par Jacques HalBronn
Notre approche des origines de l'astrologie ne saurait se réduire à ce qui en est dit dans tel ou tel livre d'Histoire de l'astronomie ou de l'astrologie pour l'excellente raison que nous pensons que nos textes contribuent activement à ce champ de recherche et tendent à le renouveler.
C'est ainsi que dans nos efforts pour dégager ce qu'aurait pu être une astrologie originelle ou si l'on préfère une astrologie matricielle ayant laissé une puissante empreinte dans l'Inconscient Collectif, pour employer ici un terme bien vague mais qui suffira ici, nous n'avons pas voulu raisonner en termes de "vrai" ou de "faux", de ce qui marche ou non mais selon un autre principe qui est celui de l'essentiel et du secondaire.
Nous posons ici un principe simple, sur le plan méthodologique et épistémologique, à savoir que tout modèle tend à se complexifier, à se subdiviser et qu'il importe de faire la part de ce qui vient ainsi se greffer sur lui. En ce sens, d'ailleurs, nous nous distinguons assez nettement de la démarche d'un Serge Bret-Morel (voir son site 'l'astrologie et la raison") lequel ne semble pas avoir adopté une telle démarche et avoir plutôt opté pour une approche phénoménologique alors que nous serions plutôt dans la quête du noumène.
Expliquons- nous : dans le domaine juridique, une loi est votée puis appliquée et son application donne lieu à des développements qui viennent prolonger, compléter la dite loi mais qui n'en sont pas moins contingents et qui d'ailleurs peuvent varier d'un endroit à l'autre, selon la fantaisie des exécutants. Nous avons pu ainsi observer à la BNF (site Tolbiac) dont l'espace est divisé en un certain nombre de salles que des règlements différents opéraient d'une salle à l'autre, ce qui peut laisser un peu rêveur mais qui correspond à une évolution normale si elle n'est pas contrée en temps utile.
En ce qui concerne l'astrologie mais aussi l'astronomie, il est clair que sont venus s'ajouter des éléments dont l'intérêt est, d'un point de vue scientifique, secondaire voire pouvant être qualifiés de parasitaires...
Tout adversaire de l'astrologie pourra admettre que tout ce qui s'est accumulé sous le nom de l'astrologie ne revêt pas la même valeur, n'est pas aussi signifiant et il serait bon aussi que tout astrologue le reconnaisse également, en se gardant de figer les choses au nom d'une pratique devant et pouvant avoir le dernier mot.
Il en est ainsi pour tout ce qui concerne le zodiaque qui nous apparait comme pouvant être considérablement dénudé et réduit à la ligne écliptique et à l'espace traversé par les planètes (jusqu'à Saturne, soit 8°30' de par et d'autre). Quant au nombre de signes, de constellations, à leur nom, aux significations accordes par les astrologues, cela ne fait pas, selon nous partie du débat sur l'Astrologie. Ce sont des expédients commodes d'ailleurs souvent proposés par les astronomes eux-mêmes et qui n'en étaient probablement pas moins nécessaires tout en pouvant être remplacés par des solutions analogues qui auraient tout autant pu donner satisfaction. A un certain stade, la solution devient le problème dès lors qu'elle s'incruste et se prétend "finale". D'où d'ailleurs, précisément, la diversité des référentiels zodiacaux qui en montre le caractère tout relatif. Donc, tout le débat serait de savoir s'il y a encore astrologie sans les dites subdivisions, si le passage d'une planète d'un signe à l'autre, d’une constellation à l'autre - peu importe!- est ou non crucial ou simplement indicatif d'une certaine progression sur un parcours.
