Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
mercredi 30 avril 2025
Jacques halbronn Linguistique. Le nouveau français, langue de l'élite mondiale de demain
jacques halbronn Linguistique!; le nouveau français, langue de l'élite mondiale de demain
Nous avons montré que l'Astrologie ne pourait occuper la place qui lui est dévolue selon le plan divin qu'à condotion qu'elle se réforme en profondeur et évacue toutes les scories accumulées à travers les âges. Or, il esn
est de même pour la langue française laquelle va devoir se réformer pour retrouver le statut structurel qui lui a été assigné selon le même "plan". Ce qui caractérise le génie du français, c'est bien la dialectique de l'écrit et de l'oral, ce qui manque largement dans les autres langues que nous connaissons dont certaine, d'aileurs, ont beaucoup emprunté au français mais sans en capter l'architecture essentielle.
Ce n'est pas le lexique qu est ici la clef du probléme mais bien le traitemet phonologique des mots d'où qu'ils viennent. Prenons le mot "sucre", Son etymologie renvoie à Sakha.
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. SUCRE nom masculin
Étymologie : xiie siècle. Emprunté de l’italien zucchero, de même sens, emprunté de l’arabe sukkar, lui-même tiré du sanscrit sarkara, « sucre ».
Or, le français propose "sucre", ce qui est plus sophistiqué - French touch- que les mots signalés plus haut Et d'ailleurs, la façon française de prononcer l'écrit " sucre" est en quelque sorte inimitable pour les personnes non initiés à le prononcer en tant qu"emetteur. et à le capter en tant qu'auditeur. Il en est de même pour la prononciation de "possible", de "noble", de "centre" où les autres langues inversenet les lettres, centre devant ainsi center, possibme se prononçant en anglais "possibel" ce qui est à rapprcher du français possibilité car le français foncttionne sur un double registre, comme cela été dit. On sait l'usage que le français de cete dualité pour maruqer notamment le genre : petite et petit, avec non prononciation de la consonne finale, le e, ici, du féminin ne se prononçant pas mais permettant à la consonne de se faire entendre, l'absence du e condamnant la consonne au mutisme, à l'absence. Mais, le fraçais actuel ne respecte pas systématiquement une telle régle, notamment du fait de l'influence des noms propres étranges.
Nous avons ainsi montré le statut "neutre" en français à l'écrit et le basculement à l'oral vers la masculin ou le féminin, ce qui est au choix du locuteur, selon le contexte.
Une autre illustration de la supériorité du français concerne le marquage du temps. En français, l'infinitif est la base "neutre" qui va devoir été conjuguées, déclinée. A loral, si l'on entend placer le discours au passé, l'on utilisera le verbe avoir en position préfiavle : j'ai manger (devenu mangé par alignement facheux de l'écrit sur l'oral ) et si l'on souhaite se situer au futur, on dira je manger -ai. et cette fois le verbe avoir se placera en position suffixale. Les langues germaniques, dont l'anglais fait partie à la base- forment le futur avec une préfixaion et non avec une suffixation : I shall eat, ich werde; Le verbe avoir ne leur sert que pour le passé: I have eaten, Ich habe gegessen. LEs autres langues latines respectebt plus ou moins un tel principe : hemos amado, amaremos mais l'infinitif n'apparait plus nettement pour la formation du passé
Yo amaré Je, j' aimerai
Tu amarás Tu aimeras
Él, ella, usted amará Il, elle aimera
Nosotros/as amaremos Nous aimerons
Vosotros/as amaréis Vous aimerez
Ellos, ellas, ustedes amarán Ils, elles aimeront
On parle de nouveau français pour décrire la réforme souhaitée non pas de la langue écrite mais de son oralisation qui aura été en partie corrompue par méconnaissance des lois qui sous tendent cette langue et qui ne sont trnamisses qu'empiriquement, ce qui est insuffisant au nivea de l'enseignement grammatical. Nous décrivons le français comme une langue matricielle en ce sens que tout mot entre en français doit se plier au même modéle, passga e de la matière à la forme. Autrement dit, le débat quant aux emprunts du français à d'autres langues ne fait guère sens sauf si l'emprunt conditionne une certaine prononciation. Il est évident que le suffixe "ing" de l'anglai devrait être "diphtongué" à l'oral du français, ce qu signifie que le "g" final ne doit pas s' yentendre. Le "ing" anglais doit se prononcer comme "soin", "besoin", le mot "sang" étant le plus parlant en ce qu'il a consevé le "g" final même s'il n'et pas prononcé sinon pour l'adjectif sanguin, sanguinaire, sans oublier l'inversion du g et du n avec le verbe "saigner", ce qui montre d'ailleurs que la forme "ng" n'est pas plus étrangère au français que la forpme "gn".(vir le tildé en espagnol) L'usage de la diphtongue en français est au coeur de on fonctionnemen: le français tend à constituer des séquences de voyelles excuant les consonnes et des séquances de consonnes excluant les voyelles. La diphtongue neutralise la consonne "ne" (bonne devient bon), l'apostrophe et l'accent, en français neutralisent les voyelles : je l'aime au lieu de je la/le aime/
JHB 31 04 25
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