement, chez Gauquelin, les « maisons » ne sont pas porteuses de significations particulières, à la différence de la pratique astrologique. D’ailleurs, en astrologie généthliaque classique, tout se passe comme si tant les maisons que les planétes étaient des significateurs à tel point qu’il y a comme un manque de « prometteurs »! Bien pis, tous ces facteurs se combinent au niveau des planétes par le biais des aspects sur la base des intervalles de degrés. Or, selon nous, à la lecture, notamment, de la Tétrabible, ce sont les signes qui sont en aspect et non point les planétes. En fait, le systéme décrit par Gauquelin est à base 4, sur la base de l’axe de l’horizon et de l’axe du méridien, ce qui constitue un paralléle avec les axes équinoxiaux et solsticiaux dans l’autre astrologie. si ce n’est que Gauquelin (cf notre postface à ses Personnalités PLanétaires, parue après sa mort, Paris, Trédaniel, 1992) n’introduit pas de changement entre l’impact du passage d’une planéte sur l’un ou l’autres des axes horizon/Meridien., ce qui serait un service minimum. Autrement dit, les secteurs chez Gauquelin ne sous-tendent même pas de significations particulières! C’est une astrologie rudimentaire, une proto-astrologie à la Gauquelin en comparaison de notre astrologie EXOLS avec des prometteurs chargés de significations et des significateurs qui en sont dépourvus.

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