Que l'on nous comprenne bien: nous n'interdisons pas aux astrologues de se servir de ces données mais que cela soit à leur juste place. Et nous en dirons autant en ce qui concerne les 12 maisons. Cela a pu être utile, mais on peut faire autrement, doubler le nombre de maisons et donc répartir les activités humaines en 24 et non plus en 12 secteurs. Et cela importe peu car l'essentiel n'est point là comme l'a montré Gauquelin mais comme l'a montré aussi, pour le zodiaque, du moins avec son indice de concentration planétaire (dit aussi indice cyclique) André Barbault et cela vaut aussi pour le cycle Saturne-Neptune, par exemple, dont il est tout à fait secondaire de savoir dans quel signe la conjonction a eu lieu. C'est ce que l'on peut appeler un repli stratégique! Paradoxalement, pour nous, la position zodiacale de Saturne est pour nous déterminante, non pas du fait que tel signe aurait une influence sur sa signification mais parce qu'elle indique le rapport de Saturne par rapport aux quatre étoiles fixes royales, les dites étoiles étant totalement ignorées par l’école française d'astrologie mondiale de la seconde moitié du XXe siècle..
On pourrait d'ailleurs en dire autant des planètes, et notamment de Pluton. L'astrologie a- t-elle besoin de considérer tout ce qui traine dans le système solaire pour se fonder? Tel n'est pas notre avis. D'ailleurs, tous ces dieux ne sont-ils pas les émanations d'un principe unique que l'on aura décliné, ne constituent-ils pas eux aussi des subdivisions marquant une certaine progression?
Or, tout se passe comme si Serge Bret-Morel avait pris de toutes autres options en cherchant à valider ces diverses subdivisions -quant au nombre de secteurs, de planètes, et quant aux significations leur étant attribuées- comme faisant partie intégrante de l'Astrologie.
On se demandera pourquoi une telle tentative de la part de ce respectable penseur de l'astrologie? Il est clair que toutes ces données que nous avons jugé contingentes et amovibles constituent bel et bien l'outil privilégié de la plupart de ceux qui se targuent d'être astrologues. Dont acte. Nous ne disons pas que ces données sont fausses, mais qu'elles ne sont pas indispensables à l'Astrologie, qu'elles sont arbitraires. qu'elles en sont des prolongements, comme une sorte de méta-astrologie.
Si l'on prend le cas de la linguistique - nous sommes diplômé des Langues O' (1973), titulaire d'une maîtrise d'hébreu (Université Paris III, 1976), d'un DEA de linguistique anglaise, Université Lille III, 1981- il importe de distinguer entre les racines et leurs dérivés, sachant que des dizaines de dérivés émanent d'une même racine, à commencer par les déclinaisons, les conjugaisons, mais aussi les préfixations etc. etc. Du point de vue de l'histoire des langues, l'on s'accorde à séparer ce qui est grammatical - ce qui est le cas somme toute des dérivés - et ce qui est lexical - les racines. Cela dit, bien des locuteurs ne font pas un tel distinguo et appréhendent une langue comme formant un tout un et indivisible. Or, il est bien possible que c'est un tel paradigme linguistique qui agisse sur l'approche de SBM. Là encore, avec quelque prétention, nous ne nous référons pas à tel ou tel traité de linguistique mais à nos propres travaux, ce qu'on voudra bien nous pardonner! Car on ne fait pas de la bonne recherche avec des travaux de seconde main.
Mais revenons à nos moutons astrologiques! Actuellement, on nous parle beaucoup des effets de l'entrée de Pluton dans le signe du capricorne. Or, nous avons dit que Pluton n'était pas forcément un facteur essentiel de l'Astrologie et que l'entrée d'un certain astre dans un certain signe ne l'était pas non plus. Ce qui n'empêche pas évidemment les astrologues de s'entendre, puisque l'on est dans le domaine du langage. Les réunions d'astrologues (animées par Didier Geslain, par Catherine Gestas (Association Source, à Paris, les GRAOLS etc ) servent souvent à un tel exercice consistant à parler l'astrologique autour d'un certain nombre de cartes du ciel de personnalités, d'événements, plus d'ailleurs que dans un souci de relation à autrui. Il convient assurément de les distinguer des colloques qui sont des lieux de réflexion sur l'Astrologie.
