lundi 5 août 2024

jacques halbronn Astrologie EXOLS Populiams et autoritarisme. De Gaulle, Trump, Macron, 1958- 2016

jacques halbronn Astrologie EXOLS Le populisme : De Gaulle, Trump, Macron 1958-2016 Nous entendons montrer qu'en 1958 De Gaulle incarnait un certain anti-parlementarisme, une hostilité envers les partis politiques qui trouvera son accomplissement avec la réforme de 1962 modifiant l'article relatif à l"élection du Président de la République, , on retrouve en 2016-17, l'expression de ce même anti-parlementarisme aux USA et en France, avec l'élection respectivement de Donald Trump et d'Emmanuel Macron, sous les mêmes configurations astrales. à savoir à la fin du signe du Sagittaire, peu avant d'ailleurs le passage de Saturne d'une phase équinoxiale à une phase solsticiale.(à 15° capricorne) "Le mot populisme désigne une approche politique qui a tendance à opposer le peuple aux élites politiques, économiques ou médiatiques et intellectuelles, en se revendiquant du premier. Le sentiment que le peuple est exclu de l'exercice d'un pouvoir par ailleurs coupé des réalités, même dans une démocratie représentative émanant d'élections dites démocratiques, est à l'origine du populisme de gauche et de sa variante ouvriériste, comme du populisme de droite." I De Gaulle 1958 Le gaullisme fut-il une critique du régime d'Assemblée ? David Bellamy Dans Parlement[s], Revue d'histoire politique 2013/3 (n° HS 9), pages 113 à 125 II Donald Trump 2016 Les discours de Donald Trump se nourrissent d'une culture politique américaine ancienne. Fondée sur une vision binaire de la société, elle oppose le peuple aux élites et aux possédants. Cette vision valorise l'outsider qui saura nécessairement mieux œuvrer pour le peuple que les élites corrompues. III Emmanuel Macron 2016 sur le web Le « macronisme » et la fin des partis traditionnels Cairn.info https://www.cairn.info › load_pdf En réalité, le constat est même double : non seulement les partis traditionnels, de droite et de gauche (Les républicains et le Parti socialiste) ont sombré." On peut d'ailleurs penser que la dissolution de l'Assemblée Nationale décidée par Macron en juin 2024 serait l'expression de son anti-parlementarisme. Ce droit de dissolution était justement prévu dans la Constitution de la Ve République. Sur le web "Le 9 juin 2024 soir, le président de la République a annoncé la dissolution de l'Assemblée nationale, en application de l'article 12 de la Constitution". On nous objectera peut être qu'en juin 2024 on était en phase solsticiale et non équinoxiale. Mais l'occasion fait le larron et Macron aura considéré que son projet de 2016 pouvait alors se réaliser 8 ans plus tard, mettant effectivement au défi les diverses "factions". politiques de s'organiser entre elles pour constituer une majorité absolue, seul moyen de faire pièce au pouvoir de l'exécutif. Et en ce sens, pour l'heure, en tout cas, il aura réussi son "coup" que l'on pourra qualifier de "gaulliste" en dépit des affirmations du Nouveau Front Populaire déclarant qu'ils ont "gagné" les élections législatives et donc sont en droit de prendre la tête d'un gouvernement, bien que n'ayant pas obtenu la majorité absolue. Paradoxalement, c'est en phase solsticiale que l'exécutif l'emporte sur le législatif, ce qui fait que le populisme équinoxial débouche sur l'autoritarisme solsticial. Rien d'étonnant dès lors à ce que la dissolution ait eu lieu en phase solsticiale.... JHB 05 08 24

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