jeudi 2 septembre 2021

Patrice Guinard sa thèse marquée par sa fréquentation de la Biblliotheca Astrologica

ASTROLOGIE : LE MANIFESTE 1/2. Un nouveau Modèle pour ... http://cura.free.fr › ... LA SCIENCE FACE À L'ASTROLOGIE - Le Ternaire de la Connaissance - Un Modèle ... Jacques de Billy et Jean François, par le gassendiste François Bernier, ... Patrice Guinard - Wikipédia https://fr.wikipedia.org › wiki › Patrice_Guinard Artiole Wikipedia éPatrice (Hervé) Guinard, né en 1957, est un philosophe, seiziémiste. Il a soutenu une thèse de doctorat à moins qu'il ne se veuille dix septièmiste à l'occasion si l'on en croit sa thèse, reprise dans son "Manifeste" (site CURA..free.fr)" "Qu'en résulte-t-il de la nature de l'astrologie ? Elle n'est pas une science, car elle n'est pas soumise au principe de vérification ; ses modèles ne sont pas "falsifiables" [42b], quoiqu'ils le sont davantage que les énoncés de la littérature popperienne. Elle n'est pas une religion, car elle ne soutient aucun dogme révélé, ni aucune croyance particulière, et ne requiert ni clergé, ni temple, ni rituel. Elle n'est pas une philosophie, car elle relativise la valeur d'une rationalité dont l'ultime critère de certitude est l'évidence. Mais elle est à la fois un certain type de science, de religion et de philosophie, c'est-à-dire une conception du réel qui requiert des techniques de repérage empruntées à l'astronomie, et qui suppose la conviction de la résonance et du retentissement des rythmes de l'environnement géo-solaire sur le psychisme. C'est une forme spécifique de rationalité admettant comme condition préalable la différenciation structurelle d'une matrice archétypale. Elle ne ressortit ni à la raison expérimentale, ni à la foi, ni à la raison discursive, mais à la raison matricielle. [Il semblerait qu'elle apparaisse comme une religion, qu'elle se manifeste en tant que métaphysique, qu'elle soit une science critique dans son essence, une "quasi-science". C'est en raison de sa triple nature [43b] et parce qu'elle a été perçue, au niveau de la connaissance, comme une rivale de la philosophie, du christianisme et de la science, qu'elle a été successivement combattue par le scepticisme grec, par les Pères de l'Église, et par le rationalisme moderne. En effet le statut épistémologique de l'astrologie a varié selon l'optique de ses opposants. Pour les sceptiques Carnéade et Sextus Empiricus, elle est combattue au sein d'une critique générale de la connaissance et de la science, alors que les apologistes chrétiens Tatien et Tertullien l'abominent conjointement à la philosophie et au paganisme polythéiste grecs. A la naissance du rationalisme anti-astrologique moderne, représenté en France par le philosophe mécaniste Pierre Gassendi, par les jésuites Jacques de Billy et Jean François, par le gassendiste François Bernier, par l'historien Jean-Baptiste Thiers, par le sceptique Pierre Bayle, ou encore par l'abbé Laurent Bordelon, elle est rattachée au domaine de l'irrationnel et du superstitieux. ] C'est à l'avènement du monisme mécaniste que s'élabore la notion de raison moderne, conglomérat idéologique auquel participent la science naissante, la philosophie matérialiste et la religion chrétienne, et qui s'est perpétué jusque dans l'exégèse historique contemporaine. [La condamnation sans procès de l'astrologie se reproduit naturellement, et conjointement au déclin de la métaphysique et de la spiritualité, sous les "Lumières" rationalistes, par l'obscurantisme positiviste, puis dans la grisaille de la pensée unique du XXè siècle. En l'espace de quatre siècles, la perception de l'astrologie change de statut à mesure des transformations du consensus et des impératifs idéologiques : non plus erreur, mais illusion au XVIIIè siècle, idiotie au XIXè, absurdité au XXè.] " Or, toutes ces références à l'anti-astrologie du XVIIe siècle ne sont autres que le résultat de sa fréqentation assidue de la Biblitheca Astrologica et de son directeur.(ce qui est attesté par le registre des emprunts à la dite Bibliotheca Astrologica

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