Mais là où nous différons radicalement de SBM, c'est que pour lui, le problème n'est pas tant l'outil qui est ce qu'il est que la façon dont on s'en sert, d'où les préoccupations déontologiques. Il ne cherche pas nécessairement à légitimer la pratique en vigueur mais il maintient que le savoir astrologique n'en a pas moins sa valeur par delà ce que les uns ou les autres en font. En fait, nous nous rejoignons sur un point, à savoir qu'il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain : mais pour SBM l'eau du bain à changer c'est une pratique à réformer, qui attend trop de l'outil dont elle use alors que pour nous, l'eau du bain, ce sont toutes sortes de subdivisions que SBM aurait tendance à sanctuariser et c'est l'outil qu'il faut revoir en amont et non son utilisation en aval. Car tant que l'on ne réforme pas l'outil, la pratique ne pourra évoluer sérieusement. Nous avons toujours pensé, en effet, qu'il était vain de donner des directives - comme le fait par exemple l'astrologie conditionaliste qui implique une déontologie du fait même du statut de l'astrologie comme conditionnement parmi d'autres- si l'on maintenait des découpages en l'état, qui conduisent de par leur complexité même à ce que l'astrologue soit tenté d'appréhender toute la complexité du monde, voire à l'induire par son propre discours. (voir A. Barbault, De la psychanalyse à l'astrologie, Paris, Seuil, 1961)
Un des postulats que SBM semble maintenir absolument, est celui d'une astrologie qui vaudrait pour tous les humains, ce qui a des conséquences épistémologiques considérables. Nous sommes, pour notre part, tout à fait disposés à renoncer à un tel postulat, considérant que l'astrologie concerne exclusivement les agents de pouvoir, aussi bien au niveau des travaux de Gauquelin que ceux que nous menons en astrologie mondiale. Bien entendu, le pouvoir de quelques uns, d'une oligarchie affectera le sort de tous mais il s'agit là d'une conséquence, d'un épiphénomène en quelque sorte tout comme les dérivations dont nous traitions plus haut. Toute la question est de savoir si une telle position est recevable par les milieux scientifiques plus facilement que l'idée d'une influence universelle directe de l'astrologie sur l'ensemble de l'Humanité.
SBM réfute toute idée de synchronicité comme mode d'explication se suffisant à lui-même et nous le suivrons sur ce point. Or, dès lors que l'on se place dans une perspective causaliste, cela implique une cyclicité spatio-temporelle: à partir d'un point de départ, des effets à plus ou moins long terme, passage du centre vers la périphérie. Pour nous, le ciel structure dominante traite d'une humanité dominante (dominus, en latin, le maître, le seigneur, qui a d'ailleurs donné le Dimanche, en italien Domenica) Tout se passe comme si SBM, en maintenant notamment l'idée d'un thème natal pour chacun, ce qui est la base de la pratique astrologique actuelle, qu'il ne condamne pas sur ce point - se trouvait en contradiction avec le causalisme qu'il prône. Encore une fois, il est vain de changer de philosophie, si l'on maintient des structures inadéquates.
On connait l'adage selon lequel "le diable est dans les détails". Si par détail, on entend toute forme de dérivation, de subdivision, il est un fait que l'astrologie se perd, dans tous les sens du terme, dans les détails. Non pas qu'il ne faille passer par le stade des détails mais sans jamais oublier que ce ne sont que des détails dont le choix n'a pas été effectué dans les mêmes conditions que l'essentiel. On n'achète pas une paire de chaussures comme on achète une voiture. Il y a des gens qui semblent cependant incapables de distinguer dans leur modus vivandi ou leur modus operandi ce qui est essentiel et ce qui ne l'est pas et qui mettent tout sur le même plan. C'est selon nous le mal qui ronge et qui mine depuis des siècles l'astrologie!
