lundi 6 mars 2023

jacques Halbronn Astrologie. Les aspects entre la Terre et les planétes du systéme solaire correspondent aux axes du cycle saisonnier

jacques halbronn Astrologie. Les aspects entre la Terre et les planétes du systéme solaire correspondent aux axes du cycle saisonnier. Dès 1976, dans Clefs pour l’Astrologie, nous avions opté- il y 45 ans et plus- pour le balisage des cycles planétaires sur la base de leur passage sur les axes du cycle saisonnier mais nous n’avons pas été entendus, suivis. En fait, ces axes représentent la planéte Terre par rapport au reste du systéme solaire, ce sont ses antennes. En ce sens, les aspects des planétes à la Terre sont nécessairement liés à ces interfaces que sont les dits axes. Et pour nous, l’astrologie doit s’articuler sur cette base et non pas sur les aspects entre planétes. Certes, de tels aspects entre planétes sont ils calculés à partir des éphémérides mais il serait illusoire de croire que cela fait sens astronomiquement car il s’agit d’une fiction graphique, d’une sorte de perspective sans la moindre valeur scientifique, pas plus d’ailleurs que le thème natal ou astral, quand bien même serait il dressé sur la base des éphémérides les plus rigoureuses car il ne s’agit là que d’une instrumentalisation des données célestes. Seuls les axes du cycle saisonnier font sens pour l’astronomie quand celle-ci décrit les Saisons. Wikipedia « Une saison est une période de l’année qui observe une relative constance du climat et de la température. D’un point de vue astronomique, une saison correspond à l’intervalle de temps durant lequel la Terre occupe une portion de l’espace de sa révolution (rotation) autour du Soleil. C’est l’inclinaison de l’axe des pôles en moyenne de 23° 26′, combinée à la révolution de la Terre autour du Soleil, qui fait qu’il se produit une alternance des saisons ; qui proviennent de la variation d’ensoleillement induite par l’orientation changeante vis-à-vis du rayonnement solaire. Elles correspondent aux périodes qui séparent le passage de la Terre à certains points de son orbite ou, réciproquement, du Soleil à certains points de la sphère céleste, et que la mécanique céleste désigne par les équinoxes et les solstices. Pour ces raisons, à tout moment, les saisons astronomiques de l’hémisphère nord et de l’hémisphère sud sont diamétralement opposées. » Grâce au découpage de l’écliptique à partir des axes saisonniers, (zodiaque tropique), l’on peut diviser la course d’un astre en secteurs égaux; ce qui n’est nullement le cas quand on combine plusieurs cycles planétaires entre eux comme dans le cas de l’indice cyclique selon André Barbault. La course apparente du Soleil peut ainsi être balisée, ce qui donne les 12 signes égaux; soit une trisection de chaque « saison ». Pour notre part, nous avons montré que les axes saisonniers au regard de l’astrologie ne devaient pas se déterminer sur la base de la croix des signes cardinaux mais sur celle des signes mutables (Gémeaux/Sagittaire et Vierge/ Poissons, domiciles en carré de Mercure et de Jupiter avec pour chaque axe, un signe mercurien et un signe jupitérien). Nous avons également montré que l’astrologie n’avait pas besoin de plus d’une planéte pour fonctionner, vu que la diversité devait se situer non pas du côté des planétes mais du côté de la Terre dotée de ses axes. Là encore, l’on fait fausse route en croyant que l’on doit impérativement utiliser l’ensemble des planétes pour constituer une astrologie valable et viable! JHB 06 03 23

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