Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
mercredi 11 octobre 2023
jacques halbronn Le choc des théologies Les deux écologies
jacques halbronn Le choc des théologies. Les deux écologies
Dès lors que l’on associe la notion de Dieu à celle de Nature, comme le fait le christianisme, toute atteinte à la Nature devient une atteinte à Dieu et en ce sens le discours écologique actuel serait tout à fait compatible avec la théologie chrétienne actuelle; En revance, si pour le judaisme, du moins tel que nous le concevons, nous privilégions un Dieu créateur de notre monde et non à l’origine de l’Univers, l’on accéde ipso facto à une autre forme d’écologie laquelle se situe sur le plan social puisque notre Société serait alors marquée par un « dessein intelligent » advenu bien après le « big bang », par un « plan divin ». focalisé sur des paramétres bien plus limités. On sait que le christianisme aura fini par s’opposer au judaisme en raison de son » ouverture » sur le monde,pris dans son ensemble, ce qui correspond d’ailleurs à un état antérieur à l’ère judaique.
C’est ce champ théologique « restreint’ qu’il nous intéresse de décrire, à savoir un reformatage de l’univers par une intervention de type « alien », ce qui signifie un réagencement du systéme solaire qui conduit à notre systéme solaire actuel dont certaines particularités n’ont pas encore été mises en évidence, notamment au niveau biotechnologique, à savoir la connexion entre certains astres et certains humains, toujours selon une optique « restreinte ». Il est vrai que le judaisme aura fini par adopter une théologie universelle, n’hésitant pas à qualifier « son » dieu de Roi du Monde, avec l’idée que le Monde serait l’univers tout entier, ce qui est un contresens. On aura compris que pour nous l’Astrologie se trouve précisément à l’interface entre le minéral planétaire et l’animal humain. Encore est-il bon de préciser que pour nous Adam désigne cette nouvelle Humanité que nous associons avec le « peuple » juif (au sens judéen du terme).
Autrement dit, cette théologie restreinte n’associe pas Dieu à la Nature, à la façon d’un Spinoza et développera donc d’autres priorités écologiques si l’on considére que l’écologie actuelle est impactée par une certaine théologie laquelle dénonce toute atteinte à la Nature comme étant une atteinte à ce Dieu. On peut lire sur Internet:
« Dieu, les humains et la nature : et la théologie chrétienne se convertit à l’écologie
Parce que créés à l’image des Dieu, les humains, a-t-on longtemps pensé, sont au-dessus des végétaux et des animaux… donc autorisés à piller leur environnement. Aujourd’hui, à la lumière de l’écologie, un renouveau théologique s’opère. »
Un tel texte est révélateur d’un certain glissement théologique à tonalité foncièrement paienne auquel notre théologie « restreinte » doit s’opposer. On comprend mieux ainsi certains avertissements de la littérature judaique qui nous mettent en garde contre des cultes étrangers et c’est bien là la tentation à laquelle le judaisme contemporain doit rejeter.
Il est clair d’ailleurs que les problémes écologiques actuels qui sont mis en exergue dépendent largement d’un déréglement de la gouvernance.
JHB 11 10 23
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