Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
mercredi 20 décembre 2023
jacques halbronn Astrologie. LEs idées d'Etat, de Nation, de Langue ainsi que de Religion relévent de l'esprit solsticial et de sa jurocité
jacques halbronn Astrologie. Les idées d’Etat, de Nation, de langue ainsi que de Religion relévent de l’esprit solsticial et de sa juridicité.
Pour valider l’astrologie, il est impératif de baliser correctement les enjeux d’appartenance et leurs liens avec les questions d’ordre juridique. En effet, la prévision astrologique doit s’articuler sur de tels enjeux, sinon elle risque fort de s’égarer, de se perdre et finalement d’échouer. Il ne suffit pas de diagnostiquer pertinemment l’aspect astronomique et le traitement du systéme solaire mais bien de saisir les dialectiques qui traversent l’HIstoire et qui ne sauraient se réduire à des problématiques de guerre et de paix, ce qui implique de proposer des formes d’alternance dans la gouvernance des sociétés (gauche/droite, notamment).
Pour notre part, nous dirons que la question des lois est au coeur de toute réflexion astrologique digne de ce nom. Il existe plusieurs acceptions du mot « loi » et celless-ci s’opposent et alternent. L’astrologie permet de déterminer quel registre juridique convient pour une période donnée. Il y a les lois des hommes et les lois célestes sur lesquelles les sociétés n’ont pas prise.
Les phases solsticales vont s’évertuer à nier les lois céleste en usant du Droit, créant ainsi d’autres types de clivages tels ceux de frontières étatiques, de confessions religieuses, exigeant des engagements, des conversions, des naturalisations déterminant des formes d’appartenance qui vont se substituer aux distinctions de sexe et de race. A contrario les phases équinoxiales mettront en avant les compétences des personnes avant ou par -dessus leur statut juridique.
Si l’on prend le cas de « priorité » ou de « préférence » nationales, il est clair qu’il s’agit d’une idéologie solsticiale qui divisera la société entre ceux qui sont en régle et ceux qui » ne le sont pas, du point de vue administratif. Le passage d’une phase à l’autre est source de chevauchements car en début de phase, l’impact de la phase précédente reste sensible et constituera éventuellement une forme de résistance envers la nouvelle phase. En sortant d’une phase équinoxiale, l’on tend à vouloir évacuer à refouler, au nom de l’égalité ou de l’universalité, les questions de sexe et de race alors même que celles-ci impactent notre perception visuelle du monde, dès la prime enfance, ce qui fait qu’un enfant sera vite capable de distinguer l’homme et la femme,le père et la mère par delà la question des « papiers ». Et en phase équinoxiale,il y aura retour de « refoulé » et ainsi de suite. Cela débouche sur le choix des « solutions » aux problémes posés, solution solsticiale de type administratif, relativisant les appartenances « objectives » – jusqu’à nier l’évidence anthropologique - versus solution équinoxiale qui va relativiser les critères de nation, d’Etat, de langue, souvent causes de conflits, de guerres. D’un côté, poids des conversions à effet plus ou moins immédiat (court terme) de l’autre, poids des données ethniques, anatomiques (long terme) sur lesquels on n’aura prise que superficiellement.
Au niveau politique, à l’approche d’une nouvelle phase solsticiale, il ne faudra pas hésiter à proposer des aménagements juridiques quitte à minimiser le poids de certaines « réalités » alors qu’à l’approche d’une nouvelle phase équinoxiale, il sera souhaitable d’abaisser les frontières au sein d’ensemble racialement homogénes, par delà les clivages nationaux, religieux pour s’en tenir aux fondamentaux les plus flagrants, les plus perceptibles, quitte à remettre en question des constructions juridiques artificielles.
Documents WIKIPEDiA
Wikipedia
La préférence nationale est une expression créée par Jean-Yves Le Gallou et diffusée en France par des groupes et des partis d’extrême-droite. Cette proposition tente de légitimer une discrimination favorable aux nationaux au dépend des ressortissants d’autres États pour l’accès à l’emploi, au logement et à la protection sociale. Selon Chloé Morin, ce concept est partagé à l’étranger. Il est comparable à celui anglophone de chauvinisme social«
Le cas algérien
Jusque vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, la population algérienne est divisée en deux catégories distinctes, soumises à des statuts juridiques inégaux nés du sénatus-consulte du 14 juillet 1865 : d’une part, un million d’Européens, citoyens français de statut civil de droit commun (surnommés plus tard les « pieds-noirs ») qui étaient installés en Algérie souvent depuis plusieurs générations et auxquels étaient associés les juifs autochtones (excepté pour la période du statut des Juifs de 1940 à 1943 avec l’abrogation du décret Crémieux), et d’autre part, près de neuf millions d’Algériens, sujets français de statut personnel de droit local (appelés « Musulmans » ou « indigènes »)il ne disposaient pas de la nationalité française et leurs droits étaient limités.
Si les citoyens français jouissaient exactement des mêmes droits et devoirs que leurs compatriotes métropolitains, les sujets Algériens qui étaient soumis aux mêmes devoirs (ils étaient notamment mobilisables par le contingent), étaient privés d’une partie de leurs droits civiques (ils votaient au Second collège électoral où il fallait neuf de leurs voix pour égaler la voix d’un seul votant du Premier collège).
En 1946, la Loi Lamine Guèye, parfois comparée à l’édit de Caracalla, promulguée le 7 mai 1946, reconnaît enfin la citoyenneté française à « tous les ressortissants des territoires d’outre-mer (Algérie comprise) ». Grâce à elle, la citoyenneté se libère définitivement de sa dépendance au Code civil pour se rattacher à la nationalité, avec laquelle elle se confond depuis lors. Le droit de vote s’élargit à tous les Algériens de plus de 21 ans«
La nouvelle citoyenneté est définitivement consacrée par la Constitution du 27 octobre 1946 qui reprend en son article 80 le contenu de l’unique article de la loi du 7 mai 1946, confirme en son article 82 la rupture définitive du lien, mis en place par le sénatus-consulte de 1865, entre la jouissance des droits de citoyen et le statut personnel, et réaffirme l’égalité entre les différents statuts civils
L’arrivée au pouvoir de Charles de Gaulle en 1958 et la promulgation des ordonnances du 15 novembre 1958 uniformise le statut des populations d’Algérie. Ces ordonnances rompent définitivement le lien entre la citoyenneté et le Code civil, suppriment les deux collèges électoraux et fusionnement finalement les populations en une seule catégorie de « Français à part entière » ; elles octroient enfin à la population algérienne une représentation politique plus équitable, proportionnelle à son importance dans chaque département algérien : 46 députés sur 67 et 22 sénateurs sur 31
JHB 20 12 23
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire