dimanche 24 avril 2022

Jacques Halbronn Astrologie LEs fondements équinoxiaux et solsticiaux de l'aspect de carré

jacques halbronn Astrologie Les fondements équinoxiaux et solsticiaux de l'aspect de carré L'aspect de carré est traditionnellement considéré dans la littérature astrologique comme "dissonnant" mais l'on ne nous explique pas vraiment pour quelle "raison" en dépit des efforts d'un Jean Pierre Nicola. Il convient d'en rechercher la cause au regard du cycle saisonnier et des périodes que ce cycle structure. Rappelons aux astrologues qui ont pu l'oublier que l'axe équinoxial est en quadrature (90°) avec l'axe solsticial. Or, selon nous, il est essentiel de distinguer voire d'opposer les phases déterminées par le passage de Saturne sur l'un des deux axes de son passage sur l'autre. En effet, le passage d'une phase de 7 ans à une autre, constitue un contraste remarquable qui est en fait le phénoméne le plus probant de la validité de l'astrologie alors que dans la "Nature", le changement de saison est progressif, tout comme ce qui conduit le jour à la nuit et vice versa (aube, crépuscule). En Astrologie EXOLS, il en est tout autrement et on serait plus proche de ce qui se passe avec un interrupteur pour produire de la lumière ou au contraire de l'éteindre.(en anglais, on dit "tourner" (turn). Autrement dit, la dissonance attribuée au carré tiendrait au passage assez net entre deux phases successives et donc ne ferait sens que dans une démarche cyclique. Pour nous, les intervalles sont des multiples de 7. Soit le multiplicateur est pair, et l'on tombe sur deux phases semblables (70 ans = 10x7), soit il est impair et l'on est présence de deux phases contraires.(35 ans = 5x7). Si l'on prend le cycle Saturne Neptune, au coeur des travaux d'André Barbault, lequel cycle a coincidé pendant un certain temps, avec le passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, ce qui a pu faire croire un moment que ce cycle était validé par l'Histoire, l'on reléve qu'une conjonction sur deux de Saturne avec Neptune tombe sur le début d'une phase équinoxiale ( 1953) et une fois sur deux sur le début d'une phase solsticiale (1989) et qu'il serait donc erroné de croire, avec Yves Lenoble, que la conjonction prochaine Saturne Neptune (2026) aurait des effets comparables avec celle de 1989, puisque cela ne correspond pas au même type de phase. La conjonction Saturne Neptune s'étend sur 72 ans, 36 ans avec une phase équinoxiale et 36 ans avec une phase solsticiale, ce qui ne permet pas de baliser valablement le XXe siècle. PS Rappel nos travaux en astrologie tant écrits que filmés sont rassemblés sur blogger: Faculte Libre d'Astrologie de Paris JHB 24 04 22

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