jeudi 4 décembre 2025

jacques halbronn Anthropo-Linguistique et cyclologie. Le possessif en français au prisme du masculin (Din) et du féminin (Hessed) Astrologie Septénale.

jacques halbronn Anthropo-Linguistique et cyclologie. Le possessif en français au prisme du masculin (Din) et du féminin (Hessed) Astrologie Septénale. Genése I כו וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, נַעֲשֶׂה אָדָם בְּצַלְמֵנוּ כִּדְמוּתֵנוּ; וְיִרְדּוּ בִדְגַת הַיָּם וּבְעוֹף הַשָּׁמַיִם, וּבַבְּהֵמָה וּבְכָל-הָאָרֶץ, וּבְכָל-הָרֶמֶשׂ, הָרֹמֵשׂ עַל-הָאָרֶץ. 26 Dieu dit: "Faisons l'homme à notre image, à notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail; enfin sur toute la terre, et sur tous les êtres qui s'y meuvent." כז וַיִּבְרָא אֱלֹהִים אֶת-הָאָדָם בְּצַלְמוֹ, בְּצֶלֶם אֱלֹהִים בָּרָא אֹתוֹ: זָכָר וּנְקֵבָה, בָּרָא אֹתָם. 27 Elohim créa (Bara) Adam à son image; c'est à l'image d'Elohim qu'il le (oto) créa.(Bara) Masculin et féminin il le créa Ces versets du premier chapitre de la Genése ont été généralement mal compris et mal traduits, mal rendus.Au verset 27, l'on passe de Oto à Otam, du singulier au pluriel. L'expression "masculin et féminin" ne saurait signifier homme et femme, l'hébreu use ici d'une formulation grammaticale (Zakhar, Neqéva). Mais nous trouvons du sens à une telle présentation dans le cadre de notre cyclologie (Astrologie Septénale) au prisme de notre description de la langue française, un domaine sur lequel nous avons produit notamment deux mémoires : Linguistique de L'erreur et Epistemologie Populaire. Mémoire sur les emprunts linguistiques, sous la direction de Louis Jean Calvet .1987 et Essai de description critique du système du français à la lumière des relations interlinguistiques (Université Paris V Descartes) 1989. On s'intéressera ici à la différence de traitement que réalise le français quant au masculin et au féminin; le masculin du français, impliquant un degré de sophistication à celui du féminin. Nous en donnerons deux exemples: mon et ma, le et la. On note que" mon" implique à l'oral, de produire une diphtongue (nasale), tout comme "ton" et "son" à la différence de 'ta" et "sa". En allemand, l'on retrouve les traces d'une même dualité avec Mein et meine, dein et deine, sein et seine mais la diphtongue "ein" n'est plus réalisée en allemand moderne pas plus d'ailleurs que pour l'article indéfini ein eine alors qu'en français on a "un" diphtongué et "une" qui ne l'est plus en raison de l'ajout du "e". En anglais, le seul marqueur de genre, au possessif est "his" (en allemand sein) (M) et "her" (Ihre) (F) sans élément diphtonguable. Les langues germaniques, cependant, ont un plus par rapport au français en ce que le marqueur de genre concerne le sujet et non l'objet alors qu'en français, étrangement, c'est l'objet qui fixe le genre du possessif. Les autres langues latine (espagnol, italien) sont aussi mal loties que le français sous cet angle, s'alignant sur le "genre" de l'objet - toujours aléatoire et non sur celui du sujet (deux possibilités seulement) Mais, pour le cyclologue que nous sommes, le distingo linguistique entre le masculin et le féminin fait écho à notre description des phases ( sefiroth: Din. et Hessed) car la phase Din (phase 0°) correspond à un niveau de difficulté supérieur à la phase Hessed(45) tout comme le traitement du masculin est moins accessible à l'apprentissage et à l'usage que le traitement du féminin, comme on l'a signalé plus haut. Le passage de 0 à 45 sur une échelle de 90 signifie une baisse de tension, de niveau. Nous en concluons que la grammaire est liée à la cyclicité (d'où le passage cité du premier chapitre de la Genése) Comme dirait le Livre de l'Ecclésiaste, il y a un temps pour chaque chose, en alternance. Lors du passage d'une phase à l'autre, s'opére une dégradation, comme pour mon et ma ou le et la, la forme "le" comportant un shewa permettant à deux consonnes de s'unir, ce que ne permet pas le "la". De même, en ce qui concerne la diphtongaison laquelle renforce, amplifie, au contraire les voyelles. Sur le web. "Quand deux voyelles se « mélangent » dans une seule et même syllabe sans devenir une seule autre voyelle, elles forment une diphtongue." En hébreu moderne , le possessif est fonction du sujet et non comme en français de l'objet. (Shéli (pas de différence cependant à la première personne du singulier), shelkha, shelakh, shélo, shéla) mais la masculin ne s'y caractérise pas par un niveau supérieur de difficulté. Toutefois, l'on observe que le shewa est lié au féminin (shelakh) et non au masculin (shelkha), ce qui constitue une anomalie vue que l''adjectif est marqué par le shewa at masculin (Baroukh).Le pronom personnel de l'hébreu, à la seconde personne du singulier est at (avec shewa) au féminin et ata au masculin, ce qui n'est guère cohérent!. En Astrologie Septénale, le passage de la phase Hessed à la phase Din sonne la fin de la facilité qui protége la médiocrité.(médiocratie versus aristocratie, gouvernement des meilleurs) Les équations à résoudre sont hors de portée de l'homme ordinaire. JHB 04 12 25

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