Et de fait, le détail, c'est justement ce qui est apporté en fin de chaine de commandement. Il est donc "humain" que les praticiens soient attachés à leur valeur ajoutée....c'est à dire les détails. C'est un réflexe corporatif qui dépasse très largement le cas de l'astrologie. Plutôt que théoriciens et praticiens, il serait probablement plus lucide de parler de l'opposition entre les cadres et les employés, entre les dirigeants et les exécutants. On est en plein dans la lutte des classes!
L'on peut rétroactivement imaginer ce qu'aurait été l'Histoire de l'Astrologie si un tel blocage n'avait eu lieu empêchant l'astrologie de se ressourcer en renouvelant notamment les éléments accessoires, ce qui est d'ailleurs au cœur de toute dynamique cyclique. S'il en avait été ainsi, voilà belle lurette que la question de la précession des équinoxes - dont traite abondamment SBM- aurait été évacuée tout simplement parce que chacun aurait pu observer à quel point une telle subdivision joue un rôle mineur en astrologie et surtout à quel point elle est interchangeable. Or, comme les astronomes l'ont maintenue, les astrologues ont cru bon, bien à tort, de la maintenir alors que pour les astronomes, il était clair dès le départ qu'il ne s'agissait pas de donner du sens à de tels découpages spatio-temporels balisant la course des astres.
Le problème, c'est qu'à partir du moment où l'on a attribué des significations à chaque secteur (en maison, notamment), et que cela "marchait", il deviendrait difficile de changer le nombre ou l'ordre des dits secteurs de peur que cela ne marchât point aussi bien....D'où une évidente cristallisation de ce qui n'était au départ qu'une série de bornes ponctuant le parcours d'un astre, au cours du mouvement diurne. L'astronomie a certainement pour beaucoup contribué, de par son métalangage, à ce que l'astrologie ainsi se figeât, et l'on peut d'ailleurs admettre qu'elle emprunta à l'astrologie pour des raisons de commodité son zodiaque.....Mais ce n'était pas une raison pour que l'astrologie restât prisonnière d'un tel état de choses...
Si l'astrologie avait su préserver sa liberté de mouvement, elle n'aurait pas figé ses subdivisions annexes, ses solutions provisoires, et aurait maintenu le cap, à savoir le cycle des conjonctions Saturne/Etoiles fixes royales, dont nous pensons qu'il est bel et bien sa seule colonne vertébrale, quitte, une fois de plus, à ce que des praticiens s'ingénient à "compléter" le système à leur guise et pour leurs besoins propres...sans qu'en aucune façon de telles initiatives ne viennent empiéter sur l'essentiel de l' Astrologie. On sait d'ailleurs qu'un tel glissement aboutira à la constitution d'une astromancie pour tous, et c'est précisément ce passage d'une élite à une population dans son ensemble qui selon nous est une extension, une expansion qui relève d'une forme d'extrapolation. La boucle était ainsi bouclée: c'est pour élargir le public de l'astrologie que les subdivisions furent chargés de toutes sortes de significations, dont le principe initial était de déterminer ce qui n'allait pas, où cela "clochait", selon la maison où tel astre jugé maléfique se trouvait au moment de la question (ou au moment de la naissance). Au niveau médical, également, la présence d'une planète infortunée dans un certain signe affecterait la partie du corps correspondante (voir l'Homme Zodiaque) car selon nous l'astrologie pratique a d'abord été vouée aux pathologies de l'existence. Là encore, l'on retrouve une dialectique essence/existence, l'existence étant tout ce qui concerne les accidents de parcours, tout ce qui nous éloigne (ex-essence) de l'essence. L'astrologie se voit ainsi écartelée entre le centre et la périphérie et de fait toute cyclité tend à passer alternativement de l'un à l'autre, ce qui conduit les extrêmes à une certaine épreuve de force. Les savetiers sont les plus mal chaussés: l'astrologie qui devrait donner, de par son essence, l'exemple d'une bonne cyclicité est précisément victime d'un dysfonctionnement cyclique! Il revient à ceux qui dirigent la communauté astrologique de libérer l'astrologie de ses carcans, de ses scories, en faisant alterner rigoureusement les temps de subdivision et les temps d'intégration (voir les travaux de Bruno Lussato sur cette dialectique), en condamnant toutes les tentatives de blocage et toute idée que les solutions ponctuelles puissent devenir définitives. La solution doit alterner avec la dissolution.
