jeudi 6 mars 2025

jacques halbronn Sociologie politique. La problématique généralisatrice du rassemblement des semblables en un même Etat. Antijudaisme et antisionisme. LEs phases de Saturne

jacques halbronn Sociologie politique. La problématique généralisatrice du rassemblement des semblables en un même Etat. Antijudaisme et antisionisme. Les phases de Saturne. On constate une certaine grégarité entre personnes qui se ressemblent physiquement. Qui se ressemble s'assemble. Mais ce point est souvent nié par les intéressés. La vidéo semble être le meilleur moyen de prouver qu'il en est bien ainsi, entre femmes, entre noirs, notamment à telle enseigne que la personne qui n'a pas le même profil physique se sentira étrangère et ici cela ne renvoie pas à une question de nationalité mais concerne la dynamique à l'oeuvre au sein d'une société donnée laquelle tend à se composer ou se décomposer en sous-groupes, sous -sociétés. De tels groupes comportent, offrent une dimension visuelle flagrante, évidente. D'un côté, le groupe va spontanément accueillir, recruter des éléments visuellement compatibles et évite ceux qui ne le seraient point, ce qui a ses avantages pour les uns et pas pour les autres. Mais de l'autre, l'existence de telles "communautés" (au sens littéral de ce qui est "commun', partagé) va interpeller l'inconscient collectif et susciter une forme de xénophobie quand un groupe donné est associé à une activité professionnelle assez "mal vue", comme préteur sur gages (Juifs au Moyen Age), vigile (noirs aujourd'hui en France systématiquement en charge du contrôle , de la surveillance.), activités, au demeurant impopulaires, antipathiques, mais d'autant plus accessibles aux marginaux, aux "parias". Mais que faut-il penser des Etats qui sont une forme extréme de rassemblement? Est ce que la création de l'Etat d'Israel voire ses prémisses dans le premier tiers du XXe siècle aura pu générer des formes nouvelles d'antijudaisme, d'antisémitisme par le biais de l'antisionisme? Comment, en vérité, ne pas reconnaitre que la politique israélie nne retentit, pour le pire comme pour le meilleur, sur la condition des Juifs en "diaspora"? Bref, que vaut l'idée d'un Judenstaat, d'un Etat Juif, prônée notamment par Theodor Herzl (cf ke notre ouvrage, Le sionisme et ses avatars au tournant du XX e siècle, 2002)? D'aucuns auront applaudi, chez les antisémites, à un tel projet, tel un Edouard Drumont, d'autres y auront vu la naissance d'une ambiguité fâcheuse. On notera que les avancées en faveur d'un Foyer Juif auront eu lieu au cours ou au lendemains de guerres inter-étatiques. La notion même de concentration est désormais associée à la Shoah/ Les Juifs envoyés à l'abattoir. et qui sait à a la merci de quelque destruction de masse, et ce dès la création de l'Etat d'Israel, du fait de la réaction du monde arabe / C'est pourquoi nous préférons appréhender la question dans le Temps discontinu, cyclique historique plutôt que dans l'Espace continu, géographique Notre théologie, notre idée d'un "plan divin" ne passe pas par un peuple mais par des individualités, des "justes", dispersés au sein de l'Humanité (cf la Genése sur le nombre minimal de "Justes" qui aurait pu sauver Gomorrhe) Touitefois, il est souhaitable que certains clivages soient respectés et assumés car ils s'inscrivent dans le Plan de la Création et ne sont pas là par haaard même si à certains moments (-cf le temps mutable eb Astrologie Septennale) on peut être tenté de les dépasser, par opposition au temps cardinal qui s'"efforce de les restituer voire de les reconstituer. JHB 08 03 25

Aucun commentaire: