vendredi 9 septembre 2022

Jacques halbronn Histoire de l'Astrologie. Du point vernal à l' Ascendant. De Saturne à la Lune

jacques Halbronn Histoire de l’astrologie. Du point vernal à l’Ascendant. Dans cette étude, nous mettrons en paralléle deux points de repére en usage en Astrologie: l’un serait la base des 12 signes zodiacaux alors que l’autre servirait à déterminer les 12 maisons, sur la base du mouvement diurne, quotidien. Notice Wikipedia » Le point vernal (noté gamma γ) est l’un des deux points de la sphère céleste où l’équateur celeste et l’écliptique se croisent. Précisément, ce point est défini par la position du Soleil sur la sphère céleste au moment de l’équinoxe de printemps dans l’hémisphère Nord » Notice Wikipedia « L »ascendant en astrologie est un des éléments d’un thème astral. C’est un point, le point de l’écliptique situé sur l’horizon oriental pour ce lieu et ce moment donnés, mais on appelle également ainsi le signe qui contient ce point. » En fait, selon notre approche, il y a quatre points et non pas un seul qui constituent les bases du Zodiaque, si bien que la question des deux hémisphères est dépassée, dans la mesure où les deux équinoxes s’équivalent et ne donnent pas lieu à des interprétations différentes. La question des deux hémisphères devient un faux probléme puisqu’on est dans une logique de symétrie. Pour nous, il y a des périodes équnoxiales et des périodes solsticiales, soit deux cas de figure seulement. Ce qui importe, c’est le passage d’un curseur céleste sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, ce qui détermine des périodes différentes, en alternance.. Quid de l’Ascendant qui serait donc le point de départ du calcul des « cuspides », des « pointes » des maisons? On notera qu’il existe une formule syncrétique en usage dans la presse,où le signe solaire sert de base aux dites maisons et sert en quelque sorte d’ascendant. On parle alors de « maisons solaires ». Sur la base de la dialectique 1 prometteur pour 12 significateurs, l’ascendant semble devoir jouer par analogie le rôle du soleil passant sur les 12 signes en l’espace d’un an mais cette fois en l’espace d’une journée. Le probléme, c’est d’une part qu’il ne s’agit pas d’un corps céleste. et de l’autre on rappellera qu’il existe 4 points : l’Ascendant face au Descendant, le Milieu du Ciel face au fonds du Ciel, soit deux axes, l’un lié à l’horizon, l’autre au méridien par rapport au lieu considéré. Ce qui est étrange, c’est la volonté de se servir du zodiaque dans le cas du thème astral au lieu de s’en tenir au seul référentiel des seules maisons astrologiques. Michel Gauquelin aura tenté de valider l’astrologie en montrant que telle ou telle planéte – il se servait de 5 astres-tendait à se « lever » à la naissance d’une certaine catégorie de personnes liées à une activité socioprofessionnelle -tel Ptolémée dans sa Tétrabible- ne semblent pas avoir compris que l’usage de noms de dieux en astrologie désignait les signes zodiacaux. et non des planétes, emboitant ainsi le pas, bien à tort, des astronomes jugeant bon de nommer les planétes au moyen d’une telle terminologie concernant les signes! C’est ce point qu’il eut été heureux du point de vue de l’Histoire de l’Astrologie, de soulever dans les 4 heures d’émission de la série LSD « L’astrologie,L’éternelle tentation du Ciel » diffusée sur France Culture, début septembre 2022. En raison de l’extréme briéveté de durée du passage des astres, en mouvement diurne, on aura élaboré une analogie sur la base de I jour pour 1 an, ce qui recoupait numériquement le cycle de Saturne de 28 ans (cf Rudhyar) en analogie avec les 28 jours du mois lunaire. On peut donc en conclure raisonnablement que la Lune est l’astre curseur des maisons astrologiques et Saturne l’astre curseur des signes du Zodiaque. On regardait la position de la Lune à la naissance et à partir de là l’on pouvait constituer tout un calendrier allant de 7 ans en 7 ans, grâce à la dite correspondance I jour pour 1 an, que l’on retrouve dans l’Ancien Testament. JHB 09 09 22

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