JHB
02. 11. 09
La méthode de la "coupe" astrologique en question
par Jacques HalBronn
L'astrologie actuelle semble avoir adopté la méthode de la coupe telle que pratiquée fréquemment en laboratoire. On sait ce que peut avoir de brutal tout usage d'un instrument tranchant appliqué sur telle ou telle chose. C'est ainsi que l'on coupera une pomme en quatre, sans avoir à respecter d'autre critère que celui de la géométrie, sans se préoccuper de la structure interne du fruit. Quand il s'agit d'une orange, l'on ne respectera pas la répartition en tranches offerte par le fruit lui-même. On pourrait en dire autant quand on coupe, avec un couteau, une tranche de viande, sans tenir compte de sa structure.
Le thème natal n'est-il pas, en effet, une coupe pratiquée sur le "tissu" céleste? Une telle pratique n'est pas inoffensive. En effet, elle ne tient pas compte des cyclicités en présence. Elle impose artificiellement un certain ordre des choses. En dépit de ce que tant d'astrologues affirment, le concept même de thème de naissance ne respecte pas réellement la cyclicité.
Les travaux de Michel Gauquelin ne sont pas assimilables à une telle pratique de la coupe dans la mesure où ils ne retiennent précisément que les angularités, c'est à dire les passages de certaines planètes par rapport à l'horizon et au méridien déterminés par le lieu et l'heure de naissance. En revanche, il y aura "coupe" si l'on s'intéresse aux positions des planètes en signe à la naissance.
Mais l'on pourrait parler aussi d'une "coupe de vie" lors de l'interprétation ponctuelle du dit thème, pratiquée à l'occasion d'une consultation et c'est notamment le cas de l'astrologie dite horaire selon laquelle un thème est dressé à un moment donné décidé par l'astrologue et qui n'est pas nécessairement fonction de la cyclicité, avec laquelle cela aurait plutôt tendance à interférer.
Or, lors de la consultation, il s'agit bel et bien, nous semble-t-il, d'une coupe de vie, d'un arrêt sur images. Et voilà qui relativise sensiblement une telle façon de procéder. L'astrologue est censé se mettre en phase avec le ressenti immédiat de son interlocuteur. Il va proposer des explications, des grilles qui sur le moment ne sembleront pas forcément fausses mais qui demanderaient à être vérifiées par la suite. Si je dis à quelqu'un que les fruits qu'elle a mangés expliquent que la personne se sente mal et que bien qu'en ayant de consommer de tels fruits, la personne est toujours aussi mal, c'est que mon explication ne ''tient pas la route". Si une autre fois, le fait de manger ces fruits ne la rend pas spécialement malade, on devra aussi s'interroger..Si, lors de la consultation, la personne est dans un certain état d'esprit et que plus tard, elle n'est plus dans cette même humeur, ce que l'astrologue aura dit deviendra assez contingent et passager et ainsi de suite.
Ainsi, la pratique de la consultation - coupe a l'avantage, de par la brièveté du champ spatio-temporel ainsi circonscrit - de valoir sur le moment mais "il faut le dire vite" et l'inconvénient d'avoir une échéance de consommation fort brève, au delà de laquelle, le propos risque de faire de moins en moins sens. C'est un château de sable vite balayé par les flux et les reflux.
C'est pourquoi nous recommandons de renoncer à cette double pratique de la coupe, en étudiant les gens dans leur devenir ainsi bien entendu que les configurations astrales dont ils pourraient dépendre. La notion de thème-coupe, tant au niveau astronomique que de l'interprétation, nous semble globalement à rejeter.
JHB
06. 11. 09
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