mardi 26 avril 2022

Jacques Halbronn Pour une redéfinition du "zodiaque" au regard de l'astrologie.

Jacques Halbronn Pour une redéfinition du « zodiaque » au regard de l’astrologie. Wikipedia: »Le zodiaque (prononcé [zo.djak] en français) est une zone circulaire (de 360 degrés de long et 17 degrés de large) de la sphère céleste, dont l’écliptique occupe le milieu (l’écliptique prolonge dans l’espace l’orbite de la Terre autour du Soleil)1. Le zodiaque est aussi la zone dans laquelle, à nos yeux de Terriens, les planètes du système solaire effectuent leur course apparente autour de notre planète. Il y a une différence d’acception du terme zodiaque : zodiaque astronomique (zodiaque de treize constellations que le Soleil semble traverser en une année) et zodiaque astrologique (zodiaque des douze signes astrologiques de trente degrés chacun que le Soleil semble aussi traverser en une année). » Selon nous, il ne convient pas de situer le Zodiaque du côté du « firmament », en tant que lieu de passage des planétes mais de le replacer dans le cadre du cycle saisonnier. Cela permet de respecter, de mettre en évidence, une certaine dualité entre ce qui reléve du Ciel et ce qui reléve de la Terre. Or, le Zodiaque appartient à la sphère de cette dernière et la définition mentionnée plus haut prête certainement à confusion. Or elle est largement véhiculée par les astrologues. Il conviendra donc de rappeler que le dispositif zodiacal, sur le plan symbolique, s’articule autour des axes équinoxiaux et solsticiaux, ce que tend à occulter la division en 12 secteurs ou encore le découpage en quadruplicités (signes cardinaux fixes, mutables), où chaque saison se voit divisée en trois. A l’origine du symbolisme zodiacal, nous avons (cf les Très Riches Heures du Duc de Berry), pour chaque saison, trois « scénes » censées illustrer la vie rurale et les coutumes sociales y correspondant. C’est ainsi que le mois de mai est celui des amours dans l’iconographie des moeurs. Il y a certes, une dimension météorologique dans ce découpage mais il ne faudrait pas en exclure les représentations éthnologiques. Selon nous, le Zodiaque est centré sur les dits axes équinoxiaux et solsticiaux, les autres découpages étant tout à fait secondaires. Or, cette dimension équinoxiale et solsticiale nous apparait comme réduite à peu de choses dans la doxa astrologique à telle enseigne que ces expressions d’équinoxiale et de solsticiale, n’y sont guère employées et commentées sauf dans le cas du « point vernal » pour les « ères précessionnelles » (cf toutefois l’article en langue anglaise de Maria DeSimon, « Equinoxes , Solstices and Astrology »). Or, pour nous, cette terminologie est matricielle en astrologie en ce qu’elle s’appuie sur des phénoménes bien définis à la difference du découpage en 12 (souvent associé aux 12 rencontres soli-lunaires et aux mois de l’année. JHB 26 04 22

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