Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
jeudi 13 juillet 2023
Jacques halbronn Epistémologie Critique du syncrétisme propre à toute vision linéaire de l'Histoire
jacques Halbronn Epistémologie. Critique du syncrétisme propre à toute vision linéaire de l’Histoire.
Nous prendrons ici, au prisme de la cyclologie, le contre-pied de la « longue durée » défendue par la « Nouvelle Histoire » au siècle dernier. Selon nous, l’impresson de conrinuité sur le long terme est une illusuon d’optique. L’astrologie a vocation à mettre en évidence les récurrences, les répétitions des mêmes situations à travers les âges, même si certaines comparaisons peuvent choquer. Cette illusuion de la « longue durée » est la conséquence même de ce phénoméne de récurrence dès lors que l’on ne respecterait pas une approche contrastive en occultant les processus dialectiques de retour.
C’est justement un tel travers qu’il importe de dénoncer car pour notre Astrologie, toute phase est vouée structurellement à rencontre à terme sa contrepartie, son contrepoint et cela ne souffre pas d’exception. Toute médaille a son revers.C’est ainsi que si la phase solsticiale a tendance à affirmer la spécificité, l’unicité de telle histoire nationale, la phase équinoxiale mettra, au contraire, en évidence, les similitudes structurelles en relativisant ipso facto les apparentes différences, que l’on jugera superficielles, anecdotiques, ce qui, au demeurant, évite de diaboliser un pays par rapport à un autre. En fait, nous sommes tous embarqués sur un seul et même bateau tant dans le temps que dans l’espace.
En ce sens, l’historien s’accorde le droit de projeter, de plaquer ce qu’il observe pour une époque sur une autre, aussi éloignée soit elle à condition, bien entendu, d’avoir élaboré les bons outils, des concepts opérationnels. Et c’est là tout l’enjeu de la recherche astrologique que de proposer et promouvoir un modéle qui tienne la route. Il serait trop facile pour les adversaires de l’astrologie de s’en prendre à l’astrologie au prétexte qu’elle ne « marcherait » pas, du fait de l’application d’un modéle défectueux. D’où l’urgence qu’il y a à mettre à l’épreuve le modéle utilisé sur des périodes suffisamment longues en mettant notamment en évidence les aspects contrastifs, sur la base d’ une alternance septénnale. C »est pourquoi, la durée d’un siècle, quel qu’il soit, peut apparaitre comme un espace approprié. Le pobléme actuellement tient à la nécessité que des historiens se servent du dit outil pour leurs travaux de recherche. En ce sens, l’on devrait trouver des astrologues devenus historiens et des historiens devenus astrologues.
JHB 13 07 24
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